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ENTRER DANS LE DEBAT, C'EST D' ABORD REFUSER LA TRICHE

Réponse au site http://www.newsring.fr/ :

Rappel de la question : Grèce : fermer l’audiovisuel public, une atteinte à la démocratie ?

"Là où un minimum de démocratie n'existe pas, la question de la démocratie n'a guère de sens." 13 novembre 2013, 01:08



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Vous violez les règles en imposant un vote binaire. Ce ne sont pas les miennes.

Je ferme définitivement tous mes propos sur ce site NEWSRING et considère vote site tel un SPAM.

Suis-je assez clair et assez démocratique ?

Vous portez atteinte à la démocratie en usant de questions fermées. Je réponds pour valider ce message par la négative. Car effectivement, il y aurait lieu de VOUS censurer car vous portez atteinte à la démocratie.

Ainsi la question se pose à l' identique : "Newsring : fermer son site privé, une atteinte à la démocratie ?" NON, car NEWSRING n'est pas favorable et n'apporte pas la démocratie.

... Et vous êtes coincés vous-mêmes en proposant "D'ACCORD", "PAS D'ACCORD" ; vous ne pourrez sortir de ce jeu là !

OÉ - commentaire validé par Marya Deslas

AUX ARMES CITOYENS, VEILLONS AU SALUT DE L'AN PIRE

Messieurs les censeurs, Messieurs les « bons » penseurs, Messieurs les « journaleux », Messieurs les manipulateurs mercantiles de l'information et de la politique, les Français seraient pour vous quelques partisans du Printemps, quelques 70 manifestants par-ci par-là, quelques militants d'extrême droite, quelques porteurs de bonnets rouges, quelques Celtes égarés de la terre du bout du monde, quelques partisans d'une déroute de La Manif Pour Tous, quelques immigrants ignorés sur les routes, quelques paisibles citoyens partisans de la sécurité, quelques danseurs et noceurs nocturnes pratiquant la valse, quelques spinozistes prêts encore au sarcasme, quelques sociologues ralliés des mauvais bords, quelques esclavagistes de l'industrie et du support, quelques néo-frontistes francophones du Twitter, quelques autres gens ayant d'autres couvre-chefs, quelques autres partisans optimistes, quelques terroristes réfugiés de pays maléfiques, quelques dénigreurs d'un trop lourd Code civil et public ...

Car les « bons  » Français seraient ceux qui penseraient qu'il y est irrespectueux et choquant d'en appeler à la Liberté un 11 novembre ! Alors nous le trouverions aussi un 14 juillet, un 8 mai, que sais-je encore, ajoutez des dates et nous devrions nous taire même quand la liberté n'est plus. Les maquisards ont défilé sous l'occupation allemande et nous devrions nous abstenir.

La liberté aujourd'hui serait de se passer de François Hollande, du gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Que pourraient-ils contre cette liberté ?

Aux « Moi Je » prononcés 16 fois, ce serait un unique « Toi tu m' », il fallait s'y attendre.
Incapables de juguler le chômage, ils relancent les impôts et les taxes, ils apportent les conflits jusque dans les chaumières.

Que François Hollande et le gouvernement aient raison ou tort, Hollande n'est pas un président, c'est un mot qui se décline.

En ce 11 novembre il est devenu « Hullande », car il n'avance plus ou si peu.
Et de son ascèse d'hier pour être un chef d’état, articulée à grand frais d'un « changement c'est maintenant », méprisait le corps de l'ancienne République.

Alors, faut-il s'étonner qu'on veuille aussi faire tomber celle qui s’annonçait nouvelle !

Avant de faire par le fer tomber le Roi, n'avons nous pas jadis d'abord coupé sa tête ? S'il était nécessaire de couper celle de cette république, que ne le ferions-nous pas.

Il n'y a pas nécessité comme le dirait Marianne si elle n'était pas nette de rappeler des faits historiques. « Il n'y a donc » PAS « fort à parier que ...».

