PREMIUM EUROPE

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

TRAITÉ SUR LA PAIX ET LA GUERRE MODERNE (Extrait sur la nécessité)

Notre condition d'être social, (Ibid. de citoyen, de personne d'une cité, etc.), et de nos échecs à y tendre, en situation de crise notamment, qui bouleverse et remet en cause nos fondements pour dégager un autre espace, un autre temps, une autre voie, et de fait un autre nous-même, mobilise toute nos énergies.

Pour y parvenir, la vision, la vue que nous avons est comparable à la position d'un observateur situé sur une grève, sur la plage au niveau de la mer. Il peut discerner alternativement et au gré des vagues le passé, la marée basse, le présent ou l'avenir, la marée haute, par un mouvement historique et par l'apport sédimentaire, tel qu'il lui convienne d'être dans le temps et dans l'espace, dans cette ondulation propice à sa réflexion. Il est stable mais il flotte entre plusieurs orientations possibles.

Une erreur de lecture de l'économie et qui se traduit par son enseignement consiste à répartir l’ensemble de l’activité économique en trois grands secteurs économiques (primaire, secondaire, tertiaire). Bien évidemment il en existe au moins un quatrième qui conditionne le progrès de tous, avant celui de lui-même, et qui a pour toute mission que de n'être pas « rentable », économique, ni pour l'essentiel ni pour le superflu ! Il s'agit de la « recherche qui ne trouve pas », de l'idée biscornue, etc., qui a souvent son achèvement dans des développements insoupçonnés ...

D'aune autre façon, la séparation établie est pour le moins arbitraire ; ces 3, je dis ces 4 secteurs sont en réalité intimement liés dans des vues multiples. N'en déplaise à certains dont j'omettrais de citer le nom, « Leur regroupement n'est pas non plus arbitraire. » (belle affirmation), ces visions ou plutôt des visions trop figées sont arbitraires et sont de politique, ce qui est sans intérêt (la politique n'est-elle la science des politiciens, des hommes de parti, des êtres sectaires ? Nous laisserons à ceux que nous n'avons pas cités le soin d'y répondre.

Toutes les liaisons existent ou devraient exister, vous en conviendrez aisément, entre la recherche en agronomie, l'agriculture et les services, l'agriculture et l'industrie, …, la recherche qui trouve, la recherche et les services, la recherche et l'industrie, la « recherche de ce que l'on ne trouve pas ».

De fait, nous sommes ramenés au problème déjà entrevu, celui d'examiner un système, un « objet humain et matériel », divers et varié, polymorphe, multiple, etc. et nous désirons le rendre simple sans en ôter de caractéristiques ; il s'agit de le modéliser.

Cela revient à formuler ce dont nous rêvons. Et si, au lieu de consommer ou de détruire, c'est selon, si nous avions avons un tout petit peu de temps devant nous pour imaginer et spéculer sur notre vision, pourquoi nous en priver ?

En ce jour en tout cas, pour nous la mort n'est pas la fin de notre existence mais la fin de notre vie. Alors il s'agit de continuer à exister, et c'est revivre !

Marya Deslas

TRAITÉ SUR LA PAIX ET LA GUERRE MODERNE ( extrait - De l'humain )

J'ai évoqué précédemment les efforts humains et matériels qui concourent à notre augmenter aptitude à sortir d'une crise.

Le distinguo entre humain et matériel intervient-il réellement ? Posée autrement, la question est de savoir si les caractéristiques humaines sont dans la nature et dans ce que l'être humain réalise, fabrique à partir de la nature, y mettant le génie de son innovation, dépendantes ou indépendantes, en cœur, corps et esprit de la matière, atome et tout ce qui est inanimé oui animé (animal, bêtes ou bestioles, végétal, etc.).

Considération annexe et sémantique

Nous sommes depuis de années depuis des siècles sinon des millénaires, confrontés aux différences (et inégalités) des êtres humains quant à leurs sexes, de femme et d'homme (être masculin). Les controverses résident dans nos aspects extérieurs mais aussi dans les praxis, dans nos activités en vue d'obtenir un résultat.

