Proche du verbe fanatiser, ce néologisme signifie boycotter un magasin vendant des livres parce ce dernier aurait interdit la présentation d’un livre et de fait parce qu’il aurait entravé la liberté d’expression.
TAGS : #fanatisme #interdit #menace #peur #société #soumission
Que signifie le verbe « fanactiser » ?
Quel est ce Philistin ?
Fermée aux arts, aux lettres, aux nouveautés, aux sciences de la Terre ?
Eh bien cherchez-le car il harangue les foules, il est au milieu de vous
Il veut par sa seule volonté vous changer sans que cela lui coûte un sou.
ANTI-RÉFÉRENCEMENT
Brouillon : "L'art de bien dire est de mieux se taire"
Puisque le mot référencement existe, il est référencé.
La question est de savoir comment échapper à tout référencement, c'est-à-dire de faire en sorte que votre site échappe aux recherches ou qu'il soit invisible dans les moteurs de recherche.
Conséquemment, il doit être hors des données prévues par les outils d'analyse et d'optimisation. Les liens que le site fournit ne doivent faire référence qu'à lui-même ou le site se doit d'être auto-référent.
Le site ne doit pas « plaire » aux moteurs de recherche. En bonne optimisation, c'est-à-dire en dés-optimisation, les balises META doivent être identiques d'une page à une autre . Les titres et les descriptions se doivent d'être répétitifs, peu clairs (vagues) et très succincts, voire absents ; même chose pour les mots clés.
Évitez également les redirections ou des pages inexistantes (404) hors de votre site !
N'utilisez en aucun cas des outils proposés par votre fournisseur d'accès internet (FAI), encore moins par des conseillers (SEO) ou des professionnels d'Internet d'envergure tels que Google ou autres …
N'allez surtout pas ajouter un lien sur un site étranger renvoyant sur votre site ; ce serait une ingérence.
Veuillez vous rappeler l'essentiel :
« L'être humain est un perpétuel insatisfait, il recherche toujours ce qu'il ne trouve pas. »
==> Alors, il n'y aucune raison de le lui fournir, en plus gratuitement !!!
La notion ou plus exactement la doctrine de « péché originel » est-elle originale ? v. 20191225
Table des matières
</PROLÉGOMÈNES> 1
</INTRODUCTION> 3
</Le référentiel> 4
Bibliographie 1: Silvio Moreno, Esprit Saint et les signes de sa présence, 2017
</PROLÉGOMÈNES>
L'homme, depuis ce qu'il a pu appeler la nuit des temps, tente d'expliquer son existence et le sens de sa vie dans le monde, espace et temps où il vit.
De par son ignorance et ses limites, il a posé par paroles et par écrits les jalons de ses connaissances et d'une conscience.
La tradition humaine tente d'expliquer l'homme en tant que créature dans un monde.
En introduisant le terme de créature, l'existence du Créateur, de créer et de la Création sont reconnues d'origine et de conséquence. L'ouverture de l'homme au monde ne s'annonce pas (ou plus) dans le contexte d'un déisme ou d'un théisme complet et religieux, mais dans une relation où Dieu est initiateur d'un amour tourné vers l’humanité.
Dans le monde donné ou offert aux hommes, de ce que nous considérons et définissons maladroitement en espace et en temps, Dieu est à la fois personnel, unique et cause du monde. Dieu est source de l'amour, d'un amour originel, à la fois commencement et raison d'être, de son Amour, de celui qu'il adresse aux hommes. Conséquemment dans la Miséricorde du Seigneur, l'amour originel remplace les termes de "péché originel", tout simplement parce qu'il est situé avant ; il est avènement, commencement, genèse, origine, naissance, source, etc. (quelque soit le terme que nous puissions employer).
L'être humain serait lié pour certains à un être supérieur ; pour d'autres, dénommé athéisme, il n'existerait pas de divin ou d'être supérieur. Pour l'agnosticisme, l'existence d'un tel être, de la vérité concernant la divinité sont inaccessibles à l'être humain. Pour le scepticisme, il n'existe pas de vérité certaine. Pour d'autres enfin, la trilogie classique de l'argent, du pouvoir et du sexe reçoit toute leurs considérations en portant leurs ego dans une rivalité démiurge.
Dans la première proposition, celle de l'affirmation, celui-ci en aurait été le créateur ou fondateur. De là ont été exprimées en parole puis ont été issus des écrits essayant de rationaliser l'idée que l'homme se fait du divin ou de la divinité, au singulier et unique, monothéiste ou plurielles, polythéiste. Ces différents exposés ou récits oraux, écrits sont théologiques en ce sens qu'ils ont pour première caractéristique et sens d'aller de l'homme vers le divin. Dans la deuxième allégation et constatation, celle de la négation, est de nier la précédente en affirmant que l'homme se suffirait à lui-même pour avoir connaissance de lui-même et engendrer le futur qui lui serait favorable. Il n'y aurait que l'homme allant vers l'homme.
Mais ni l'une ni l'autre ne cèdent à ses propres contradictions et à ses paradoxes. La reconnaissance de Dieu ne saurait aller de l'homme vers Dieu puisqu'elle est d'origine de Dieu vers l'homme. Quant à la suffisance de l'homme qui pense expliquer le monde par lui-même, être intelligent, des siècles ont montré que l'humanité avait peine à y parvenir.
Alors puisque les hommes n'y accèdent, c'est qu'ils ont pris un mauvais sens ou de malfaisantes directions ; ils n'auraient pas écouté l'esprit de sagesse, ils n'ont pas entendu l'Esprit ni vu le signe de l'Esprit.
Il est dans toutes les tentatives humaines de justifier ou de rationaliser au lieu de demeurer dans la pratique sensible, dans le savoir et le réel vécu. Une des « raisons » probable serait qu'il entendrait en obtenir plus mais n'arriverait pas à se satisfaire de ce qu'il côtoie ou de ce qui lui est proche.
