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IVG ; 20 MINUTES DE VIRULENCE

Il y aurait eu « virulence », tels sont les propos écrits par 20 Minutes au sujet de l'exposé du député du Vaucluse Monsieur Jacques Bompard.

Le pardon signifié par Monsieur Jacques Bompard est-il acerbe, aigre, âpre, brûlant, caustique, corrodant, corrosif, cuisant, envenimé, mordant, venimeux, violent ?

Effectivement, il y a bien virulence à éviter tout pardon. En cela 20 Minutes condamne le pardon.

Nous continuerons donc à les lire ou à les parcourir que 20 Minutes.

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D'un autre côté, actualité surprenante, nous apprenons par le journal La Croix la découverte d'une statuette féminine d’époque gravettienne (23 000 ans) dans un quartier au sud-ouest d’Amiens. S'agirait-il d'une ode à la fécondité ?

L'IVG EST-ELLE UNE RÉPONSE ? - Version A

L'abréviation ou l'acronyme IVG, pris dans l'ordre ou dans le désordre, est clair pour toutes et tous.

Une interruption est un arrêt définitif ou temporaire d'une exécution normale d'un processus.

Ce qui est volontaire est ce qui est décidé en toute liberté : ni automatique, sans aucune contrainte extérieure, ni forcé, ni lié à une impulsion, ni réaction de réflexe.

Enfin tout le monde connaît le sens et l’aboutissement de la grossesse ; il s'agit de la gestation humaine ou de la maternité.

Les efforts de certains est de poursuivre, en réaction à ce qui a toujours été, en contrecarrant ou disent-ils « en améliorant » des phénomènes naturels.

Quoiqu'il en soit, ils en viennent à modifier les mots, voire à en inverser le sens.

Il s'agit d'une tromperie.

De fait, l'IVG est anormale. L'IVG est un acte subi. L'IVG a pour but d'arrêter une conception.

Nous rendons hommage à celles et à ceux, qui par leurs actes et leurs paroles, ont volontairement continué leurs œuvres de création.

Vis à vis de ceux qui agissent et pensent autrement, nous partageons leur souci de prévention et de veille.

L'AUTOPSIE DU DMP – [partie 2]

LA PERSONNE

Nous aurions à l'évidence dû commencer par la personne ou le patient, si elle ou il était encore entendu. Cette préoccupation n'étant clairement pas partagée par tout un chacun, pourquoi faudrait-il que nous nous interrogions en premier à son sujet !

D'autre part, la critique commune est de renvoyer le problème au patient, à la personne elle-même. La personne étant malade (ou morte !), n'aurait-elle pas du ouvrir son dossier médical plus tôt ?

Un personnel de santé devrait-il déroger à cette habitude d'avoir à saisir la Carte Vitale comme une carte de visite avant d'avoir pu dire : « Bonjour Madame X, Bonjour Monsieur Y, Bonjour tout simplement en omettant la distinction d'un sexe désormais indifférencié ».

Cela explique simplement la mise au point focalisée dans la Brochure d'information qui se passe de tout autre commentaire :

Juste une mise au point

@ dmp.gouv.fr - documentation - Brochure patient - Le consentement

En conséquence, la procédure de création de DMP expliquée par ailleurs, étant avant tout traduite par « Mon DMP et moi » au lieu de « Moi et mon DMP » ou « Mon DMP » mélange allégrement le « mieux soigné » et le « mieux pris en charge », le « mieux » n'étant pas adressé à la personne mais au DMP.

De plus, ce qui s'énonçait comme étant l'information des Droits insiste finalement sur les règles à respecter.

Pour une entrée en matière vis à vis d'une personne malade ou déficiente, vous voilà servie !

Que faut-il en retenir ? C'est donné en icônes :

CE QU'IL FAUT RETENIR

L'accueil du patient figurant dans la procédure, tout au moins dans sa description, est à revoir.
S'il s'agit bien de l'initialisation d'un dossier, si informatisé soit-il, il s'agit d'abord de l'invitation d'une personne à y consentir.

De fait l'allusion à cet accord doit être placé en premier et non figurer en fin de document.

MATérialisation du DMP sur la Carte Vitale

A suivre : http://www.hopital.fr/Hopitaux/Nos-missions/Les-evolutions-a-l-hopital/Dossier-medical-personnel

Alimentation et consultation

L'AUTOPSIE DU DMP – [partie 1]

L'origine du DMP

« … plus on en sait, mieux on se porte. »

Pour obtenir un dossier, il faudra toujours un 1er formulaire ! (page modifiée ce soir ; le formulaire reste obligatoire puisque personne ne peut détenir l'original de son DMP.)