À ces comportements et de façon complémentaire interviennent l'être et la connaissance. (nous avons observé qu'un être masculin « compterait mentalement » au moyen de méthodes apprises et qu'un être féminin « dénombrerait » par l'intermédiaire de son corps, de ses dix doigts, les résultats exacts ou incorrects n'étant d'ailleurs pas liés aux procédés utilisés. Pour ma part, m'estimant à la fois femme et homme, j'adopte ces deux procédés et j'en ajoute d'autres, multipliant ainsi les approches pour terminer par une analyse statistique des résultats ;



elle me permet alors d'envisager une réponse avec un maximum de certitude, indépendamment des « chemins parcourus », des méthodes ou processus en état de connaissance ou en acquisition. D'une façon inverse de celle des machines que nous utilisons et qui ont pour tâche de fournir un résultat dans le minimum de temps, je préfère ignorer le temps et examiner une multitude de solutions possibles en les considérant finalement comme un même et unique résultat ; ce qui permet au final de « stocker un seul objet pluri morphologique », ce qui représente à la fois une économie en terme de définition, d'accès et de volume. J'y reviendrai).

Influence des vecteurs de communication

Les civilisations expriment, raisonnent et/ou traduisent en écrit leur parole, langue, en un minimum un genre unique et au maximum à ceux de trois genres (si tant est que par déclinaisons certains considèrent qu'il y en ait cinq dans la langue polonaise ou polonais).

Faut-il marquer le genre ou adopter un genre non marqué ? Cette différence de genres existe-t-elle ? Réside-t-elle dans l'actualité (pour quels temps encore ?) que nous avons connu et que nous connaissons en définitive dans « un processus de recréation » (veuillez notez l'expression à la fois masculine et féminine dans une phraséologie si elle est possible anglophone et même tchèque - nous rappelons ici la difficulté de la personne ayant effectué la traduction du « Gorille » de Georges Brassens ), de fécondation qui n'appartient ni totalement à l'homme (être masculin), ni totalement à la femme, mais aux deux ensemble ?

Le dol ou l'exclusivité de cette « recréation » par l'une ou l'autre sont ils viol, vol, ou en état de liberté et de vie ?

Autrement dit, que se passerait-il si demain, deux personnes (quelques soient leurs sexes, quelque soit le sexe ou éventuellement même en l'absence de sexe) en se disant bonjour ou autre signes de concordance parfaite, engendraient de façon aléatoire ou sélective, un nouvel être humain ? Est-ce que l'acte serait répréhensible ? Est-ce que la dimension « sacrée » de cette union aurait à nos yeux et aux yeux de la société (civile et religieuse) une portée équivalente à celle qu'elle a aujourd'hui ?

Je me garderait bien d'apporter « ma réponse intelligente » (« Une personne qui est capable de formuler correctement une question est potentiellement capable d'y répondre  »).

À cette hypothèse, encore non envisagée dans un cadre éthique et scientifique, puisque hors de la réalité, la réponse va d'elle-même. Cela est insensé, surtout quand nous en connaissons le sens ...

Évoquer cette éventualité relève de la prophétie ; la réponse qu'elle attendrait est identique, sinon en éclairage, du moins dans l'éthique, dans la morale autant que dans la vision spirituelle que nous avons aujourd'hui si elle respecte la Loi et les lois fondées sur la raison, sur le cœur, sur l'amour qui restent intangibles.

De fait, s'il subsiste des obstacles sinon des problèmes, ils se posent ailleurs, selon les trois points suivants :

  • Il existe une difficulté inhérente et intrinsèque dans laquelle nous sommes de traduire notre pensée par l'utilisation d'une langue déterminée qui détermine elle-même, que nous y consentions ou non, « une portée plus ou moins sexiste », par le fait même qu'il existe des genres qui sont attribués aux êtres animés humains (féminin, masculin ou genre unique), aux êtres animés ou « bêtes » - les animaux (masculin, féminin, neutre ou genre unique) , les êtres inanimés ou « objets ) - les choses (masculin, féminin, neutre ou genre unique).

Quoiqu'il en soit, malheureusement, en français, « le chat aime sa chatte », sans que nous sachions, s'il s'agit hors du contexte, d'un être humain, d'un animal, d'une connotation sexuelle ou non ...
Le langage, si épicène soit-il (en premier lieu justement car il est défini par un langage, au masculin et non parole épicène, du féminin), exprime, rappelons-le, autant pour expliquer que pour tromper. La communication, telle que nous la connaissons entre émetteur et récepteur, puis son retour possède les écueils de formulation et de bruits, reste à parfaire.

