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DE LA SUPPRESSION DES LOIS, DANS LE PRINCIPE LOGIQUE DE L'ÉVOLUTION

Quelques soient les accords ou les désaccords qu'il faudrait avoir sur la disparition progressive des lois instituées par un pays, Nations ou monde, de part ou en raison du pragmatisme établi qu'il faille un cadre régissant des observances, pratiques ou usages des devoirs et des droits, le fait même de l'évidence de l'environnement ou des situations, si complexes soit-elle (oui il peut y avoir des évidences difficiles à évaluer), se révèle parfaitement défini et suffisant à démontrer, non pas de ce qu'il soit utile de juger, mais ce qui serait nécessaire de corriger, de faire ou de parfaire.

Ce ne serait, ce n'est pas déjà une réduction, ce serait, c'est une synthèse, si nous admettions qu'elle le soit ...
Or la synthèse, fut-elle, comme vous seriez tentés de l'affirmer en vous opposant à ce qui est tracé auparavant, l'opinion que vous avez d'un réductionnisme, ne pourrait et ne peut se réduire à néant.

Ce qui devrait vous rassurer sur l'éventuelle vision que vous pouvez, à juste raison, craindre.

Je laisse à vos méditations et pensées le soin de me retrouver plus tard.
Ce qui est à moi est à vous et ne peut donc s'affirmer et progresser que par vous.

LES PROPOS DES HOMMES

Mis à jour le 4 avril 2017

Ajout :

consultnum28 4 avril 2017 à 02:33 Explication Bonjour,

Les expressions de "droit numérique", "d'espace numérique", etc. n'auraient de sens que si les termes "de droit", "d'espace" pouvaient en eux-mêmes être exprimés et quantifiés numériquement. Ce qui n'est pas d'actualité le cas et il n'est pas prouvé qu'ils puissent l'être un jour.

De fait, l’État français, avec grandiloquence, utilise des expressions qui n'ont aucune signification réelle. Il pourrait tout au plus spécifier « … son territoire national numérique » que cela n'aurait pas plus de consistance !

https://www.parlement-et-citoyens.fr/ideas/levee-de-contradiction-concernant-la-souverainete-sur-l-espace-numerique

Le BTB dans Numérique (Source : unpasenavant.blog.free.fr)

Trace optique (copie d'écran) :

Copie d'écran

Mis à jour le 7 mai 2015

Liens : 3 mai 2015 - Journée mondiale de la liberté de la Presse

Réponse à :

bfmtv.com - Les Français pour une régulation des propos haineux sur Internet
Publié le 22/02/2015 à 11h54 - Mis à jour le 23/02/2015 à 08h01

cncdh.fr L'INSTITUTION FRANÇAISE DE PROTECTION ET DE PROMOTION DES DROITS DE L'HOMME - Avis sur la lutte contre les discours de haine sur internet
Paris, le 12 février 2015

nouvelobs.com - Djihad, radicalisation, terrorisme : en attaquant internet, le gouvernement se trompe
Publié le 23-02-2015 à 07h48 - Modifié à 15h39, par Jean-Marcel Bouguereau, éditorialiste

Facebook-10202988520028558
23/03/2015 à 09h54

Bonjour,

Pourquoi toute gestion ou régulation de propos est-elle difficile, néfaste, voire impossible ?

Il est vrai que l'anonymat favorise la liberté d'expression dans la mesure où sont levés tous les interdits et toutes les sanctions, de tous les tabous de la personne qui exprime un propos ou un autre.

Nous ne pourrions affirmer dans un sens ou dans un autre que le propos puisse être suivi que s'il existe une force de conviction ou de persuasion de nature à contraindre son approbation.

En cela, puisque ce propos est déjà présenté, existence au lieu d'absence, la première « contrainte » s'inaugure de cette façon : avoir à examiner ce à quoi nous ne pensons pas ou ce que nous avons toujours refusé d'entendre. S'ouvre alors une deuxième liberté : celle de pouvoir en nier l'existence ou celle de pouvoir y participer.

Quelque soit l'exposé d'un propos d'évolution, la tendance majoritaire est de nous opposer au changement , parce que le conservatisme a toujours été plus fort le progressisme, sans porter aucun jugement de valeur ni sur l'un ni sur l'autre.
Aussi la tendance est de nier ce qui existe avant même qu'il ait grandi suffisamment pour qu'il soit impossible d'en nier la maturité.

Autrement dit et selon ce qui est énoncé ci-devant, la communication s’apparenterait à une fécondation d'idées.
Toute tentative de gestion ou de régulation s’apparenterait à une politique de gestion des naissances ou de la natalité.
Évincer les mauvaises et garder les bonnes ?