La vérité historique n'appartient pas au passé, elle appartient à l’actualité et en l'espérance du futur. C'est aujourd'hui et demain que nous créons et engendrerons liberté. Et nous nous appuyons justement sur le récent « Toi, Tu'm ».

Monsieur François Hollande en appellerait à « l'Unité nationale » ! Tout au plus peut-il maintenant prier pour son propre chef. En lui il ne croit plus et s’essouffle de lui-même.

Nous en appelons non pas à l' « Unité nationale », mais à l'Europe entière, celle qui se passe des royaumes et des États désunis. Et c'est bien une tâche plus difficile et plus grave qui du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest est au bout de nos bras, si elle ne l'est sur toutes nos têtes.

Notre devoir est d'abord d'aider les Philippins. Après nous verrons où nous pourrons bien repousser toute haine et chasser ce mauvais Haiyan.

BANNIR LES RÉSEAUX SOCIAUX QUI CENSURENT

La nudité exprimée dans l'art est choquante selon Facebook ; il y fait censure
@Facebook

Nous nous sommes désinscrit de Facebook et nous ne participons plus aux forums qui ont décidé, par l’opinion d'un « modérateur », de censurer nos propos.

Nous tâchons d'appliquer une éthique journalistique définie par les professionnels des médias qui parfois ne l'appliquent pas eux-mêmes sur les supports utilisés aujourd'hui.

Une des règles de communication adoptée, dans le cas d'un forum, d'ouverture à commentaires ou opinions est la libre expression, dans le cadre du respect des personnes et des biens.

De fait, s'il est état de la violation de ce principe, il est juste et nécessaire de la part du responsable du site d'exprimer la ou les raisons pouvant justifier le rejet d'une expression, car cette dernière ne peut être qualifiée ni de civile, ni de libre.

Des réseaux sociaux, en omettant de préciser les principes de leur communication, in fine dans leurs Conditions Générales d'Utilisation (CGU) ou Charte des Utilisateurs, pratiquent la censure.

En effet, le droit de réponse, surtout lorsqu'une personne morale ou physique est nommément désignée, doit pouvoir être appliqué.

En l'absence de ces droits et devoirs, il y a censure. Nous la dénonçons et nous la bannissons.

LES RÉSEAUX SOCIAUX CENSURENT : le cas MSN

Bonjour,

Il est illusoire d'obliger tout un chacun à être civil, cordial, voire aimable par la réglementation. Si les personnes ne sont pas antisémites, racistes, homophobes, etc. ou vulgaires, est-il naturel d'être tolérant, tolérant envers qui, envers quoi ?
Qu'est-ce qui est normal, qui vit dans la normalité ? Doit-on punir dès qu'il existe une colère, un mauvais état d'esprit, une rébellion avant même que ces paroles se traduisent effectivement en actes violents, d'atteinte physique ou morale sur la personne ? Qu'est-ce qui est juste et honnête ? L'homme d'État lui-même, qui bénéficie de la "légalité", n'est-il pas un provocateur ? Alors oui, vous pourriez avoir à demander "justice" envers n'importe qui sous prétexte qu'il a un mouvement de tête qui ne vous plaît pas, avant même qu'il n'ait parlé ou qu'il n'ait écrit, qu'il n'ait traduit ce qu'il pense, dans des propos exagérés qui sont sa mauvaise condition et son mal être.

Désirez-vous une censure qui soit plus terrible encore ?

Pour ma part, je suis pour la liberté de chacun et j'accepte chacun dans sa condition présente, à charge pour moi ou pour d'autres de lui indiquer qu'il est possible de voir le jour sous de meilleurs aspects. La liberté et plus conséquemment la démocratie impose que nous soyons responsables et que nous répondions sans hausser le ton là où c'est inadmissible, que nous invoquions si nécessaire le silence à la provocation. Iriez-vous demander rendez-vous en place publique pour régler des propos insultants ? Alors quittez cet endroit de haine pour aller construire ailleurs. Ce n'est pas les sites qui manquent !



Benoît Bonpas

Propos censurés par http://news.fr.msn.com/hightech/twitter-hors-la-loi

OÙ EST DONC PASSÉE LA DEUXIÈME COMPAGNIE ?