Que l'être humain soit incroyant ou non, il n'est pas engagé sur le chemin d'être une véritable expérience, sa foi n'est pas engagée sur le chemin d'être une véritable expérience de Dieu … présence intérieure et intime (1).
Pour résumer son rationalisme, l'homme devrait être défini non comme objet ou comme sujet, mais comme image du Verbe, image de Dieu dans le dessein divin d'Amour et de Miséricorde.
(1) P. Silvio Moreno Esprit Saint et les signes de sa présence http://www.blogcathedraletunis.com/2017/06/esprit-saint-et-les-signes-de-sa-presence.html
PRENDRE DE LA HAUTEUR D'EAU POUR COMBATTRE LES FEUX
Investir dans la sécurité incendies
Un des moyens principaux de la lutte contre les incendies est l'utilisation de l'eau.
Celui-ci s'est montré insuffisant, non seulement par son apport aérien mais également terrestre.
Le volume d'eau dispersée par voie aérienne dépend du nombre des appareils et de leurs rotations.
Celui de l'eau répandue par voie terrestre est lié actuellement et principalement aux camions et au nombre de cuves disponibles.
De fait, pour l'une ou l'autre de ces voies, s'il y a augmentation des feux comme celle de la sécheresse, il y a nécessité d'amplifier et le nombre et le volume des cuves.
UNE SOLUTION TERRESTRE
Sur les massifs ayant subi des destructions écologiques, l'implantation de réserves d'eau enterrées ou semi-enterrées se révèlent possibles en hauteur, alliées de dispositifs d'acheminement, de pompage/relevage (situés plus bas) et de traitement et de systèmes de dispersion plus ou mois automatisés (répartis sur l'ensemble du réseau).
L'avantage d'une telle solution est que son potentiel, s'il a été préventivement été réalisé permettrait de s'affranchir de considération énergique, vu qu'elle effectuerait et le fonctionnement de sa propre installation et la mission pour laquelle ces réservoirs auraient été remplis.
SELFIE
Un constant et possible constat
Vous me direz, il n'y a rien d'autre de commun entre une photographie et un selfie en ce qu'ils sont tous les deux des clichés.
Mais l'article du canadien Jp Valery - Product Marketing Manager @Gameloft / Co-Founder @VYSUALORG & @DronesNation / Photographer ( Prendre la dernière photo de quelque chose ) prend et redonne toutes les interprétations et les sens que nous pouvons donner d'un instant présent, figé photographiquement, pour être soit être mémoire du passé, vue du présent, vision du futur …
Une photographie « immortalise » et résume ce qu'ont été les deux premières :
Alors l’indicible bonheur ou crainte qui semblerait habiter les personnes serait de conserver ce qui est ou va être irrémédiablement perdu : c'est soit une belle figure ou un visage encore jeune (!), jusqu'à ce gâteau ou plat, éphémère, qui est si appétissant, etc.
Ils vont finir ainsi que vous le savez, (ni très optimiste, ni très poétique tout cela !).
À d'autres moments, c'est une autre action complémentaire ou supplémentaire, celle de dénoncer ou de rappeler que ce qui existait hier a et a malheureusement toujours cours, qu'elle ait reçue ou non le concours de Chichi, de Sarko, de Lolo ou de Manu ; ce denier n'ayant pas encore de surnom défini-tif mais cela ne saurait tarder.
Enfin, il y a les « témoignages » de nos rêves, de ce que nous n’obtiendrons jamais ou de ce que nous pourrons avoir ou être que par le secours de la chance, du hasard ou du Salut.
Pas bien rose, tout cela, c'est Facebook et tous les Blogs, les sites de prétendues rencontres ou de réseaux sociaux qui vont évoluer ou périr, dans lesquels nous sommes partiellement ou trop révélés …
Si « oublier le Net » est de considérer que la vie est mieux ailleurs, d'autres vous diront qu'ils sont pris dans le filet de la brute survie.
Parce que si la majorité d'entre eux ou d'entre nous ne critiquent pas (euphémisme des calomnies et des injures), ils se résolvent à copier ou à comploter !
Exploiter nos ancres ou images mentales
Tout cela est illusion parce que c'est un mirage, qu'il est hors de rassurer.
Ce que je désire et pour moi et pour nous, c'est d'avoir espoir sinon d'acquérir espérance en la vie.
Afin de mieux comprendre, je prends une succession d'exemples personnels :
- je suis devenue une mauvaise parachutiste parce que je désirais être un(e) pilote,
- je suis une automobiliste parce j'ai abandonné, en panne, ma dangereuse motocyclette ; cela ne m'a pas guéri pour autant d'avoir été victime ou à l'origine d'accidents,
- j'ai placé l'ensemble de mes projets dans un carton parce que je refuse de les décrire, c'est-à-dire de les réaliser ; je me contente de les écrire.
Je commence ainsi à avoir une idée claire de ce que je suis alors même que la perspective de mon devenir se restreint.
Oui, j'ai absolument eu horreur des selfies en ayant cru m’abstenir d'en faire continuellement des prises de vue.
De fait, je comprends le désappointement de mes proches qui restent interdits devant le paradoxe de ma perpétuelle remise en cause ; « Ils ne sauraient à quel(le) diable(sse) ils se seraient voués. ».
J'ai en conséquence assez de difficultés à justifier que je puisse avoir même essayé de faire aussi bien que mes semblables.
Fi, il va falloir que je trouve mieux que mes selfies !
Mis à jour le 27 juillet 2017
LE RÉSEAU ASOCIAL
Irais-je encore longtemps laisser l'autorisation aux réseaux sociaux le privilège de consolider pour eux-mêmes les informations qui leur parviennent des autres ou de moi-même ?
Telle est la réelle question.
Y a-t-il quelque chose de social dans leur fonctionnement ?
