Nous aurions pu participer à son jugement. Non. Le jugement est œuvre de justice. Il n'est pas innocent. Tel Zola, que puissions nous dire pour l'innocence : « J'ACCUSE » !?
Il est coupable de ce qu'il a fait et son aveu, tardif, témoigne qu'il regretterait.
La justice même éclairée n'est pas angélique. Elle est humaine et a envers la société une action politique : celle d'éviter de perpétuer une immoralité publique !
C'est la clémence, le pardon qui sont rédempteurs. Mais tous les acteurs, prétendus démocrate ou déclarés républicain, sont encore loin de comprendre en vérité ces valeurs. Ils progressent.
Nous aurions pu demander qu'il soit déchu de notre nationalité, que ses biens soient confisqués.
Nous aurions pu exiger réparation après son aveu...
Quel dédommagement, quelle expiation, quelle indemnité, quelle peine, quelle punition, quel rachat, quelle sanction pour ce châtiment qu'il s'inflige à lui-même, à nous-mêmes ?
Cette action, ce « suicide politique », que nous avons appelée « ExtermiNATION » car elle a dans ses conséquences le pouvoir de destruction sur les fondements et la confiance en nos institutions, sur le crédit des « politiques », de nos élus et de nos représentants.
Au moment ou nous vous écrivons, quel homme aurait encore espoir en la France ? C'est l'ignominie, l'outrage ou c'est la trahison.
Le président lui-même en rabat et pour mieux fuir le paysage, se fait en ce moment berbère, recherche la terre sainte !
Aujourd'hui, il y a « crise ». Elle est en France comme elle est en Europe.
@ comite-valmy.org - L'Allemagne regarde la mal que nous faisons à l'Europe
La crise ravive le souvenir des jours les plus sombres. Il est nécessaire que dans ce délabrement, les cris, les rages ou les pleurs , qui paraît être sans alternative, fassent place au silence, puis à la reconstruction.
OPPOSITION EUROPÉENNE