Oui, où sont les couples, où se trouve la paire GAY ? L'information qui n'informe pas.

Devant une opposition qui envahit la rue, nous nous interrogeons sur l'existence effective et réelle de ménages, de familles qui souhaiteraient vivre gay.

Certes, les médias, de presse et de télévision ont bien voulu nous exposer quelques cas. Mais à chaque occasion de ces reportages, nous n'avons pas réellement décelé la nécessité pour les uns et les autres de recourir à un engagement de vie conforme au principe commun. Ces « ménages » semblent vivre très bien tels qu'ils sont.

Alors, où est le problème ?

De plus le prisme de l'information nous en transmet une image déformée, toujours machiste ! En témoigne l'image d' lci.tf1.fr qui représente une demie réalité en présentant des poupées masculines.
« MY » TF1 se moque de la France, de la partie qui représente plus de la moitié de la population française, en tout cas de la gente féminine, qu'elle soit ou non gay.

C'est cela le vrai problème : méconnaître les personnes, les ignorer, être irrespectueux envers elles, être sectaire, machiste … Ainsi, avant de pouvoir avancer un tout petit peu sur les relations « gay », il faudrait nous semble-t-il, que certains évacuent leurs propres contradictions.



TF1 est hors de pouvoir s'annoncer « MY » TF1. C'est la / le TF1 de je ne sais pas qui, en tout cas pas une / un TF1 de France. Si TF1 est de langue anglophone, qu'elle / il s'exprime ainsi, en langues de ces phonies. Mais qu'elle ou il évite d'affirmer ce qui n'est pas.

A vouloir trop vous calquer, par clientélisme journalistique, sur le client quidam, vous finirez par ne plus être écouté(e) du tout, car vous reposez sur la tromperie.

Vous abusez de votre auditoire, il en a pris conscience. C'est votre perte que vous signez ou ne signez pas.

Article de Luc Opale

MIGRATION DU SITE

Le site NOUS LE PEUPLE FRANCAIS D'EUROPE devient désormais NOUS EUROPEENS DE FRANCE

sur http://nous_europeens_de_france.franceserv.com/

Bonne navigation

MIGRATION DU SITE

Le site NOUS LE PEUPLE FRANCAIS D'EUROPE devient désormais NOUS EUROPEENS DE FRANCE

sur http://nous_europeens_de_france.franceserv.com/

Bonne navigation

INDISPONIBILITE MOMENTANEE DE CERTAINES FONCTIONNALITES DU SITE

Nous vous prions de patienter.

Nous avons constaté une défaillance du système de protection de notre site NOUS, PEUPLE FRACAIS D'EUROPE.

Elle est très certainement due à l'action malveillante d'un lecteur désirant écrire délibérément son opinion, ce qui est techniquement interdit dans notre configuration.

Nous considérons cette intrusion pour l'intention qu'elle manifeste et nous y remédions.

LA CENSURE DES RESEAUX SOCIAUX

Sommes-nous libres d'exprimer, même sous couvert de modération, ce que nous désirons ?

Facebook : La saisie du mot-clé "Facebook" provoque un contrôle de contenu interdisant de faire une critique claire de l'interface qui le supporte ... à l'évidence d'en dénoncer la censure ou d'évoquer les évolutions d'une interface qui a supprimé sans information préalable un accès ; pour être plus précis, celui des articles constituant le Forum de discussion.

D'autres exemples peuvent être cités où le "modérateur" porte tellement bien son vocable qu'il supprime votre intervention écrite et vous signale par courriel qu'à ses yeux elle se trouve hors sujet. Par une censure simple et définitive, il vous incite à relire la charte du site ! C'est ce que nous pouvons constater comme étant de la communication journalistique du Web, une propagande d'opinion qui n'autorise que la sienne !

Nous n'avons pas pour mission d'être un réseau social. Afin de protéger notre propre point de vue, nous avons adopté une information descendante. Ce n'est pas une propagande d'opinion ; elle se veut le reflet de réflexions concertées et d'une expression qui pourrait être ouverte à notre sens au débat. A défaut de moyens conséquents, nous ne pouvons encore l'ouvrir dans le cadre d'un forum de discussion.

