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MANIPULATION – FICHE PRATIQUE

La manipulation est un acte caché et intrusif ( éventuellement ensemble de tentatives obscures ou occultes ) de domination d'un individu ou d'un groupe d'individus, exercé par force et par abus frauduleux (par fricotage – arrangement, combinaison louche -, intrigue, machination, manigance, manœuvre, spéculation, trafic, etc. ) de l’état d’ignorance, de faiblesse ou de peur, physique ou psychologique d'une personne ciblée ou d'un groupe social, ensemble de personnes, ou société.

La manipulation a pour but de fausser ou d'orienter la perception de la réalité de cette cible en usant d'un rapport de pouvoir, de séduction, de suggestion, de persuasion, etc., de soumission involontaire ou non consentie.

La manipulation utilise tous les moyens scientifiques et techniques, etc. et se révèlent de fait à son stade maximal d'évolution, « d'innovation », dans les plus modernes, ceux permettant justement d'atteindre notamment et précisément les capacités cognitives et discriminantes ; là où existe addition de substances « non naturelles » et communication par interface, drogue et Internet.

Dans la forme de délit identifié et reconnu, elle se révèle à l'évidence péril pour la Démocratie et la République puisque contraire aux principes universels de Liberté, d’Égalité et de Fraternité.

Nous dirions : « ce que la force brutale, directe et de face est hors de pouvoir détruire ou tordre, elle l'emprunte à la manipulation, d'égale intensité, indirecte et cachée ».

Corrélat : Droits de l'homme


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Mis à jour : 13 juin 2015

Les journalistes découvrent

LA LIBERTÉ DE CONSCIENCE - I

Le site http://unpasenavant.free.fr a été momentanément indisponible, jegouvernelafrance a proposé d'assurer temporairement l'hébergement de ses articles (4 juillet 2013).

LA LIBERTÉ DE CONSCIENCE - I

Quelle relation avec l'État européen devons-nous et pouvons-nous entretenir ?

Une des répliques sinon la première aurait été de négocier avec l'État (français) la reconnaissance des mariages dans les Églises reconnues par l'État comme étant d'équivalence au mariage civil. Ne sommes-nous pas, citoyens d'un même pays, en effet sensibles aux valeurs de Liberté, d'Égalité et de Fraternité ? Il est temps de le dire à l'Europe, dont la France est un pays parmi les 28.

Nous pouvons nous étonner et regretter alors et chez nous, qu'aucune Église n'ait pris l'initiative, à notre connaissance, du besoin de cette évidente liberté de pratique. En effet, le mariage doit-il être nécessairement établi par le(la) maire avant que d'être professé religieusement et spirituellement ? Y-aurait-il nécessité à signifier deux fois, « bis repetita placent », un acte dans lequel et par lequel le deuxième, par un sacrement, inclut le premier ?

Il en résulte de l'histoire, des difficultés de conciliation , de l'influence de la séparation de l'Église et de l'État 1905 : la manifestation contre tous de l'absence de considération de l'État envers la liberté de conscience, de pensée, d'agir. Une séparation, quelle qu'elle soit, pourrait-elle contribuer un jour à un rapprochement, sinon par sa propre remise en cause ? Signalons que dans certains pays d'Europe centrale et orientale, bien qu'ils ne soient pas considérés où existe un niveau élevé de démocratie, aient recours à cette pratique.

Nous avons, eu tant que membre d'une Église, devoir de prier, c'est à dire d'apporter aide et enseignement par la parole et le pardon. Cette mission d'Église est d'évidence civile. Si la prière a valeur spirituelle, elle est aussi expression profane en entretenant la compréhension, le dialogue de la civilité et de la laïcité.

Cette compréhension réside dans la conscience, dans la connaissance, dans les personnes, dans leurs relations, dans celles des communautés, des associations et des entreprises, que ces personnes morales ou physiques soient d'ordre public ou privé.

Dès lors, c'est bien dans la multiplicité que réside la richesse et non dans l'acception étroite d'une liberté qui n'affirmerait qu'une laïcité. Signe des temps, cette variété s'est révélée au travers des âges par les arts : l'architecture, la sculpture, le dessin et la peinture, la musique et du chant, de la littérature dont la poésie, les arts de scène (théâtre, danse, mime et le cirque), et ceux plus modernes de la photo et du cinéma, des médias de l'information hertzienne et numérique, de la bande dessinée. S'agirait-il, ici aussi, de prescrire et de proscrire car la caractéristique d'une œuvre serait de ne pas être 100% laïque ? Nous sommes confondus par toute vue qui serait autre que celle de la diversité.