Prise en charge par le DMP

@ .wikimedia.org - Enrique SIMONET (1866-1927) – Autopsia (modifiée)

« Voyons donc ! De quoi est-elle morte ? … Cela doit être mentionné dans son DMP. »

Vocabulaire

Le Dossier médical est le DMP. Il a été appelé Dossier médical patient puis Dossier médical personnel.

Si dans son nom, dérivé de son acronyme DMP, a été remplacé « patient » par « personnel », c'est que l'aspect médical qu'il conserve n'est plus orienté vers l'état de patient mais vers la caractéristique de la personne, vers une voie plus privée.

Cela va bien dans le sens d'une médecine et d'un système, qu'il soit administratif et médical, liés et paramétrés en fonction d'une personne et non en référence directe à un état ou plus exactement un statut de cette personne, celui de « patient ». C'est donc une vision plus globale, puisque la caractéristique « d'être patient de » est une des caractéristiques de la personne.

Les principaux aspects du DMP

Les différents aspects qui sont traités à son sujet sont d'ordre :

  1. éthique,
  2. médical,
  3. juridique,
  4. financier.

Observons quelques visions actuelles du DMP, traduites notamment par des clichés.

Visions en images statiques

1. Ma Mémoire Santé

2. Boîte à Outils

3. Couple

...et couple bis, ou 2ème couple, sinon nous n'avons pas de couple de liens !

4. Ordinateur sympa

5. Logiciel PRO ou professionnels

6. Les cartes bancaires et de visite

7. la Carte nationale d'identité (CNI)

8. Le Système d'information (SI)

Note : nous pouvons remarquer que ces images sont restées inchangées depuis la 1ère parution de cet article le 20 mai 2014.

( Date de mise à jour : 16 février 2015 )

PAS – PASS - PASSE

''Le don est gratuit mais s'il se révèle être un cadeau empoisonné ?''


Résumé

La mise en place du PASS CONTRACEPTION est à mettre en parallèle avec celle de l'IVG car il est effectivement un dispositif en amont de ce dernier.

Nos convictions, éthique ou religieuse, sont que la liberté d'autrui est dépendante d'une éventuelle entrave que nous pouvons poser nous-même. De fait la liberté s'oppose à son contrôle et à ses limites. Une liberté à laquelle nous nous garderons d'obéir nous-même est hors de nous nuire mais elle est hors d'apporter une garantie suffisante si l'ensemble des variantes et plurielles que constituent notre société n'y apporte rien par l'exemple, l'usage, le suffrage et efforts pour en perfectionner le dispositif.



« Humaniser, permettre, limiter contrôler, tel est l'esprit d'un texte dont on ne saurait trop dire et répéter qu'il n'octroie pas, et que naturellement il n'impose pas des libertés à ceux qui n'en veulent pas, mais que plus simplement il prétend ouvrir à la légalité, à son contrôle et à ses limites des actes dont chacun s sait que ne pouvant les supprimer, on ne peut plus les longtemps les tolérer dans une ombre complice. Ainsi est-il répondu à ceux qui légitimement soit au nom de leur conscience personnelle ou de leur morale confessionnelle donne à ce texte un caractère d'une une dégradante obligation ou de permission. Nous sommes dans un monde libre ou chacun ayant le droit de s'exprimer, peut se convaincre et finalement convaincre les autres de ne pas utiliser d'une liberté contraire à ses principes ... » (Monsieur Henry Berger, rapporteur du projet de loi)



Mais nous souhaitons être, volontairement ou involontairement, appartenant à notre Communauté et dans son intégrité, à notre Patrie, régions et pays de France, en accord avec ses lois. Cet agrément se traduit en pratique par le financement et/ou la participation aux actions résultantes des principes votés par les Assemblées représentatives qui garantissent notre liberté.

Si nous nous élevons face aux contradictions des législateurs que l'histoire a bien voulu nous faire précéder dans leur souci de rigueur, et qui ont eu à choisir la politique du moindre mal pour la défense de la liberté, malgré les risques de licence, de perversion ou de dépravation, malgré les abus, les excès et les dérèglements, c'est que l'histoire conduit les peuples à renier le chemin d'où elle vient dans une nouvelle folie, un égarement de leurs destinées hésitantes à tracer l'avenir de leurs pensées ...



Avons-nous veillé suffisamment au bon exercice de la loi du 17 janvier 1975, dite loi Veil ?

(initiée par Madame Simone Veil, anniversaire le 13 juillet, ministre de la santé en mai 1974, promulgation de la loi relative à l'interruption volontaire de grossesse – IVG, première femme à présider au Parlement européen de 1979 à 1982, membre du Conseil Constitutionnel de 1998 à 2007, selon un sondage de l'Ifop réalisée en 2010, est la femme préférée des Français, élue à l'Académie française le 18 mars 2010, ...)