La seule manière pour conserver la liberté, c'est de moduler la traçabilité de l'anonymat.
Nous pouvons nous opposer à ce que quelqu'un affirme que parce que nous le connaissons.
Ainsi, nous ne gérons pas les propos, mais nous entendons ou ne voulons pas entendre ce qu'une personne communique.

Autre lien consulté :

lepoint.fr

PUISQU'IL EST AFFIRMÉ LÀ-BAS :

Suite à :

Ainsi que l'affirme l'article 11 de la Déclaration de 1789, " la liberté de communication des pensées et des opinions est l'un des droits les plus précieux de l'homme",

il est dit

"La souveraineté numérique de l’État,"

Je m'oppose à cette dernière affirmation, puisqu'elle subordonne la liberté numérique de la personne à celle de l’État.

L'Homme, d'après les Sciences et les techniques, possède en lui-même les caractéristiques physiques d'exercer par des connexions et des relations, cette liberté numérique.
Affirmer de quelque manière, en droits ou en règles, qu'elle soit contrôlée ou régie autrement que par l'homme lui-même, la personne elle-même, porte atteinte à l'Article 11 de la Déclaration de 1789.


LA LIBERTÉ NUMÉRIQUE
@trendybears.com

LES OISEAUX DE LA LIBERTÉ NUMÉRIQUE
@owni.fr

IL VA FALLOIR TROUVER AUTRE CHOSE

Année après année, nous avons réussi à faire partir untel, ministre gênant, nous avons changé de gouvernement, nous avions même pratiqué l'alternance, nous avons défait des présidents successifs, qui s'agitaient ou pratiquaient l'immobilisme, nous avons chanté et crié... Mais rien n'y fait ou si peu, nous payons cher les espoirs d'un lendemain meilleur par une actualité qui nous dépeint toutes les misères dans lesquelles nous sommes encore.

Nous avons d'ailleurs appris, non seulement grâce au dictionnaire, que la manipulation des mots peut nous faire passer du fort minable au formidable. Il y en a eu de plus forte et de plus médiocre sans que personne ne puisse y trouver à redire, ceci étant dans le sens de l'histoire. Mais du fort minable, ou du formidable, personne non plus, ne peut pour le moment, qualifier par l'un ou l'autre des adjectifs. C'est trop fort !

C'est un événement français. Tous les Français sont actuellement rivés à leur écran de télévision, car d'un moment à l'autre, cela va être pour nous, fort minable ou formidable. Cela nous permet, en tout cas, de nous distraire des quelques millions de chômeurs que nous atteignons allègrement, fort minable ou formidable ; le françois moyen, candide, ne sait plus s'il s'agit d'un bon ou d'un mauvais score. "Les chiffres du chômage sont mauvais mais en même temps il n'y a pas de fatalisme", telle était la déclaration de Manuel Valls lors d'un déplacement à Paris. Son propos aurait sans doute été autre s'il s'était rendu dans le nord ou dans le sud de la France !

Les temps sont venus, non pas de ne plus participer à ce match de foot opposant gauche contre droite (où les uns défont ce qu'ont monté les précédents), ni même de faire en sorte de balayer l'actuel président comme nous l'avions fait du précédent, ni même de rechercher un alliance contre nature avec ceux qui veulent tout casser, Europe, France et probablement eux-mêmes, dans leurs contradictions, mais de botter en touche pour que les règles soient modifiées.

Cependant, nous n'avons pas réussi à convaincre d'entreprendre une si haute réforme, pour qu'elle soit entendue des uns comme celle d'un sauvetage, des autres comme une possibilité d'union, des minorités comme d'un espoir de sortir de l'anonymat.

Il eut fallu que cela apparaisse soit comme le seul moyen d'échapper à une crise qui n'existe finalement que dans les têtes qui la créent, soit d'un dispositif novateur auquel personne ne pourrait raisonnablement vouloir se soustraire. A la première formulation, fort minables ou formidablement dures, la crise reste, comme pour faire succomber le quidam françois à son apathie et à son désarroi.

La deuxième possibilité est celle du jeu des ordinateurs interposés. Et si nous n'y prenons garde et temporisons trop, ce sont eux qui vont définitivement gagner la dernière manche, mais à eux tout seuls et pour leur profit. Et beaucoup ricanent de cette troisième éventualité, déjà brossée d'anticipation, alors que nous hésitons toujours à y dresser et à y faire respecter l'aspect humain.