LA DECADENCE DU SENS - FRANCE (brouillon)

Suite de La décadence des rotatives - France

Vous allez me dire : « c'est inhumain d'exclure les homosexuels, les homosexuelles ; d'après le sens de l'histoire, tout le monde en Europe, accepte le « mariage des homosexuels ».

A remarquer que depuis 11h21 ce matin, l'article du Parisien est déjà passé dans la trappe des oubliettes journalistiques, preuve s'il en est d'un manque de consistance.

Le sens du temps, de l'histoire est un argument peu convaincant. Tout changement, tout progrès est à examiner de façon circonspecte.

Le premier point, fondamental est celui de la légitimité. Il est hors de la justice de supprimer une légitimité pour en asseoir une autre, au détriment de la première. Les couples, ménages, femmes et hommes qui ont ou qui souhaitent se marier tel qu'est défini le mariage civil doivent et devront continuer à pouvoir se marier ainsi sans que soit englobé, légalement, un usage contraire au principe qui a conduit leurs décisions.

En cela et sous réserve de la véracité des informations fournies par le Parisien, les pays de Belgique, d'Espagne, de Norvège, du Portugal, des Pays-Bas et de la Suède ont procédé à une assimilation qui porte atteinte aux mariages qui avaient été contractés selon l'usage traditionnel de leur pays.

De facto, le terme de mariage est ainsi hors de pouvoir être adopté à l'ensemble des unions, d'une manière indifférenciée : mariage et union homosexuelle.

Une nouvelle légitimité, une dignité doit-elle être adaptée aux unions homosexuelles ? Si oui, comment ?

Certains considèrent que cette légitimité est caduque dans la mesure où elle est contraire à la nature. D'autres estiment que le statut de concubinage correspond à une union de fait, et s'inscrit dans une reconnaissance et à un statut suffisants. D'autres enfin considèrent que le devenir d'un mariage est celui d'une famille. Est-il quelqu'un qui se marie pour être seulement avec son conjoint, sa conjointe ?

En pratique et devant le représentant légal, il est impossible de connaître la suite d'une union humaine, si elle est pérenne, si elle se poursuit par la naissance ou l'adoption d'enfants ? En conséquence, l'argument familial est un élément qui dépend des suites de l'union.

Voir suite de l'article sans lien à ce jour : La décadence ? - France

Vers le début du thème

« ... Viendra un jour, oh sinistre mémoire ou prophétie de l'évolution humaine, c'est peut-être avec un animal, une plante, un objet, une pensée, un idéal, enfin, ...être avec ton Dieu ... , pour lequel tu voudras oublier, humanité en un unique humain dans l'humilité suprême, qui effacera toutes les bassesses d'un fruit que tu aurais trop mangé ! »

INITIALISATION DE LA REFORME DU CALENDRIER - Le projet Calvaire

Nous rejoignons Facebook et Madame Eva Joly concernant la réforme du calendrier.

Description du projet : CALVAIRE, ou calendrier des verts est un projet de réforme du calendrier. Ce nom a été choisi car c'est la seule entrée sans doublon figurant dans Facebook. Nous aurions préféré "Pomme verte" ou même "Calvert" ou même, ... mais ces noms figuraient déjà, dans un calendrier il est vrai assez chargé.

Ce projet, initié par Madame Eva Joly, représentante du mouvement d’Europe Écologie Les Verts est ouvert à nous tous, NOUS, Le Peuple Français, car c'est une proposition. A nous d'y répondre le plus favorablement. C'est donc un voeu non seulement pour 2012 mais bien plus certainement pour les années qui vont suivent ... En prenant ainsi des voeux à l'avance, nous serons en effet plus enclins à les réaliser ! JOYEUSES ANNEES A TOUS Afficher la suite ... sur Facebook

Afin d'éviter de finir par buter sur une difficulté, nous allons commencer d'abord par définir.