Madame Simone Veil s'exprimait : «Je le dis avec toute ma conviction, : l'avortement doit rester l'exception, l'ultime recours pour des situations sans issue. Mais comment le tolérer sans qu'il perde ce caractère d'exception, sans que la société paraisse l'encourager ? Je voudrais tout d'abord vous faire partager une conviction de femme - je m'excuse de le faire devant cette Assemblée presqu' exclusivement composée d'hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l'avortement. Il suffit d'écouter les femmes. (applaudissements.) C'est toujours un drame et cela restera toujours un drame ... »

Ces risques et ces abus sont manifestes depuis les décennies qui ont suivi l'instauration de la loi. Ils sont confirmés par l'usage, les rapports et statistiques et en nie le principe directeur, faire exception.

Le rappel d'une dérive et plus profondément d'un non-sens est traduit notamment dans les tableaux de l'INED. Il y est précisément indiqué au regard des colonnes « nombre d'Avortements pour 100 naissances vivantes », mettant en valeur une production d'IVG alors que le sens commun eut mentionné « nombre de Naissances vivantes pour 100 avortements » (en dépit du fait que les chiffres révèlent un même état ; ce qui importe est l'intention, l'acte lui-même étant déjà sujet à interprétations).

Le but premier de toute humanité est de favoriser ses naissances et NON d'en interrompre prématurément la vie.

l n'est rien de paradoxal que ces résultats éprouvent quelques difficultés à être maintenus ou a fortiori à être réduit. D'autant plus que la présence de grossesses précoces vient confirmer une tendance qui va infléchir à la hausse. En conséquence il nous faudra agir sur « deux fronts ». Mais le PASS Contraception sous sa forme actuelle est-il en mesure d'y répondre ? Nous en doutons et nous allons en tirer assez rapidement les conclusions.


En l'absence de réponse satisfaisante, c'est donc individuellement et à nos familles, à nos associations, etc. d'améliorer notre système politique. Nous n'avions pas la parole hier, il est plus que souhaitable que nous l’ayons aujourd'hui.

Les échos qui nous sont parvenus concernant le PASS Contraception sont hors de nous rassurer. Nous allons d'abord y faire référence.



SAUVER LA FRANCE – CHOQUER

 

« That's is our answer. You are soo clever, Philips. »

 

Comment choquer dans l'urgence
une personne inanimée au défibrillateur ?

 

Tout un chacun est maintenant au courant du mode de fonctionnement de cet appareil.
Quant au lieu où il se trouve, nous reconnaissons simplement qu'il s'est imposé en venant vers nous le premier !

C'est un indéniable progrès que le commun des mortels puisse aujourd'hui sauver une destinée qu'il rencontre au hasard sur un chemin de vie.

Il est un fait avéré que nous sommes en présence, vous et moi, de nombreuses personnes que nous allons devoir choquer pour leurs permettre de retrouver le fil normal de leurs idées et de leurs consciences. Alors, plus d'hésitation, c'est urgent, défibrillons.

Protéger, alerter, secourir, c'est notre maxime. Et en cadence toujours, le cœur à l'écoute et le sens du devoir résonnent pour réveiller les cinq qui chez notre autrui en ce moment défaillent. Nous avons oublié l'ordre et toute la séquence mais non point l'espérance.

Nous appuyons sur le bouton et une voix familière vient nous aider et partage notre action. Nous suivons ses conseils dans un instant étrange d'être avec notre proche comme trois en présence. Et nous verrons ici et encore des nihilistes de la beauté de nos semblables. Mais nous nous égarons et suivons sa voix. Nous y répondons en assistant nos gestes.

Nous avons en nous-même une opposition à même choquer pour le bien, c'est ainsi ; dès maintenant, nous ignorerons toujours si oui ou non nous avons réellement choqué. Alors, faudrait-il se priver de choquer quand le dispositif décide si le choc est nécessaire ?

La voix poursuit, elle a prévu nos étourderies mais connaît notre détermination.

C'est maintenant un corps à corps. De trente coups qui sonnent nous massons et puis nous insufflons deux fois et nous recommençons. Nous sommes au diapason de notre égal et fraternel proche. Il nous faut tenir jusqu'au réveil ou jusqu'aux autres secours. Le défibrillateur continue-t-il ses fréquences, que nous importe ses imperfections ? La machine a oublié qu'un être humain est là, soucieux de tout futur, au secours de la vie. Il n'est pour nous d'aucun péril si l'être à terre n'est l'inventeur de cet autre progrès ; un autre viendra sauver d'autres victimes ; des chocs feront comprendre sans doute qu'il faille continuer à œuvrer en toute discipline ! C'est urgent.

Corrélats : autrui, être humain, égal, frère, gémeau, homologue, jumeau, personne, prochain, proche, ressemblant, voisin.