  • Dans une société évoluée qui reste stagnante (car incapable de formuler clairement ses aspirations – adolescence et de patienter pour atteindre un stade adulte), la règle de bon sens est de privilégier l'intérêt commun (au moins de s'accorder sur un vocabulaire et « l'usage de mœurs considérées et éprouvées par tout un chacun comme respectant la décence et la dignité de la personne, un caractère normal et pérenne qui n'entrave ni n'obère la liberté » ) aux demandes individuelles ou personnelles. De fait, au nom de cette règle, la liberté d'un individu peut être aisément transgressée au nom de l'intérêt commun ; vous noterez le paradoxe.
  • Enfin et c'est probablement les contingences chimiques, génétiques et physiques qui nous différencient pour un temps encore ( en femme, en homme, espérons-le !? ) nos aspects différents éminemment cachées ou visibles, quelque artifice ou stratagème que nous employons pour nous confondre éventuellement en « un unique hybride ». Nous nous gardons bien d'y associer un nom car c'est d'évidence provoquer une nouvelle discrimination en ajoutant un genre différent au deux premiers.

De ces précédentes considérations, banales et quasi éternelles, aux vues laïques et spirituelles, qu'elles soient considérées par d'autres comme relevant du « bien » ou de la « santé », l'opinion de chacune et de chacun relève, sinon de la liberté de conscience, du moins de la conscience que cette personne peut et veut avoir d'autrui et pour autrui.

Nous avions abordé préalablement ce point de vue et il demeure. Ce qui a été, est et sera, en dépit des changements et des progrès de l'humanité, aura été et sera connu tel qu'il nous a été demandé de l'exposer. Nous n'ajoutons ni ne retranchons, en tout cas dans le contexte d'amour et de paix que nous avons été appelé à parachever.

J'entends que vous vous posez une autre question ; je me garderais d'offenser votre liberté à faire pour vous de ce jour, de votre journée ,tel ou telle, ce que vous désirez qu'il ou qu'elle soit.

Marya Deslas

TRAITÉ SUR LA PAIX ET LA GUERRE MODERNE (Extrait du préliminaire)

« Mission du citoyen »

Le questionnement sur la « citoyenneté française » devrait être un questionnement sur la « citoyenneté européenne ». Si la volonté des pays membres est de faire partie d'un ensemble plus vaste, il est mission des politiques de chaque état membre de préparer cette « citoyenneté européenne ».

L'objet du présent traité (cf. titre) est autre que celui d'ajouter, de simplifier ou de corriger des propos. Il est entendu que l'habitant d'un pays, quel qu’il soit, affirme son dévouement à sa famille et au peuple qu'il côtoie, par les paroles et les actes, par sa détermination à secourir ceux qu'il aime au péril de sa vie. C'est dans le contexte et l'hypothèse d'une vie de soldat que se révèle et peut se définir réellement toutes les valeurs de droits et de devoirs qui ont été développées dans la Charte. Les valeurs militaires d'un « citoyen prêt » à secourir son environnement (Ibid. sa patrie), avec toutes les nuances et la volonté de concourir au retour de la paix. Il y a donc lieu dans ce préliminaire d'en faire état.

Le code du soldat, Armée de Terre 2010 – Source : http://www.defense.gouv.fr/terre/bloc-les-essentiels/code-du-soldat - (Mise à jour : 08/11/2011 10:45 ) est un ensemble de 11 règles déclinées en quatre principes qui, s'ils sont « militaires », sont avant tout civils (entre parenthèse) : 1.  - accomplir sa mission (son travail) dans l'excellence professionnelle (formation, chef d’œuvre) et la maîtrise de la force (modérer ses ambitions individuelles, respect de la hiérarchie, etc.),

2.  - faire vivre les communautés militaires unies (coordonner les personnes et les équipes, gérer, organiser, planifier, etc.) dans la discipline (obéir, rendre compte, faciliter) et la fraternité d'armes (participer à la vie de l'entreprise, développer un syndicat associatif),

3. servir la France (avoir le sens du service) et les valeurs universelles dans lesquelles elle se reconnaît (conserver la culture d'entreprise),

4. - cultiver des liens forts avec la communauté nationale (améliorer la communication, faire de la publicité).