En premier lieu le mot, l'objet calendrier a-t-il la même signification pour nous tous ?

calendrier en français, تقويم (arabe), calendar (en), Kalender (de), calendario (es), calendario (it), kalender (nl), kalender (no), kalendarz (pl), calendário (portugais), calendar (roumain), календар (serbe), kalendár (slovaque), koledar (slovène), kalender (suédois), kalendář (tchèque), takvim (turc), קאַלענדאַר (yiddish) ...

Nous devons donc en parler ensemble afin de savoir si nous parlons tous de la même chose.

Le calendrier change tous les ans, il est hors de l'universalité

C'est une difficulté inhérente à sa constitution, il est établi sur 365,25 jours et il est périmé au bout d'une année. Nous pourrions exposer d'autres éléments et nous vous fournirons les liens utiles afin d'obtenir des informations plus abondantes quand notre calendrier le permettra !

Notre calendrier est chargé

Pour ce qui ressort des 13 dernières journées écoulées (nous avons pris un peu d'avance, il est 11h55 GMT au moment où nous écrivons) depuis le début de l'année 2012 et nous limitant à ce qu'il se passe en France, nous pouvons vous indiquer quelques "statistiques" éloquentes par les commémorations, les souvenirs et les voeux qu'elles suscitent :

processing, please wait for achieved results

234 martyrs, saints et saintes, bienheureux et bienheureuses, patrons et patronnes, religieux et religieuses, fondateurs et fondatrices d'ordres ... soit en moyenne 18 commémoraisons et commémorations par jour,

auxquelles s'ajoutent les voeux de nouvelle année qui peuvent être annoncés jusqu'au 31 janvier ; le mieux étant de les formuler avant le 15 du mois,

et les anniversaires et décès, qui s'ils peuvent être déplacés pour les premiers, sont fixés pour l'éternité concernant les derniers.

Ainsi nous est-il possible de voir ...

JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA FEMME – Soyons témoins et agissons

Agnès, Cécilia, Jenny, Laëtitia, Marie, et tant d'autres … Nous pensons à elles comme nous pensons à nous-mêmes. Nous continuons à être des témoins et des acteurs de nos vies, nous continuons à vivre.

Avilissement, agression, bassesse, bestialité, blessure, contrainte, corruption, coup, crapulerie, débauche, dégradation, flétrissure, insulte, harcèlement, humiliation, inhumanité, maltraitance, menace, mépris, meurtrissure, mutilation, obscénité, offense, outrage, perversion, perversité, sauvagerie, souillure, traumatisme, vexation, vice, vilénie, violence, etc. tels sont quelques mots et les maux qui nous atteignent.

Les lois, correctement rédigées et appliquées demeureront insuffisantes. C'est hors du fatalisme. Nous sommes libres, nous avons confiance mais connaissons nos limites. Nous sommes responsables et mesurons la complexité des hommes. C'est par l'humanité, par le témoignage et par l'action auprès des victimes de nos sociétés que nos vies peuvent continuer. S'il est une action sociale qui puisse être effective, c'est bien par la réduction du nombre de nos victimes.

CONFIANCE

Avoir la confiance du peuple, le représenter consiste à en comprendre ses qualités et ses défauts mais plus encore à en être, à en incarner sa dignité et sa prétention.

L'ambition, l'orgueil sont dépassés par l'incompétence. La pauvreté d'action de solidarité et l'absence de perspective conduisent à l'indigence de l'immobilisme et de l'enfermement.

Dans le contexte où l'inexistence de politique familiale, de création d'activité, de crédit en la monnaie, de mesure de sécurité, de solution humaine concernant l'immigration, de lutte contre la délinquance, etc. , il y a usure des représentants comme des acteurs. Nous nous trouvons devant la carence de nos institutions, dans la faillite de notre système, dans le refus de la solidarité et de notre diversité.

Alors comment restaurer la confiance ; plus simplement comment trouver une voie à notre liberté ?.

A l'inverse de ce que certains pourraient penser, toute gestion est inefficace. Qui songerait à gérer les hommes, gouvernement ou industrie, irait à la décroissance s'il songe un moment à se séparer de leurs confiances, de leurs accords.