Réseaux sociaux au carré - @ Twitter
Je vais omettre d’exposer les caractéristiques que tout le monde connaît pour n'aborder que ce qui est susceptible d'intéresser l'une ou l'autre des personnes qui désire être fraternelle ou est animée d'une motivation humaine, probablement plus étendue que celle d'une tendance sociale.
La considération des psychologues, précisément dans la Règle des 150, est une aberration de plus que nous pouvons ranger au placard, tant le nombre des individus, morts, vivants ou même à naître est à prendre en compte, non seulement dans la façon dont nous vivons mais avant tout dans la manière dont nous pouvons reconnaître une personne, dans la façon dont elle se présente, dans son faciès … et dans ce qu'en disent d'autres personnes.
Ainsi « les relations humaines » ne résident pas tant dans le nombre de personnes qu'un individu iota peut reconnaître et dont il pourrait interpréter les réactions (!) mais dans l'environnement das lequel il se définit et dans lequel il est défini par tous les autres …
Dans les conditions actuelles et proches, il est vrai que la confiance et la connaissance d'une personne, quelle qu’elle soit, peuvent être considérées comme hypothétiques.
La tendance évoluerait mieux et plus encore vers un monde où n'existeraient que « des chômeurs, des élus, des notables, des passagers clandestins, des politiques, des resquilleurs, des terroristes, etc. » (appelez-les ainsi qu'il vous convient), bref des individus « sans foi, sans morale ni loi » qui tirent avantage de la « vie en communauté » sans contribuer par eux-mêmes aux apports ou la participation à des dépenses communes.
Faudrait-il en plus payer pour une diffusion urbi et orbi d'idées qui, non seulement seraient contraires aux nôtres, mais qui de plus se révéleraient irrationnelles !?
Une évolution constante et en quelque sorte une révolution qui s’imposerait dans le grand réseau européen ou mondial.
À cela s'ajoute plutôt que s'oppose le travail considérable d'écriture, de diffusion et d'investigation de réseaux résiduels d’États ou indépendants, privés ou publics, qui analysent et sondent, s'infiltrent afin de mieux percer le faux du vrai.
Alors, la « machine » est déjà en marche qui viendrait substituer la dénonciation à l'inscription.
Le mieux serait-il de reconnaître quelqu'un, non pas sur ce qu'il dit et fait, mais de rassembler toutes les opinions des autres quant à ce qu'il aurait pu dire et faire, quant à ce que nous pourrions savoir de ce qu'il aurait pu dire et faire ?
En définitive, dans notre contexte ou dans son évolution supposée, tout le monde ignore n'aurait idée ce qu'il veut être dans un système qui dépasse pratiquement tout le monde !
Une solution possible et réajustée
Le but premier, rappelons-le cependant, était d'augmenter virtuellement la proximité.
Je suis en dehors de considérations financières mais l'idée est précisément de paramétrer le « système » afin qu'il soit autant local que global.
De fait s'il posséderait la même architecture, son influence serait circonscrite à une sphère d'influence définie, avec les liens principaux permettant de traduire les flux réels d'échanges avec tous les autres espaces locaux.
L'avenir dira si cet agencement ou cette organisation pourra mieux répondre aux différents enjeux des personnes et des sociétés.
FILOSÔTÉE - Écoute des hommes (1)
Je n'ai pas l'audace ni même la prétention d'avoir eu jamais, c'est ainsi que les Français disent toujours, d'avoir eu une conversation avec Dieu.
Encore moins et sans doute n'ai-je eu de dialogues avec les hommes, tant par leurs langues, si elles ne révèlent pas en dehors de la vérité, sont si peu ouvertes à ma compréhension que les meilleurs d'entre eux ne laissent qu'un moment furtif une fenêtre ouverte pour que je sois à même d'y déceler, non pas eux-mêmes mais simplement, la mère ou le père, un parent qui soit à l'origine de ce qu'ils sont.
De fait à ce grand dam, qui semblerait être le mien plutôt que celui de tout autre, puisqu'un des fils qui préside ici le déclare en affirmant qu' « il sait », n'est tout au plus d'écouter aux huis d'une manière assez indistincte, tâchant de recueillir l'aveu d'une connaissance, non pas sur ce qui est du présent, mais de ce qui est déjà inscrit dans le futur et qui n'aurait pas été inscrit dans le passé.
Ainsi, j'ai pour le moins difficulté à connaître celui-ci, n'ayant pas pu reconnaître ce qu'il fut autrefois.
De ce handicap à pouvoir approcher et même à marcher vers les autres, je demeure dans l'entendement de n'entendre que ce qui me parvient et de décrypter de tous mes sens la direction, le sens et la signification de ce que les autres agissent ou perçoivent comme allant de soit pour aller.
Contrairement aux apparences, si cela ne va pas de soit, cette démarche serait aussi extérieure à moi car elle ne serait pas de moi, « elle n'irait pas de soi, elle ne viendrait pas de soi ».
Confondant !
HH* EN CARTON
Préliminaires
Pourquoi essayer de réaliser un modèle globalement conçu, un « Totally define to fly » ?
Est-il possible d'échapper à un modèle incapable de voler, d'un « Never able to fly » au lieu d'un « Almost ready to fly », d'un « Bind to fly », d'un « Plug and Fly/Play » ou d'un « Ready to fly » (1) ?
Plusieurs critères peuvent motiver ce choix, et j'en ajouterai quelques uns de plus en prenant le choix de réaliser une maquette dont il est impossible de trouver des plans sur Internet.
Il faut, à l'aide de photos, faire les plans, à l'aide des techniques anciennes, … ou des logiciels informatiques.
Il est alors nécessaire de faire appel à la fraternité et la gratuité …
En matière d'entreprise compte d'abord l'homme et ensuite le matériel, et non l'inverse.