Quelles sont les obligations des élus ou des représentants ?

Dans le cas habituel de la démocratie, ceux qui ont mandat de faire accomplir la loi (par exemple les maires) sont en harmonie avec celle-ci. De fait et dans ce cas, cela entre dans le cadre défini par Montesquieu : « La liberté est le droit de faire ce que les lois permettent. » - L'Esprit des lois, XI, III (1748). Mais si cette concordance est absente pour une raison légitime ou pour une autre, pour le bien du ou des peuples, et serait soumise à l'entrave de l'État, si Montesquieu ne pouvait plus affirmer « La liberté est un bien qui fait jouir des autres biens » - Réflexions et Pensées (1689-1755), alors il y aurait absence de liberté, ce serait la tyrannie.

De fait, si nous sommes invités à une liberté en nous privant d'une autre, quel peut être le résultat si la liberté qui nous est offerte n'inclut pas la première ?

Nous perdons la liberté de conscience, aurions-nous alors conscience de notre liberté ?

Article redirigé provenant du site Opposition Européenne sur unpasenavant.blog.free.fr

DE L'ÉGALITÉ

L'ÉGALITÉ DE DROITS, UN PRICINPE QUI DÉTRUIT LE DROIT

Qu'est-ce que l'égalité ? C'est le caractère, de ce qui est égal, qu'il existe une équivalence ou une parité.

Le signe égal en Science

@ media.paperblog.fr - @ peut-être un jour sur fr.wikipedia.org

C'est de montrer dans la comparaison d'un ou de plusieurs sujets, d'un ou de plusieurs objets, de plusieurs personnes, qu'ils sont égaux, qu'elles sont égales. De fait que le singulier ou le pluriel, que le genre (masculin ou féminin) est indifférent, qu'il existe une unicité.

C'est d'affirmer que le nombre de points obtenus par l'une ou l'autre des valeurs est le même et produit un équilibre. Qu'ils arrivent en même temps, sur la même ligne d'arrivée sans qu'il soit possible de les départager, ils ou elles sont ex æquo.

Les valeurs de la République
@ defense.gouv.fr (sans italiques, « la défense se couche que pour mieux tirer ... » ; ce n'est pas tout à fait égal, c'est tactique.)

L'Égalité est la deuxième valeur de la République française : « Liberté, Égalité, Fraternité .». Nos remarquons qu'il s'agit d'une énumération, d'une phrase sans verbe.

Cela veut dire que l'Égalité, la Fraternité et la Liberté ne sont pas égales. Si elles avaient été égales, au moins elles auraient eu le même sens, au mieux elles auraient été placées dans l'ordre alphabétique, avec l'explication que le premier principe impliquait par sa position qu'elle était « souveraine » et qu’elle commandait les autres.

L'Égalité n'est pas située derrière la Fraternité, montrant ainsi que la Liberté, premier principe, est égal au troisième principe, celui de Fraternité.

Il faudrait lire « La liberté égale la fraternité » ou « la Liberté est égale à la Fraternité ». Nous laissons à d'autres le débat sur cette vision ou la discussion concernant ces autres valeurs.

En conséquence, qu'elles peuvent être ou qu'elles pourraient être l'égalité devant la loi, les égalités devant les lois ? Qu'elles sont, qu'elles seraient ces égalités civiles, politiques, sociales … ?

Nombre d'Euler ou constante de Néper @ fr.wikipedia.org

Concernant les plantes, les animaux, les objets ou choses, cela semble assez clair. Mais qu'elle égalité provient de la nature ?

fonction exponenetielle @ fr.wikipedia.org

Les femmes et les hommes sont-ils égaux de nature ou en nature, de droits ou en droits, de droit ou en droit ?

L'égalité théorique entre les femmes et les hommes
@ acontrario.net (où la galanterie se perd mais c'est égal ! Veuillez remarquer "également" l'instabilité de cette balance)

Si elles ne le sont de nature, le sont-elles, le sont-ils, pourraient-elles l'être, pourraient-ils l'être en droit ?

La vérité impose que ces plantes, animaux, choses ou personnes aient ou possèdent une condition constante, régulière, une qualité pérenne.

En effet et à l'évidence, si une de leur (ou plusieurs de leurs) qualité(s) change(ent) constamment, si leur régularité, leur uniformité, leur humeur, leur sérénité ou leur tranquillité, etc. se trouve(ent) ou est (ou sont) altérée(s) ou modifiée(s), non seulement individuellement, chacune d'elle n'est alors plus égale à elle-même... Elles ne peuvent plus être égales entre elles.