Retrouver cet accord, restaurer la confiance sont les seules voies de liberté. Nous savons tous comment procéder. Nous allons encore y surseoir. Administrer la confiance ?

Le 11 novembre, 315è ou 316è jour de l'année

En ce jour nous pensons plus spécialement à tous les soldats de toutes les nations engagés par conviction et par défense pour la paix entre les hommes.

Cette date, et même s'il en est d'autres tristement égales, nous rappelle nos horreurs et notre monstruosité humaine à détruire la vie de nos semblables.

Hier c'était dans un corps à corps, aujourd'hui par l'intermédiaire de machines ou de machination, qui par intention et, ou par acte, auraient pu subvenir à notre secours, dans le prolongement d'une nature s'étendant jusqu'à la matérialité de « nos inventions » et de « nos créations », nous avons à choisir et continuer pour que l’œuvre qui nous conduit soit dans son achèvement une œuvre de paix, une œuvre de vie.

Aux drapeaux et aux hymnes ce sont les présences d'un enfant qui naît et de sa mère qui nous offrent l'espérance. Cela nous suffit ... Fêtons les anniversaires qui le méritent, les autres avec silence.

Pour le "pro fan" : Giulia et Carla @greatsong.net

Pardon, pardon, pardon, Il est plus fort que le blasphème, Il porte en Lui pardon.

Il est inévitable que des scandales se produisent car nos écrits ou nos paroles sont souvent hors du cœur.

La civilité est méconnue et nous nous plairions à dire « bonjour Madame, bonjour Monsieur, etc. » quand nous préférons dire « Va te faire voir lesbienne, pute, salope, etc., pédé, enfoiré, trou du cul, etc. » ?

Alors le blasphème peut bien vivre et mourir à la fois ...

Si vous trouvez effet comique dans ces dernières expressions, libre à vous de les proférer.

Nous vous pardonnons votre manque d'esprit car le rire appartient à un autre registre. Cela vaut-il la peine de brûler ce qui est déjà cendre, mort ou silence ?

Le sourire ou le rire interviennent quand nous sommes hors de pouvoir poursuivre par des paroles, quand nous sommes précisément acculés au mutisme. D'où cet éclat si largement sonore pour s'en libérer ... Nous attendons le silence, cela va tous nous faire vraiment rire et exploser de joie !!! < RIRES >

Lecture du jour : Livre de la Sagesse 1,1-7.

Lettre ouverte à tout responsable de pouvoir

(et donc à Monsieur Dominique Galouzeau de Villepin)

Vous rapportez le scandale et dénoncez les rumeurs de la rue. Elles ont été de celles qui propagèrent la mort du Roi Louis XVI comme de celles qui annoncèrent la Libération de Paris. Elles sont maintenant relayées sur Internet, de la « page de journal » aux chocs des vidéos.

Il est facile de mettre en cause le peuple quand responsables politiques, vous avez failli aux missions que celui-ci vous avait confiées. Qu'attendiez-vous d'un vent de clarté, …, d'une justice venue d'ailleurs ?

L'exercice du pouvoir ou l'usage de la liberté doivent se vivre désormais avec vertu. Il est temps à la politique de retrouver un espace où l'air est plus sain. C'est aux politiques de se placer sur un terrain vierge. Il va vous falloir négocier si vous souhaitez vivre de notre liberté.

L'ÉCOUTE, UN SENS NATIONAL

Qui a entendu, lu, vu sur les médias TAG que « le bruit est une nuisance pour 51% des français » ? Manipulation audio-visuelle ou statistique réelle TAG ? Alors supposons ...

Monsieur FH*, nous dit-on, visite notre pays des îles et par sa parole de la mystification suggère d'emprunter la langue du pays. Sait-il aligner quatre cents mots en créole et dans la pensée de notre pays ?

Monsieur NS* délaisse le salon de l'agriculture mais va faire un tour pour prononcer quelques propos acides sur les azotes, les nitrates et les méthanes à Crozon (ont-ils dit «causons »? Non, c'est bien avec les crocs que l'expression provient de ce presque Finistère).