De fait, à ces deux composantes, que chacun pourrait entendre comme étant les premières et plus importantes, justifient-t-elles d'elles-mêmes une troisième, sinon égale aux deux premières, du moins les conditionnant plus précisément dans l'espace et dans le temps ?
Cette composante précéderait les deux que nous avions cru et entendu comme premières ou primaires.
Or la réalisation du rêve d'un aéronef ou de sa maquette, celui de voler ou de faire voler, relève bien d'une capacité à maîtriser l'espace et le temps.
Cette « capacité à voler » varie en fonction des paramètres de l'espace et du temps, c'est-à-dire de l'environnement.
Il est aérien, maritime, terrestre ; il peut être atmosphérique, stratosphérique, …
De fait cet environnement est lié à des considérations de l'écoumène, ... aux analyses, aux constatations et aux observations de la nature.
Ces dernières nous permettent de définir plus précisément les sciences et techniques, les concepts et les pratiques qui font progresser l'humanité là où l'homme paraît limité à ses considérations d'énergie et plus généralement de ressources.
Aussi, revenir à ce dont nous disposons en grande quantité, une valeur, qui nous semblerait, au moins pour le présent, comme celle de nos propres déchets qui nous envahissent aussi bien que celle de l'incommodité à gérer la richesse accumulée dans laquelle nous nous trouvons sans pouvoir en disposer favorablement, mérite que nous nous y attardons, que nous en disposions, que nous la fassions à nouveau fructifier.
Nous disposons aussi d'une grande qualité, une même valeur, en notre multiplicité ou en notre quantité dénombrable ou numérique.
C'est donc, non plus et exactement dans une capacité ou incapacité de faire que nous devrions « agir », paradoxe s'il pourrait encore en être, mais de penser à être dans l'environnement que nous avons converti, à le modifier à nouveau selon ce qui est susceptible de nous redonner contrôle, gouvernance.
Ce serait « apprendre à sortir d'une vrille » avant que nous ayons appris à voler.
Sur ce point, il n'y a que l'audace ou la rage de rester en vie qui nous permettent de rétablir cette pratique.
(*) HH - Hawker Hurricane - @ Google 1.630.000 résultats
@ battleofbritain1940.net
(1) Notes - @ miquelon-langlade.com
ARF - ARTF (« Almost ready to fly ») = Kit complet livré sans radio, avec/sans récepteur que vous devrez lier à votre radio. (Attention vérifiez bien la compatibilité du produit avec votre radiocommande.
BNF (« Bind And Fly ») = Kit complet livré sans radio, avec un récepteur que vous devrez lier à votre radio. (Attention vérifiez la compatibilité des détails du produit, récepteur et servos, avec votre radiocommande. Exemples : ParkFlyer dans les marques ParkZone, HobbyZone, E-flite. Ces marques ont des contrats avec des marques de télécommandes.)
PNF - PNP (« Plug and Fly/Play ») = Kit en Pack livré avec l’avion, les servos, le moteur, le contrôleur, mais pas de télécommande, ni de récepteur, ni de batterie, ni de chargeur. Il est nécessaire de « brancher, voler et jouer » à condition que les éléments ajoutés, dont il est disposé par ailleurs, soient en compatibilité avec ceux qui sont déjà installés.
RTF (« Ready To Fly ») = Kit complet avec radio et batteries à charger. Ce kit permet une utilisation directe, « prêt à voler », sans achat supplémentaire. Il doit donc inclure une télécommande (souvent basique, non programmable), l’avion complet avec le récepteur, la batterie et le chargeur.
UNE FRATERNITÉ EMPRUNTÉE DE PARADOXE
Le vol AF 30716
« C'est en prenant de la hauteur que le meilleur des aéronefs peut achever la course vers sa destination », telle serait, non pas la critique, mais le rapport d'incident concernant notre réalité actuelle.
Comme il est supposé, il nous faudra alors ouvrir après recherche la boîte « noire » qui est rouge, comme chacun le sait. Et de tirer les conclusions des informations qui s'y trouveront.
… Une démarche d'anticipation nous permettrait de réduire les victimes avant que l'incident ne survienne.
Il faudrait que nous ayons à cœur d'éviter un décollage afin d'ôter la perspective de l'accident.
Mais le vol AV 30716 a décollé sans que nous ne puissions nous y opposer, ni en mentionnant les carences techniques de l'appareil, ni la décision d'une tour de contrôle aérienne ayant validée la « marche » vers son hypothétique destination, ni même et plus encore en relevant la liste de ses passagers !
Serait-il amoral ou cynique de se préoccuper des Français, des hommes, du « peuple » avant de se soucier du capitaine, du pilote, du président ?
Faudrait-il rendre ou retrouver la dignité pour tous ou pour un seul ?
Pouvons-nous par un seul restaurer la fierté de tous ?
Les couleurs
Que nous ne méprenions pas, le drapeau français possède autant de couleur bleue qu'il y en a de blanche ou de rouge.
Le pouvoir d'en disposer est bien commun et indivisible.
Il figure sur l’appareil qu'il soit à terre ou dans les airs.
C'est le premier « principe paradoxal » qui s'inscrit dans une fraternité arrivant au premier moment à s'adresser exclusivement aux « bleus et aux bancs », les rouges ayant décidé qu'en à eux de faire bande à part et d'éviter de rejoindre la salle d'attente de cet aéroport.
Ces « jacobins » de Versailles, dont nous ignorons et le nom et la source, parce qu'elle serait supposée non fraternelle, s'ils sont mus par autre chose que des pressentiments, auraient cependant à cœur de vouloir simplement sauvegarder leurs propres existences.
« Ils n'appréciaient pas cet aréopage ».
Le rassemblement
Une caractéristique propre au vol AF 30716, faudra-t-il le rappeler, était que l'appareil s'était montré trop petit pour l'embarquement de tous les passagers qui s'étaient inscrits à ce vol.