Valeur de e
@ ENCYCLOPÆDIA UNIVERSALIS (paper or digital - EN ) - @ ixquick.com (direct en un seul clic, sans sélection images, mais c'est égal, "dit-on" dit.)




Où s'arrêter dans l'objectif d’Égalité ? Où faut-il être, où faut-il se stabiliser avant que notre raison vacille ?

Car c'est ici, en fait, que réside aujourd'hui la question. Où est la contradiction du « LE CHANGEMENT C'EST MAINTENANT » ?

Le changement ne peut se constater qu'en comparant deux situations produites à deux instants différents ; le reste, c'est du boniment, du mensonge.

Ainsi est néfaste le slogan qui énonce la tromperie, l'affabulation, l'artifice, la déloyauté, la duplicité, l'erreur, l'escroquerie, la farce, la fausseté, la faute, la fourberie, l'imposture, l'illégitimité, l'illusion, l'inexactitude, la mascarade, la menterie, le paralogisme, la ruse, le semblant, la tricherie, etc..

En « rénovant » trop maladroitement, trop rapidement, c'est d'abord une œuvre de destruction que nous apportons.
Nous bâtissons ici, un pan s’effondre à côté... La liberté est certes de faire tomber quelques murs, quelques portes, mais peut-être pas ceux et celles de nos maisons ; que nous y songions !

N'allons-nous pas courir sans pouvoir jamais la rattraper ? Cette égalité nous précède, elle fuit à mesure que nous désirons l'atteindre !

Oui, nous le répétons, nous devons agir, mais entreprendre avec discernement.

Nous vous remercions de nous avoir lu avec une force d'écoute égale à la force de notre discours.

Vive l'Europe, Vive La France

22 avril 2013, mis à jour : 4 octobre 2016

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FICHE PRATIQUE - MANIPULATION

La manipulation est un acte caché et intrusif ( éventuellement ensemble de tentatives obscures ou occultes ) de domination d'un individu ou d'un groupe d'individus, exercé par force et par abus frauduleux (par fricotage – arrangement, combinaison louche -, intrigue, machination, manigance, manœuvre, spéculation, trafic, etc. ) de l’état d’ignorance, de faiblesse ou de peur, physique ou psychologique d'une personne ciblée ou d'un groupe social, ensemble de personnes, ou société.

La manipulation a pour but de fausser ou d'orienter la perception de la réalité de cette cible en usant d'un rapport de pouvoir, de séduction, de suggestion, de persuasion, etc., de soumission involontaire ou non consentie.

La manipulation utilise tous les moyens scientifiques et techniques, etc. et se révèlent de fait à son stade maximal d'évolution, « d'innovation », dans les plus modernes, ceux permettant justement d'atteindre notamment et précisément les capacités cognitives et discriminantes ; là où existe addition de substances « non naturelles » et communication par interface, drogue et Internet.

Dans la forme de délit identifié et reconnu, elle se révèle à l'évidence péril pour la Démocratie et la République puisque contraire aux principes universels de Liberté, d’Égalité et de Fraternité.

Nous dirions : « ce que la force brutale, directe et de face est hors de pouvoir détruire ou tordre, elle l'emprunte à la manipulation, d'égale intensité, indirecte et cachée ».

Corrélat : Droits de l'homme


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FICHE PRATIQUE - LA COMPÉTITIVITÉ

La compétition est le facteur premier du développement humain : station debout plutôt que quadrupède, …, sportivité, évolution perpétuelle vers de meilleurs résultats en athlétisme, elle évolue dans l'amélioration des rendements agricoles, de chasse ou de pêche, recherche d'outils de plus en plus performants augmentant la force, la précision, etc., elle a pour fin de maximiser le rendement en diminuant les efforts, les ressources pour atteindre un résultat comparable ou supérieur. Elle se transforme en compétitivité, se porte de l'individu au groupe, du groupe à la cité, de la cité à l'industrie, de l'industrie à la globalisation, du monde à des solutions espérées comme étant universelles.