Le problème vient d’ailleurs. Ces politiques, tout comme la majorité des Français souffrent d'écoute, plus exactement, nous avons des difficultés auditives dues au bruit.

Nos amis les malentendants, nom que nous avons allongé car nous avons peine à les entendre dans nos conversations, les sourds, sont beaucoup plus réceptifs et pratiquent bien mieux la communication. Très rapidement dans nos échanges, ces derniers nous indiquent de parler distinctement, d'articuler correctement ou nous proposent d'utiliser un autre canal.

Mais revenons à notre majorité défaillante, harcelée de bruits. Un exemple simple, reproduit dans des conditions variées de niveau de décibels, viendra vous convaincre.

J'ai eu à épeler mon prénom et mon nom à mantes reprises (guichet d'administration, par téléphone, etc.) : « Marya Deslas* », cela semble facile à transmettre et en réception à écouter puis à retranscrire. Eh bien, détrompez-vous ! Cet exercice est sans rapport avec le certificat d'étude primaire. Rien n'y fait. Dans la majorité des cas et quelque soit la méthode utilisée, je suis surprise en constatant que le taux de bonne réception n'atteint que rarement les 60%.

J'utilise :

Je propose d'abord de les écrire moi-même sur un papier ou de les transmettre par courrier. La plupart des personnes me disent : « J'ai bien compris » et en me l'épelle à leur tour avec un changement sur une ou plusieurs lettres. Je répète à nouveau ; malgré la rectification, la transcription se révèle erronée.

Ou j'épelle :

avec l'alphabet international de l'OACI (Alpha, Bravo, Charlie, …) qui donne pour moi « Mike, Alpha, Romeo, Yankee, ... »,

ou localement,

avec l'alphabet radio français (Anatole, Berthe, Célestine, …) qui donne pour moi «  Marcel, Anatole, Raoul, Yvonne, …),

que je transforme également selon la voix féminine ou masculine de mon interlocutrice ou interlocuteur, en conservant le même genre, féminin ou masculin, (Anastasie, Brigitte, Charlotte, …) ou (Arthur, Bernard, Charles, …), ce qui donne pour moi tour à tour « Marie, Anastasie/Alice ..., Rachèle, Yvonne/Yollande,... » et « Marcel/Marc, Arthur, Richard, Yann/Yves, ... »

… mon prénom ou/et mon nom est/sont incorrectement écrit(s).

J'ai abandonné le « Y comme dans il y a du soleil », c'était trop compliqué et entrainait une réponse « c'est vrai, il fait beau » ou « Ah non, pas ici » qui n'avait que peu à voir avec le sujet.

En conséquence, si nous souhaitons dégager quelques solutions d'avenir, il semble évident qu'il faille :

1. soit simplifier la richesse des phonèmes et règles d'écriture que nous utilisons, ici et là (ce qui serait dommageable à tous nos apports culturels),

2. soit élever le niveau d'écoute, en réduisant d'abord les bruits.

Nous aurons alors des chances d'obtenir une majorité silencieuse, puisque établie au moins sur les 51% qui ne souffriraient plus du bruit !

C'est hors de toute démocratie que les managers et hommes politique parlent pour ne rien dire (leur raison d'être est de nous représenter, rien de plus ; alors si nous nous taisons, auraient-ils à parler ?). Nous sommes, de par leurs incapacités d'écouter et de suivre notre action, dans la spécialité de faire sonner et trébucher la ferraille de notre monnaie. Dès lors ce sont leurs battages, tapages, matraquages et autres tintamarres ...

Il fallait le froufrou d'un billet pour leur rappeler que s'ils veulent rester, il va falloir nous convaincre par leur écoute et leur silence. S'ils ont mal compris que nous sommes lasses et las de leurs tohu-bohus, nous serions bien aise qu'ils aillent les faire ailleurs.

J'ai écouté. Ce ne sont qu'une hypothèse et en conséquence une conclusion suggérée.

* :toute ressemblance avec une personne existante ou ayant existé est absolument fortuite.