Le « principe de rassemblement » en fonctionnement, plutôt qu'en marche, voulut qu'il fut décidé de réduire le nombre des personnes qui finalement montèrent dans l'appareil.
Ceux qui restèrent à l'aéroport surent-ils jamais pour qu'elle raison exacte « échappèrent-ils » à cet embarquement ?
Tout au moins, longtemps après, purent-ils avoir quelques réminiscences sur les circonstances de cette fâcheuse exclusion qui avaient conservé la liberté de leurs vies.
Curieux et paradoxal principe que celui de rassembler et d'annoncer qu'il faille débarquer certains qui s'étaient ralliés à l'union de ce rassemblement !
L'aéroport
Alors qu'il existait des infrastructures suffisamment grandes pour accueillir les théoriques passagers qui auraient du se joindre et se rejoindre dans le présupposé aéroport CDG Roissy - Charles de Gaulle dénommé pouvoir donner un accès direct, tel qu'en indiquent les règles et usages prescrits par les instances aéronautiques, la salle d'attente fut choisie ailleurs.
Ainsi, s'il y avait une « primaire révolution », elle aurait lieu non sur la place qui pouvait offrir liberté à tous d'entendre et de mesurer, mais au Château, lieu où il fallait applaudir en écoutant sans murmurer.
Que chacun se dise qu'il faudra encore du temps avant que le « peuple » sache, puisqu'il faut un jour connaître, que la nature historique se dévoile déjà en cet événement tragique.
Oui, pour des évidences existentielles et même fraternelles, nous pouvons nous passer de geste de présidence ; nous pouvions nous attendre à quelque chose de fraternel.
Nous sommes déçus pour les uns, sinon révoltés déjà pour ceux qui ont bénéficié de cet ostracisme de circonstance.
Tout resta bel et bien hors de la fraternité ; tout respecta correctement en fond et forme le présidentialisme.
Il nous fallait « en plus passer » par une grandiose et nouvelle médiocrité ... celle de vouloir nous éduquer ou nous former aux truismes et vérités que nous connaissions.
Est-ce en cela que se résume la Liberté, l'Égalité, la Fraternité ?
Réellement, ce fut pour certains d'accepter de prendre un vol dont ils ignoraient où il allait et « d'où ils ne reviendraient pas » !
Mis à jour le 10 juillet 2017
SUIVRE PARCE QUE NOUS VOYONS
Y a-t-il pire que ceux qui vivent sans avoir vu ?
Je vous le dis en toute intelligibilité, oui il y a pire en effet, dans ces gens qui continuent sans croire parce qu'ils voient.
Ils voient que le monde dans lequel des être humains survivent sans considérer la moindre charité, sans distinguer les maladies et les plaies des hommes qui sont à leur côté, sans se soucier même d'un environnement qu'ils dépossèdent de ses richesse, qu'ils polluent en faisant conversion pour un trésor qu'ils prétendent être à eux.
Ils estiment être les décideurs et les grands de la Terre, multipliant les marches et leurs actions corollaires, ce qu'ils pensent être entendements et sciences, poussant plus loin encore l'homme dans ses retranchements. Ils évitent de se cacher de la misère pour élever ce qui est leur tourbière.
Lorsqu'ils sont suffisamment bien placés, ils se mettent à œuvrer, fondation, pharmacie, que sais-je encore pour faire profit en luttant contre l'un ou l'autre des paludismes, afin d'engranger toujours, même sur les malheurs des eaux revenant des espaces émergés.
Ne les dénonçons pas, ils sont bien suffisamment nommés car ils s'énoncent d'eux-mêmes.
Revenons simplement à la Parole de vérité qui vient aider chaque homme à aller sur le bon chemin, qu'il soit layon indistinct ou route ouverte.
Oui, ainsi qu'il a été dit, ne jugeons pas, si nous désirons ne pas être jugés.
PMA, GPA, actions de « reproduction » des hommes
Y aurait-il à porter critique ou réprimande parmi les hommes ? Ils ont difficultés à être ce qu'ils sont, encore et peut-être plus ils auraient complications à être ce qu'ils ne seraient pas. Parmi les hommes, il est rendu difficile d'être un père pour son enfant, il est parfois et souvent obstacle à être femme et mère pour un enfant.
Or voilà quelqu'un qui vient en reprochant aux uns comme aux autres, ou de se dispenser de la paternité, ou de nous dire qu'elle est absente ...
En contradiction il vient affirmer qu'il est miséricorde de Notre Père des Cieux et que sa volonté est faite sur Terre comme elle est dans les Cieux, ou tout au moins que « nous voudrions » que son commandement s'étende ainsi.
De fait, c'est effectivement oublier la miséricorde de Dieu ou de vouloir abolir la charité qui pourrait être la nôtre.
Si en effet il y a difficulté d'être un père parmi les hommes, faudrait-il pour autant porter plus avant les lois qui empêchent à une mère de l'être pour un enfant ?
Si certains voudraient se dispenser de la miséricorde du Seigneur, serions nous empêchés par quelqu'un ou quelque chose de lui rappeler de ne pas y faire obstacle ?
Mais tout, par cette miséricorde qui est don du Seigneur, nous impose de garder liberté, pour les autres et pour nous, en notre idéal.
Aussi, la charité demeure et qui est notre amour, est de confirmer la Parole :
« Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ; personne ne va vers le Père sans passer par moi » (Jean 14, 1-6).
Il n'y a pas de raison, ni fortiori d'amour, à obstruer, à condamner des voies, qui paraîtraient à certains des impasses ou dont les les issues soient incertaines, mais qui demeurent des voies dans lesquelles la voix peut être entendue.
Oui, je l'affirme, si vous dénoncez plus loin ce que je viens de dire, je confirme ce qu'il est dit aujourd'hui :
Matthieu 10,37-42.
