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UN SYSTÈME DÉNATURÉ ET VICIÉ

S'il est établi avec certitude qu'il faille améliorer le contexte des hommes et de leurs relations, la priorité constante, conjointe et suivante est celle d’assainir les modes et les usages de vie qui sont les nôtres.

Le prérequis permettant de définir favorablement un contexte ou un environnement suppose 4 dimensions essentielles, individuelles et collectives, dans l'ordre d'importance suivant :

  • l’éthique,
  • les capacités minimales, (l'écoute, la parole et et la faculté de décision)
  • le savoir-être,
  • et les compétences (le savoir-faire).

La conjonction est une coordination de groupes de travail (organisation) partageant des valeurs communes et agissant au mieux (et non bon gré mal gré) en formulant des propositions.
Les résultats ou réussite de ces groupes ne sont pas de produire les solutions les meilleures mais celles qui sont considérées par tous comme étant les plus satisfaisantes.

Cette première tâche étant longue à entreprendre, changement de communication et de mentalité, celle de parfaire les lois et les règles, échoue dans la plupart des cas, justement parce que ceux qui sont en pouvoir de le faire désirent conserver les usages qui leur ont permis d'y accéder.
Ils échouent parce qu'ils n'ont cure ou n'observent pas les prérequis.

De fait, dans un système stable, tel qu'est celui de la Vème république ou des « démocraties primaires », les chances d'y parvenir sont minces, sinon nulles.

Qu'est-ce qu'une « démocratie primaire » ?

... à suivre ...

« <clean> » Ce qui relève de l'évidence sont les seuls éléments qui méritent d'être répétés . « </clean> »

LE GÉNÉRAL DU DE GAULLE



« Il n'est de général que De Gaulle », telle pourrait être la formule d'une libération qui nous enchaîne tous plus qu'elle libère.

Il s'agit de mettre De Gaulle hors de l'arène - Extrait de @ Libération
Il s'agit de mettre De Gaulle hors de l'arène - Extrait de @ Libération

De fait, le sens commun rejette ce qu'il a trop entrevu, ce qu'il ne saurait encore entrevoir, au profit d'un particulier, qui aurait, semblerait-il, pouvoir à tout résoudre.

Ainsi, loin de dénoncer en particulier et particulièrement une personne incriminée à « justes raisons » et en toute justice, il est devenu préférable de continuer à dénoncer une généralité, afin qu'elle soit entraperçue telle une majorité, telle une opposition de bon sens à un courant dont il faudrait à jamais se défaire.

En effet il n'y a jamais eu de gaulliste, et par là de gaullisme, que De Gaulle et par De Gaulle lui-même.
Comprenons le bien, il est en effet difficile de récupérer une casquette, plus encore un képi à deux étoiles, a fortiori lorsque quelqu'un entend s'en passer totalement ou prétendre être au service de vingt-huit !

Alors, il m'est impossible de me rattacher aux valeurs surannées d'une personne disparue, en tentant de les réactualiser ou de les récupérer à mon profit ou au profit d'un gaullisme gaullien, ou d'un lien rompu par les diverses générations qui ont eu succès à poursuivre un ouvrage à peine entamé, celui d'une reconstruction générale puis particulière.

Il nous reste, tout au moins en France, à mêler général et particulier, n'en faire qu'un.

Il y a longtemps que je l'espère, tout au moins sous leur forme de liberté, d'égalité et de fraternité, sans majuscules.

Peut-être alors, serons-nous aptes et convaincants, afin d'aller de tous côtés et plus loin ...

VALORISER L'ACTIVITÉ (SYNDICALE)

La première activité d'un pays est celle de la communication.

C'est pour cela que l'expression de « dialogue social » a été formulée.
Elle l'est d'une manière impropre car un dialogue suppose que deux et deux institutions ou personnes seulement entrent en communication.
Il est inconcevable et sans pratique réalisable d'instaurer un dialogue à plus de deux sujets. C'est bien pour cette raison que la France est dans une impasse : celle de constamment rejeter l'expression d'un partenaire supplémentaire, de celui qui arrive en 3ème, 4ème, ... position.