Nous en mesurons les progrès comme les écueils, existants en la personne comme dans les objets, les machines, les organisations, les concepts. Sa caractéristique économique ou situation est la concurrence, dont les développements les plus récents sont la flexibilité (le parent de la souplesse sportive) et la qualité (résurgence de l'idéal de beauté physique grecque et romaine) ; les travers de la compétition ou de la compétitivité résident dans l'optimisation naturelle et dans l'utilisation plus ou moins artificielle de dopants, « du mieux meilleur que le bien ou ennemi du bien » ; ils provoquent chez l'homme, au sein du groupe, de la cité, de l'industrie, des services, etc. des blessures, des maladies, des suites parfois mortelles consécutives à son excès et à l'effort réitéré de repousser de plus en plus loin les limites (les exemples de nombreux suicides au sein d'entreprises demandant des plus en plus de rendements sans apporter aucune compensation se révèlent tragiques).

Celui qui est le meilleur réussit et domine (pour un temps, avant d'être écarté par un autre) ; ce qui justifie le qualificatif de « vanité » de ceux qui la nient ou l'excluent.

Les paramètres existants au sein de la concurrence expliquent également la défiance, la méfiance, le retrait ou le rejet. Il est inutile de participer à un challenge, une compétition, un jeu, là où les règles sont faussées par l'inégalité d'un ou de plusieurs paramètres (marché de la tomate d'Espagne où la quantité de la masse salariale est employée à de bas salaires comparé au marché français où les salaires sont beaucoup plus élevés et ne permettent pas d'atteindre les mêmes résultats en ayant moins de personnel rétribué au demeurant plus cher et avec des charges de personnel moins favorables pour une même récolte).

En politique cette vision de compétitivité est quasiment absente, hors le fait d'élection. Nous évoquons simplement les modèles japonais ou allemands mais ils sont plus révélateurs de l'économie du pays que du système politique qui oriente ou pourrait contribuer par leurs politiques aux résultats économiques du pays.

Corrélats : concurrence

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FICHE PRATIQUE - L'OPPOSITION

Le terme d'opposition politique est impropre. Nous devrions employer les termes de minorités politiques.

Il est nuisible de considérer l'opposition comme une entité coexistant avec la majorité à seule fin de nuire à cette dernière, communauté de personnes que leurs opinions, leurs intérêts dressent les unes contre les autres, dans un antagonisme, une antonymie, une antinomie, un combat, un contraire, une contradiction, un désaccord constant, des heurts et des luttes mesquines, optimisant les défauts et les qualités, les compétences et les incompétences, source de conflit, de contestation, de discorde, de dispute, de dissension, de dissentiment, d'hostilité, de rivalité, de vision inconciliable, dont les fins sont de rendre égales et opposées de telle façon que les systèmes, exécutif, législatifs et judiciaire soient conduits par égalité à la neutralisation de toutes les forces en présence, à l'immobilisme, véritable paradoxe de la scène et de la vie politique dont l'enjeu principal est d'organiser une vie sociale au sein de la cité, de l’État et du gouvernement des pays ...

Dans le jeu démocratique où la majorité et « l'opposition » jouent ainsi les rôles de leur commune destruction et se trouvent hors de la complémentarité, l'issue est l'échec à responsabilité partagée.

Lors d'élection importante et dans cette configuration, il est impossible de faire confiance à l'une ou à l'autre. Prenant l’exemple des élections présidentielles de 2012, il est illusoire de pouvoir accorder une confiance au président et à l'équipe gouvernementale sortante tout comme il est chimérique d'espérer que l'opposition d'hier puisse trouver une quelconque efficacité demain puisqu'elle a réduit son action dans une destruction systématique ou l’utilisation de frein et de levier favorisant un principe d'étouffement et non la complémentarité de vue.

La démocratie française se trouve confrontée dans ce dilemme, depuis longtemps observé par les experts et analystes politiques.

Dès lors et très justement, à l'inverse de ce qui serait souhaitable, nous assistons à la disparition des minorités politiques les moins significatives, les seules qui pourraient présenter valablement des solutions permettant de sortir de cette crise. Mécaniquement, le système répond en favorisant les options anti démocratiques, en niant les différences, en reflétant les contrastes de deux machines plutôt que de deux partis, quasi semblables dans leurs propositions et dans leurs projets, seulement opposées dans l'imagerie des deux personnes qui les représentent, deux frères ennemis, élection réductive et traduite en un combat des chefs à l'issue de laquelle les fameuses valeurs de travail, de responsabilité et d'autorité vont continuer à se compenser et se neutraliser !

Nous sommes dans un système manifestement entropique. Il est de notre rôle de l'avoir expliqué une fois de plus, de souligner et de suggérer bien évidemment les solutions quasi évidentes qui permettraient de nous en sortir.