Dimanche 2 juillet 2017
DÉMOGRAPHIE, LE HIATUS OU LE TABOU DU DÉVELOPPEMENT - B - L'impasse
B – L'impasse
Lorsque nous aurons admis, non seulement qu'il faille considérer les choses par le bon bout de la lorgnette, celui d'une vue globale ou mondiale de l’environnement, mais aussi que la solution est d'évidence humaine parce que nous sommes des êtres humains chargés et responsabilisés pour la résoudre, la démographie s'offrira en un paramètre unique sur lequel nous avons tous un mot à dire, et plus encore une action à entreprendre.
Dès lors, le problème ou le souci de la démographie se trouvent être différents d'une vue politique quelle qu'elle soit, d'une théorie de la croissance ou d'un verbiage écologique plus ou moins équivoque ou à son contraire univoque.
Un peu de design : l'impasse de la Surface utilisable @ anthony.lanzenberg.free.fr
Monsieur Nicolas Hulot, tout comme les nombreuses personnes, de toutes opinions et de tous pays, l'a bien compris, non seulement le sujet de la démographie est à écarter (!) parce qu'il est par son corollaire, la natalité, un sujet sensible pour les « pays Parties » et qu'il est impossible par-là d'obtenir une unanimité (0), mais que de plus, et surtout, parce qu'il serait suicidaire, de simple opinion ou politiquement, d'exprimer une vision se rapprochant de l'approche du malthusianisme.
Sous prétexte d'un sujet qui exacerbe ou qui fâche, il faudrait l'écarter du débat.
Le jeu des « grands » consiste donc à formuler ce sur quoi tout le monde est d'accord. Ils avouent par là leur impuissance à résoudre ; à défaut de solution, il serait entendu que le malthusianisme est une solution !!!
Bien sûr, cette contradiction qui est de l'heure et qui est la leur est en dehors du bon sens ; elle devrait logiquement être inscrites dans les textes « fondateurs ». Ils sont au mieux des évidences ou des tautologies ...
Je vais donc revenir à ces affirmations, ces chartes, ces constitutions, ces déclarations, ces lois, ces proclamations qui marquent et témoignent que cette contradiction est effectivement une impasse réitérée, un labyrinthe possédant une entrée qui est à la fois sa sortie.
Ce labyrinthe est ou dissimule une impasse @ omnilogie.fr (image modifiée)
Notes ou renvois :
(0)
La réponse est qu’il fallait obtenir impérativement l’unanimité donc écarter tout sujet sensible pour les « pays Parties ».
C’était le cas de la natalité qui, au-delà des clivages religieux, reste une question délicate pour la cinquantaine de pays les plus pauvres qui sont aussi sans exception les plus féconds. Ils n’acceptent pas de se voir contester une natalité faisant partie de leur culture au prétexte d’un changement climatique dont ils se sentent les victimes. Les diplomates se sont donc bornés à introduire dans l’accord, dès la première page, un rappel aux obligations sociétales à respecter dans la lutte climatique : « les droits de l’homme… et le droit au développement ainsi que l’égalité des sexes, l’autonomisation des femmes et l’équité entre générations. »
On ne peut mieux promouvoir sans le dire une démographie maîtrisée et en particulier condamner les mariages d’adolescentes encore massivement en usage dans les régions à haute fécondité. Notons aussi que l’accord de la COP21(13) engage fermement les pays détenteurs de grands espaces boisés « à la réduction des émissions résultant du déboisement et de la dégradation des forêts et à leur gestion intégrale et durable ».
TAG : ACCORD, DÉBAT, DÉMOGRAPHIE, ENVIRONNEMENT, FONDEMENT, MALTHUSIANISME
TAG précédents : BIODIVERSITÉ, CULTURE, DYNAMIQUE, LÉGISLATION, (ENVIRONNEMENT), NATIONS, SENS, SOCIÉTÉ, VIE
Mis à jour le 28 juin 2017
DÉMOGRAPHIE, LE HIATUS OU LE TABOU DU DÉVELOPPEMENT
A - Ouvrir le hublot
Parmi toutes les considérations actuelles, résultant des actes ou des absences de décisions humaines, s'affirmerait la conception selon laquelle l'environnement se définirait en un milieu supérieur où s'exprimerait et interagirait la liberté des personnes.
L'être humain (ou les personnes) entrerait dans une biodiversité qui offrirait aux caractéristiques de sa nature, déclinées en autant de traits culturels ou sociétaux que seraient leurs définitions d'un cadre de vie, l'aménagement, l'amélioration et la protection délimitée par un espace ou un territoire (allant dans les limites nationales ou internationales), etc., qui lui permettrait de maintenir un équilibre et assurerait sa capacité de renouvellement.
De fait, les principes (notamment français) de vouloir imposer une législation, des devoirs ou des droits (celui-ci d'ailleurs souvent entendu et retenu tel le premier des deux), cèdent le pas à un principe plus simple et plus vaste, celui de la reconnaissance de son environnement.
Les textes y font référence et le traduisent par des principes d'information, de participation, de précaution, de prévention, ou plus particulièrement celui de la réparation d'un dommage (la taxe du pollueur-payeur trop souvent appliquée ou modifiée en payeur-pollueur qui rapporte à celui qui débourse autant qu'à celui qui encaisse, sans compter les intermédiaires ...).
En conséquence, la « dialectique utilisée » consisterait à transposer au regard de l'environnement, les devoirs et droits qui étaient accordés traditionnellement aux personnes.
Si ce mouvement de translation s'affirmerait équitable et juste, y aurait-il à écrire ou à ergoter plus longuement en réitérant ce qui a été parfaitement défini jusqu'à présent ?
Or la question est toujours posée ou se pose parce que la vue d'un homme est différente de celle des hommes, de tous les hommes.
Vue du hublot @ autourduciel.blog.lemonde.fr
Avec concision et humour, nous pourrions dire :
« en ouvrant le hublot, la vue sur l'eau s'offre plus large que celle de Hulot ».