De fait, l'activité syndicale se trouve compromise, tout comme pourrait l'être celle d'un exécutif ou celle des personnes qui désirent s'exprimer, par exemple et notamment celle des médias ou de la presse, celle plus générale ou particulière des Français.

Ainsi donc, mais pas exactement comme pourrait l'entendre Monsieur François Fillon, qui voudrait limiter le temps consacré à l'activité syndicale, il est nécessaire de restructurer totalement cette activité (Cf. Le « droit syndical », expression d'un contre pouvoir entrepreneurial), afin justement de valoriser et son activité et le temps qui y est dévolu.

Cette ouverture entre nécessairement dans le contexte d'un dialogue (à 2 partenaires) à laquelle les syndicats seraient à l'évidence les premiers intéressés.
Il reste en définitive à savoir quel pourrait être le deuxième et seul partenaire permettant de retrouver un contexte favorable d'activité ...

Le « droit syndical », expression d'un contre pouvoir entrepreneurial

La Réforme du dialogue social dans l'entreprise, s'il y en a une, doit considérer d'une part l'ensemble de l'entreprise qui constitue une entité ou un tout et d'autre part chaque personne qui y exerce une activité, au profit de l'entreprise et à son profit.

De fait, établir ou favoriser l'émergence d'un sous-ensemble ou de groupements au sein de l'entreprise est de nature à créer un contre pouvoir. Ce contre pouvoir appelé confédération ou syndicat (liens internes ou externes etc.), selon la nature qu'il peut prendre, peut s'opposer non seulement à la stratégie de l'entreprise, mais également à la liberté ou à la volonté des personnes de l'entreprise.

Conséquemment et eu égard à la considération et à la lecture des événements historiques qui ont eu lieu en France, les deux principes fondamentaux qui doivent être retenus pour un fonctionnement adéquat sont l'activité (déclinée en activité de dialogue – communication – et activité de réalisation) et la liberté d'expression.

La remise en cause en parties ou en tout de la loi 17 août 2015 relative au dialogue social et à l'emploi ( 62 articles https://www.legifrance.gouv.fr/eli/loi/2015/8/17/ETSX1508596L/jo/texte ) s'avère à l'évidence nécessaire et elle est, (LOI n° 2015-994 - NOR: ETSX1508596L - JORF n°0189 du 18 août 2015), à la vue des circonstances, abrogée.

Pour valoir ce que de droit

Europe, LEF

Abolition du travail [CONST]

En vertu du principe fondamental que la loi s'applique à toutes personnes ou entités et détermine les principes par accès, accords ou associations :

  • de l'Union Européenne
  • du Conseil constitutionnel
  • de la présidence,
  • du gouvernement,
  • du parlement,
  • des accords ou traités internationaux
  • de la Haute Cour
  • des autorités civiles, judiciaires et militaires,
  • du Conseil économique, social et environnemental,
  • des collectivités territoriales,
  • des dispositions relatives ou transitoires de territoires non métropolitains,
  • des accords d’associations et de la Francophonie,
  • des personnes morales et physiques

Est faite aujourd'hui Demande de mise à jour de la Constitution de 4 octobre 1958 et des textes qui y sont relatifs

À procéder à la mise à jour de la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 et à rendre caduques dans leur application tous les textes antérieurs, notamment celui du :

Titre V – ARTICLE 34

[

Dans la loi détermine les principes fondamentaux :

  • - de l'organisation générale de la défense nationale ;
  • - de la libre administration des collectivités territoriales, de leurs compétences et de leurs ressources ;
  • - de l'enseignement ;
  • - de la préservation de l'environnement ;
  • - du régime de la propriété, des droits réels et des obligations civiles et commerciales ;
  • - du droit du travail, du droit syndical et de la sécurité sociale.

]

Est remplacé « Dans la loi détermine les principes fondamentaux » par
« Dans la loi détermine les autres principes »

Est remplacé « du droit du travail, du droit syndical et de la sécurité sociale » par
« du droit à activité de vie, du droit d'expression, du droit de santé et du droit de sécurité »

* Les Codes et règlements en vigueur sont à réécrire.

- À l'activité et non au « boulot » !

De et pour l'amélioration du contrôle, de la prévention et de la signalisation routières.