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FICHE PRATIQUE - DÉMOCRATIE

DÉMOCRATIE

Chaque français a une vision de la démocratie, de sa souveraineté, de son organisation et de ses valeurs (Liberté, Égalité, Fraternité). Nous pouvons avoir une démocratie directe ou une démocratie représentative.

Nous sommes peu ou prou, heureusement ou malheureusement en démocratie représentative.

Le rôle des représentants, s'ils représentent effectivement, est de représenter tous les citoyens. Dans le cas contraire, la démocratie est limitée à une oligarchie, …

La démocratie consiste donc à réduire les exclusions.

Les les chômeurs, les sans-papiers (? S'ils sont nus, ils ont tout de même de l'ADN dans le sang), les prisonniers, …les mouvements ou partis politiques minoritaires, bref tous les exclus doivent être pris en compte. Ils peuvent exprimer leurs points de vue démocratiques dans la langue de tout le monde, en vertu des valeurs auxquelles ils se référent.

A l'évidence, cette opinion peut être difficilement réduite à un éventuel représentant et donc à un simple papier, scrutin, vote ou suffrage universel déposé dans une urne. En effet si le représentant est hors de pouvoir représenter, comment sa carte de visite le pourrait-elle ?

Il est donc nécessaire que le système soit un peu plus verbeux. S'il l'est aisément du côté du représentant, il devient nécessaire d'étendre également le verbe du côté du bulletin.

Dans le cas contraire, la prévision logique qui se constate dans les faits est l'augmentation des votes blancs (en respectant le principe que chacun est par devoir et par droit « obligé » de signifier son vote), ce qui indique soit un désaccord soit l'absence de solution, ce qui nous ramène à l'exclusion !

En conséquence nous sommes obligés, si nous souhaitons survivre en démocratie, par organisation et par évolution à augmenter le caractère direct de notre démocratie. Heureusement, notre communication et les techniques s'y rattachant ont évolué. Il reste aux hommes de décider à les mettre en œuvre.

Nous sommes dans ce contexte hors du débat, nous sommes dans un accord sur ses modalités.

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FICHE PRATIQUE - CONSENSUS

CONSENSUS

I - La nécessité d'une majorité, d'une priorité d'action est d'évidence quand il y a urgence, crise.

L'accident ( la catastrophe, le marasme, le problème, etc. ) résulte de paramètres qui sont liés à des faits dont nous maîtrisons plus ou moins les origines. Nous appliquons des vues de responsabilité humaine permettant d'expliquer un lien (déterminisme) entre les causes et les conséquences. Cette relation repose donc sur l'hypothèse d'une connaissance. D'ailleurs, des deux bouts que nous puissions observer « causes » ou « conséquences », nous ne sommes guère plus avancés sur l'incident lui-même.

Alors pour traiter le problème d'une méconnaissance, que cela soit par les causes ou les conséquences, il faut bien l'admettre, nous sommes au présent incapables d'y apporter solution. C'est cette acceptation, cet accord, cet adhésion, cet agrément, cet acquiescement, ce consentement, cette opinion, etc. sur lesquels il est nécessaire de convenir.

Il est hors de la honte de rester sans solution devant un problème. S'il dépasse l'entendement de l'ensemble des hommes, c'est un consensus. Cela serait bien de le définir et de le dire au moins pour ce qu'il est.

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FICHES PRATIQUES - INDEX

FICHES PRATIQUES - INDEX

Liste des thèmes abordés :

COMPÉTITIVITÉ

CONSENSUS

DÉMOCRATIE

ÉGALITÉ

INTERNET

MANIPULATION

OPPOSITION

Nota :

Le manque de formation ou de pratique du personnel politique est un fait révélé par l'inefficacité, tant au niveau conceptuel qu'au niveau applicatif. Notre école de "sciences politiques", plus généralement pensée, réflexion et suggestion de mise en œuvre a pour but d'ouvrir une nouvelle voie à ceux qui sont en recherche. Nous les y invitons et nous les prions de s'en nourrir(*).



Il existe plusieurs phases d'une "première étape", dite étape initiale (parce qu'il faut bien débuter par quelquechose) ; nous les compléterons selon les besoins :

  • de goûter (tester, estimer),
  • de manger (assimiler, gagner),
  • de digérer (approfondir, méditer),
  • d'évacuer (creuser, synthétiser),
  • d'enrichir (amender, embellir).

(*) Les pays où nous sommes étant de nature à pouvoir subvenir à leurs approvissionnements alimentaires sont à même d'observer par là-même la famine et l'indigence qui nous entourent.

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