TAG : BIODIVERSITÉ, CULTURE, DYNAMIQUE, LÉGISLATION, ENVIRONNEMENT, NATIONS, SENS, SOCIÉTÉ, VIE
Mis à jour : 27 juin 2017
LES ANTIS
Plutôt que de positiver, nous trouvons toujours des individus pour qui la négation leur permet d’exaspérer leur frustration existentielle et leur recherche infructueuse.
Il sont des « antis », contre, en combat ou en opposition, pratiquant et rédigeant des « black-listes », résistants, … allant jusqu'à l'écriture ou la pensée des double-négations qui aboutissent à l'impasse de la totale indétermination.
Pour eux, l'affirmation « on ne peut que rappeler que ces abrutis ne savent rien » ou la question « Le train imprévu n'arrivera-t-il pas à l'heure ? » possèdent un sens en langue française qu'aucune autre langue ne pourrait correctement traduire !!!
Alors, pour se penser plus conséquents et forts, ils vont jusqu'à faire un site de « réflexion de la faschosphère » ou éditer une « liste non-exhaustive … » de ce qui ne leur convient pas , « … des sites conspirationnistes et confusionnistes » ; bon courage !
Alors, lorsque Google nous informe qu'ils se sont arrêtés de publier en février ou en mars 2015, nous sommes ravis de constater que nous avons vécu des printemps heureux, enfin débarrassés de nos excréments expulsés.
@ deuvosguard.org
Combien de négations pour une affirmation ?
Mais ce que nous savons, ou « ce que n'ignorons pas » car c'est ainsi qu'ils l'eussent formulé, c'est que si nous nous alimentons ou que nous tentons de nous alimenter d'une consommation ou d'une information que nous choisissons ou sélectionnons comme bonne, il y a en elle, ou de l'indigeste, ou du mauvais, ou du surplus.
Trêve de balivernes ou de discours politiquement corrects, nous constatons aussi et à l'inverse, qu'un béat positivisme peut être aussi et également nocif … Ce qui « marche » vaudrait-il ce qui « ne fonctionne pas » ?
Ce qui demeure cependant instructif, c'est que nous pouvons aisément poursuivre en nous dispensant d'utiliser les « ne … pas », les « riens », etc., afin de communiquer plus aisément entre Français, sinon entre terriens !
Références : réseau mondial des « cons patriotes » @ Google
BREXIT OU NON, IL Y A LE TERRORISME
Nous ignorons à qui profiterait un terrorisme sinon à ce qui propagerait la mort, cependant ...
BREXIT OU NON, IL Y A LE TERRORISME
L'autre cher pays de ma jeunesse vient d'essuyer dans le chagrin les pires ignominies d'individus apportant destruction à la civilisation.
Nous pouvons craindre que d'autres déracinés s'en prennent encore et toujours à des personnes innocentes lors de leurs activités de loisirs, publiques où elles se seraient rassemblées.
Ainsi, les seuls rassemblements qui nous permettent de nous rejoindre massivement, en élevant mieux que des protestations ou des vengeances, sont ce lieu que nous allons défendre car c'est le premier lieu d'où proviennent ces attaques anonymes, couardes, déloyales, félonnes, mortelles, perfides, poltronnes, scélérates … Nous ignorons quels peuvent être les vocables que nous pourrions émettre, les uns et les autres, dans toutes nos langues.
Nous avons tous compris ou entendu nos cris et nos détresses pour que nous soyons résolus, chacun et pour tous, de porter entrave à ces « sources » détraquées et polluées, dans la résolution de nos cœurs et de nos esprits.
Les attentats sont hors de nous atteindre plus longtemps. Nous sommes hors d'être dans une attente ; notre unité, la seule et unique provient de notre détermination à agir collectivement et personnellement dans une lutte qui n'aura de cesse que de préserver notre survie et nos vies, nos civilisations humaines incarnées dans nous tous.
Si ces quelques individus, au regard des milliards de personnes se résolvent à supporter le non-être ou à être réduits au néant, c'est leur conclusion à un problème dont ils excluent toute solution.
Bien qu'il demeure à nos entendements que nous soyons dépossédés d'une issue ou d'une limite que nous ignorons encore, nous sommes persuadés que les bases de nos civilisations, quelles qu'elles soient, puissent être garantes et rendre possibles l'évolution de nos vies.
C'est pourquoi et c'est une première caractéristique de toutes nos civilisations, s'ouvre désormais la civilisation de la vie. Elle est tracée sur ce chemin, en dépit des obstacles qui pourraient annoncer des sorties.
Mis à jour le 6 juin 2017
Éloge du culot de la langue française
S'il y a deux adjectifs entiers, incompatibles,
En cela, gratuite et obligatoire, sont terribles
Parmi tous elle vient frapper notre puberté.
Ce sont ceux qui obligent à acheter la liberté,
Ils l'appellent depuis jadis l’Éducation nationale,
Sans cesse difforme, elle se réforme haut et bas,
Comme si elle nous devait, chose la plus banale,
Nous apprendre ce que discutent nos vieux : le débat !
Ils y mettraient plus d'orthographe et de grammaire,
De tous les verbes au subjonctif, ce dernier aqueux,
Serait un conditionnel, que sais-je encore de son air,
Voudrait nous faire asseoir tels de pauvres gueux.
De nos jeans, de nos jupes, nos pantalons, culottes,
Râpés sur les précieux bancs des écoles, les chaises
Développent le bien durable, l'héritage, nous dorlote
Pour que nous soyons en un gaz carbonique, à l'aise.
C'est à n'y rien comprendre, ce que j'ai le plus retenu,
Des heures passées, moyens les plus beaux, professeurs,
Ce furent les entre-cuisses s'ouvrant, parenthèses retenues,
Masculins ou féminines sur le divan d'un sexe connaisseur.