Il y a souvent eu un malaise entre la population civile et l'armée, en tout cas principalement avec l'armée de terre. Certains hommes ayant fait leur conscription gardent un souvenir de leur présence sous les drapeaux : perte de temps, antimilitarisme avoué, (notamment dans la période de prospérité des années 1960), etc.

Cette ambiance ou ce climat sont révélés par une absence de sens , notamment dans le défaut de signification actuelle du défilé du 14 juillet. Le 14 juillet aujourd'hui « cf. Le 14 juillet aujourd'hui » sur le site de l'Élysée est d'une pauvreté affligeante ou désarmante - Source : http://www.elysee.fr/president/la-presidence/les-symboles-de-la-republique-francaise/le-14-juillet/la-fete-nationale-du-14-juillet.448.html.

Nous aurions pu nous attendre à un autre regard : économique (système d'armes), forces alliées, et évidemment manifestation de la cohésion nationale au sein d'une «  future cohésion européenne ». Le gouvernement actuel tout comme les gouvernements qui ont précédés semblent être hors d'une réflexion préparant l'avenir. Nous sommes dans un état du passé. Le défilé est hors d'être une marche de beaux uniformes des différents pays européens (Allemagne et France,...) réconciliés allant de l'Arc de Triomphe à la Concorde. Il faut expliquer ce que signifie cette réconciliation et en quoi elle est de « citoyenneté européenne ». Ce ne devrait pas être à moi d'en prendre conscience et surtout de le dire. De fait je n'irai pas plus loin en cet entendement.

Missions d'un soldat

De la protection à l'offensive

La rareté et la richesse des ressources (tout d'abord celles des biens alimentaires de subsistance, du besoin d'eau et de nourriture) a toujours entraîné chez l'homme (individuel ou collectif) la nécessité de protéger le territoire sur lequel elles s'étendaient ou à se déplacer en allant trouver ailleurs ce qui lui manquait (1).

De fait, d'un point de vue personnel ou sociétal, ses aspects historiques, tout comme ceux de l'histoire en temps de paix (et en temps de guerre) reposent sur l'étude de l'économie, de la démographie et de la géographie.

La seule et trop malheureuse caractéristique principale qui différencierait l'état de paix de l'état de guerre reposerait sur la dérogation au « droit de tuer l'être humain lui-même ». Nous resterons hors de ce propos pour nous consacrer à un deuxième attribut, celui de maximiser tous les efforts, humains et matériels, pour sortir de la crise, du conflit, synonymes pour nous équivalents d'un état de guerre (Ibid. Paix), qui sont mis en œuvre pour retrouver un état de paix ou d'une vie à nouveau possible.

Marya Deslas

TRAITÉ SUR LA PAIX ET LA GUERRE MODERNE (Extrait)

« Mission du citoyen »

Il est d'usage, surtout parmi les jeunes, de décrier l'exemple ou l'enseignement des anciens afin de mettre en avant le nouveau, un progrès qui somme toute, n'appartiendrait qu'à eux. De fait les institutions leur sont d'un piètre secours car elles leur paraissent tels « d'autres parents » à remettre en question.

D'ailleurs, existe-t-il à proprement parlé une « mission du citoyen » ?

Le citoyen existe dans la cité, dans la république. La citoyenneté est un notion sociale qui intéresse plus le sociologue que le quidam, citoyenne ou citoyen. Elle est décrite et finalement se définit plus sous la forme de questions que de réponse :

  • « Quels rôles un citoyen peut-il jouer dans la société (emploi du double sujet dans le questionnement ; plus simplement nous aurions écrit : « Quel rôle joue un citoyen dans la société ? ») ?,
  • « Quel est le statut juridique d'un citoyen ? »,
  • « Quelles sont les valeurs attachées à la citoyenneté (notez la réciprocité dans la question) ? »,
  • « En quoi la citoyenneté est-elle la manifestation d'une identité commune (introduction d'une nouvelle notion alors que la première est obscure) ? »,
  • « La citoyenneté n'est-elle aujourd'hui qu'une citoyenneté juridique (affirmation interro-négative) ?,
  • « Pourquoi la citoyenneté est-elle toujours en construction (évasion sur le futur dans l'ignorance de l'origine du sujet) ? »
    Extrait de Quels rôles un citoyen peut-il jouer dans la société ? - Source : http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/citoyen/citoyennete/definition/definir/quels-roles-citoyen-peut-il-jouer-societe.html - du 30 05 2006.