J'ai mis toute mon ardeur et de leurs précieux courages,
À mettre à nues toutes leurs connaissances des livres,
Extraire la substantifique moelle et en tous les âges,
M'exciter à la belle reproduction, au plagiat qui délivre.
J'ai copié, recopié sans cesser, évoquant mes plaisirs
Partagés en thèses et anthèses, sublimes fornications
De nos esprits vaillants, introduisant toute la culture
En de plus savantes valeurs pour toutes destinations !
Connaissant l'époque de tous les divins extrémismes,
Je suis devenue propagande en parties cabalistes,
Revendiquant l'appartenance aux genres, académisme
Grand, souverain et pluriel qui exclue toutes les listes.
Me voici devant vous forte de mon bel éclectisme
Pour faire mieux et dire, chanter et danser ici et là,
Aller, tonner le monde, cette terre par le syncrétisme
L'isthme de France, mon lit, ma gouaille, le matelas.
Claironnez, claironnez, claironnez, là où n’erre que l'écho
Sonnez, sonnez, sonnez, trompettes de Jéricho. …
« Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée. »,
Claironnez, claironnez, claironnez, là où n’erre que l'écho.
Qu'est-ce à dire, il y aurait des mots
Qu'il n’aimerait pas ? Qu'est-ce à dire,
Il y aurait par les champs des oiseaux,
Qu'il n’aimerait pas ? Et par délire
En une fois, il bifferait toutes les voix ?
Voilà une chose étrange pour l'évêque
D'un lieu de vouloir, de l'accent, il croît,
Ôter tout ce qui porte l'assonance grecque.
Prétendrait-il enlever tout geste des autres
Et ne magnifier de Lui que l'écrit latin ;
Se prétendrait-il le seul et vivant apôtre,
Tel le survivant du grand mont palatin ?
Qui penserait d'un bel et beau tir canonique
Oublier les convenables et actes charitables
D'un revers de main, beaux habits, tunique,
Balayer la communauté en la Sainte table ?
Y aurait-il en ce pays vieux, une mort si laide,
Qu'elle reprocherait aux vivants, à l'un, à l'autre
De proférer l'anathème avant qu'il ne décède,
Sommer d'un apartheid, comme diviseur du nôtre ?
Faut-il laisser ainsi parmi les oies, ces eaux
Courir parmi nos frères, en mal elles interfèrent
Tel un épiphénomène, s'abaisser, aller à vau-l'eau,
Se dictant l'esprit fraternel, d'un bras qui enferre ?
Miséricorde, par Jésus-Christ qui l'accorde,
Il nous faut parler humblement en prière,
Chanter plus bas, pour tout ce qui concorde,
Nous rassembler en frères autour du Notre Père.
Échooos 22 mai 2017
LES JOURNALISTES MÉDISENT-ILS DE L'INFORMATION ?
Certaines personnes affirment que les journalistes médisent des politiques ou d'autres personnes.
Ces personnes journalistiques, de tous les médias, elle ou ils, iraient, paraît-il, jusqu'à émettre des propos si détournés des faits et des sources recueillies en amont, qu'ils ou elles seraient traduit(e)s en des critiques, des médisances ou des opinions contraires aux faits rencontrés ou personnes interrogées.
Avouons notre stupéfaction devant ce qui serait le paradoxe possible de l'actualité.
S'il y avait paradoxe, les journalistes, pas plus que moi-même, ne saurions les démêler !
Or s'ils s'en mêlent autant que je voudrais pouvoir le faire, c'est qu'il existe bien un nœud gordien.
Par bonheur, la ou les solutions à ce type de nœud peuvent se résoudre par des méthodes pacifiques et non brutales.
Aux maux de la fracture est substitué les mots de l'écriture, dans l'attente de l’information du futur.
Car tel est le problème, … celui de l'ignorance.
J'ai relevé une critique selon laquelle une politique d' « En marche » relèverait d'une pratique d'un équilibriste.
Cela serait vrai mais pourrait être en partie inexact.
Équilibriste @ frenchemployerbranding.files.wordpress.com
La marche est effectivement un mouvement qui se modifie constamment et adapte l'équilibre de la personne qui l'effectue.
Elle ne pourrait constituer un "équilibrisme" que si elle ne transgressait que les lois pour côtoyer tous les dangers.
De fait conclure hâtivement à un équilibrisme consiste à nier toutes les actions de marche, d'équilibre, antérieures à cet éventuel ou prétendu équilibrisme, et toutes les actions postérieures, si nous supposions que l'équilibrisme en question, aurait réussi à défier les lois antérieurs pour en proposer de nouvelles, reproductibles par tous et applicables.
S'il s'agissait effectivement d'un réel équilibrisme, qui échouerait en son équilibre, il n'y aurait qu'à constater la mort de l'équilibriste ...
Mais supposer la mort avant qu'elle soit constitue une condition inadmissible.
Alors, pourquoi certains journalistes ou personnes continuent-elles de promouvoir ce qui inadmissible, même s'il est irréfutable ?
Cela provient de l'ignorance.
L'ignorance est-elle seulement de contester le réel ?
Non point, ce n'est pas une interrogation, c'est de refouler également l'imaginaire, ce qui est déjà présent(e) dans nos rêves.
Sans imaginaire, il n'y a plus d'espérance, plus d'espoir sur terre.
Ainsi donc, il nous faut, non seulement combattre l'ignorance, mais l'ignorance de l'imaginaire.
Ceux qui apparaîtraient tel(le)s des médisants, ne le sont que parce qu'ils médisent de la connaissance, qu'ils sont ignorants ou qu'elles, qu'ils nient la connaissance de l'imaginaire …
Avouons, qu'elles ou qu'ils avouent, que c'est assez peu crédible, de nier ainsi la connaissance de l'imaginaire !
Mis à jour le 19 mai 2017 à 15:15
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