Les déclarations relatives aux droits (et aux devoirs ?) du citoyen sont anciennes.

Nous noterons que Légifrance laisse ouvert le texte « Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 » et n'en consigne pas une version fermée sous format pdf - Source : http://www.legifrance.gouv.fr/Droit-francais/Constitution/Declaration-des-Droits-de-l-Homme-et-du-Citoyen-de-1789. Nous remarquerons que dans son expression la plus « laïque », cette déclaration rejoint en empruntant à la spiritualité judéo-chrétienne ses aspirations anthropologiques et cosmologiques (« sous les auspices de l'Être suprême », était-il écrit dans celle de 1789, omis postérieurement ; en vertu de quel droit, éventuellement de quel devoir, cette déclaration n'est-elle pas transcrite telle qu'elle aurait été rédigée ?).

De fait la définition des hommes ou des êtres humains passe avant celle de l'être humain, de l'être social, du citoyen ou de la citoyenneté. Ces articles premiers, qu'ils soient dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 ou dans celles qui y ont succédées, jusqu'à dans la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948, « pèchent », heureusement (?) par le fait que la liberté se vit dans la pluralité de la société. La justification d'une éventuelle liberté de la personne, « être au singulier », est envisagée que dans la mesure où elle fait corps avec celle des autres, où existe une unicité de vision, de projet de vies (tout va dans le sens sacré, s'il est permis à quelqu'une ou quelqu'un de le comprendre).

Nous noterons enfin l'effort éducatif et pédagogique de la version du texte simplifié, au format PDF (pour les enfants) -
source : http://www.ohchr.org/Documents/Publications/ABCannexesfr.pdf
à découvrir dans http://www.lexilogos.com/declaration_droits_homme.htm !!!

Mais allons plus loin dans le temps pour arriver au 30 janvier 2012, c'est à dire dans la même consultation que ce jour, 8 octobre 2012.

Il existe une « charte des droits et des devoirs du citoyen français » art. 21-24 du Code civil, plus ou moins définitifs dans le contexte franco-français. Il serait souhaitable que nous n'en multiplions pas les variantes dans la diaspora franco-européenne ou tout simplement européenne (Cf. Décrets n°2012-126 du 30 janvier 2012 - art. 1, v. init. - art. 1 (V) - art. 1 ; le serveur du site www.legifrance.gouv.fr consulté, éprouve quelques difficultés en affichant le message suivant : « Le serveur a été victime d'une erreur interne et n'a pas été capable de faire aboutir votre requête. Soit le server est surchargé soit il s'agit d'une erreur dans le script CGI. ». Preuve s'il en est qu'il mélange les langues.)

Quoiqu'il en soit et sur la forme et la logique, nous retiendrons un point seulement qui nous paraît permettre à tous d'avancer sur le chemin de la connaissance (nous l'aborderons par la suite).



Si « la République assure la liberté de conscience. », c'est que cette république a conscience d'assurer cette liberté. Or « L'État et les religions sont séparés. » ; d'où lui vient alors cette conscience ?
La laïcité ignorant la concience de la spiritualité, il lui reste le premier sens de la conscience, celui de la connaissance. Mais cette connaissance serait-elle de pleine conscience si elle ignorait la moitié de la connaissance, de la conscience ? Je laisse à votre entendement la liberté d'être dans cette liberté de l'ignorance.

Malgré la qualité et le caractère verbeux des Déclarations et de la présente Charte (NOR: IOCN1132013D), où par décrets sont exposés les travaux de Messieurs François Fillon et Claude Guéant, je retiendrais un seul article qui a mon avis tient tous les autres :

« Tout citoyen français concourt à la défense et à la cohésion de la Nation. »,
qui était rédigé auparavant, le Journal le Figaro, "se prenant pour la République Française", nous en donne la transposition :

« Code du Service national, partier législative Livre Ier – Article L. 111-1 : Les citoyens concourent à la défense et à la cohésion de la Nation. »

Pour raison de service et également de transition, je le formulerai très prochainement autrement. En vérité, à ce Figaro-ci, aucune raison d'être nigaude en un Figaro-là.

Marya Deslas