Puisque vous êtes conduit à n'observer réellement que l'état de mon véhicule et non le comportement que j'ai adopté en le conduisant, ni même ma présence sur la photographie, ce qui est entre crochets et ou , en rouge ne devrait pas être logiquement lu ou relevé par le moyen qui nous permet de constater le réel : notre radar.

[ Pour le cas de l'infraction présente, que vous m’attribueriez, ou plutôt selon les dires qui pourraient être les vôtres, que vous attribuez à mon véhicule, je viens prêter serment :

  • que je conduisais un véhicule dont je suis propriétaire,
  • que j'ai respecté la vitesse signalée de 50 dans la chicane où se trouve des plots de travaux,
  • que j'ai vu le radar de contrôle de vitesse,
  • que j'ai également vu le panneau à moitié plié de fin de limitation de vitesse,
  • que j'ai également constaté dans mes rétroviseurs que le trafic tant en aval qu'en amont était dégagé,
  • que j'avais connaissance de la vitesse maximale à adopter de 70 après le panneau de limitation de vitesse.

... Je reste choqué(e), non par l'aveuglement qu'a procuré le flash du radar, mais par l'effet qu'il continue de provoquer sur mon système d'analyse et de navigation.
Je vous prie de ne pas mettre en défaut l'entretien ni les qualités de mon véhicule.
La déstabilisation occasionnée, qui aurait pu être préjudiciable alors aux conducteurs d'autres véhicules dans le trafic, m'incite à vous faire part de ce qui suit, non pas pour qu'il me soit rendue justice, mais pour qu'elles soient justes dans l'avenir envers ces conducteurs qui pourraient être accidentés, choqués ou, en témoignage de leurs familles, décédés. ]

Pourquoi le choix de radars de prise avant d'un véhicule est-il contestable ?

Le radar de prise de vue par l'avant est destiné à identifier [ le conducteur/trice et ] son véhicule. Le seul contrôle radar pouvant normalement être autorisé et juste, eu égard de contingences autres que celles du Code de la route, est de vérifier l'état du véhicule, notamment sa vitesse, dans un contexte de circulation donné notre radar est au présent incapab....

Le radar de prise avant établit une mesure de vitesse ne tenant pas compte de ce qui se trouve derrière lui, a fortiori de ce qui est immédiatement à côté de la position que nous pouvons constaté de notre radar. À vue du conducteur/trice, à l'avant du véhicule, il peut y avoir, après ou à côté du radar, la signalisation d'un panneau de vitesse indiquant une fin de limitation de vitesse ou un panneau de vitesse égale, inférieure, supérieure à celle de la limitation qui a été précédemment signalée. Dans le premier cas, le panneau confirme un rappel de la limitation de vitesse. Dans les deux derniers cas, le panneau invalide les vitesse précédentes.

Ainsi, le contrôle devient par le fait sujet à interprétation et ne pourrait constituer éventuelle preuve que d'une diminution ou d'une reprise de vitesse, c'est-à-dire d'une variation de vitesse. Cette diminution ou reprise de vitesse, si elle est « anticipée » par le conducteur/trice du véhicule, peut être en conformité, tant par sécurité que par respect du Code de la route, au moment où le véhicule atteint le seuil où se trouve le radar et le panneau de signalisation.

Ainsi, la mise en place d'un radar de prise par l'avant, s'il n'est pas adjoint d'un radar de prise de vue par l'arrière, est de nature, non pas à contrôler la vitesse des véhicules à un point P, mais est un contrôle anticipé de la vitesse que le véhicule pourrait avoir au point P du radar.
Il majeure celle-ci si un panneau à ce point ou en amont (à côté ou derrière le radar) indique une vitesse supérieure à la précédente. Il minore celle-ci si un panneau situé à ce point ou en amont (à côté ou derrière le radar) indique une vitesse inférieure à la précédente.
Il ne mesure que la variable d'ajustement de vitesse que le véhicule atteint par commandes du conducteur/trice (dans ce cas et pour exemple, si la vitesse doit être 50 au contrôle, il faudrait afficher de 40 à 45 avant contrôle ou adopter votre méthode actuelle consistant à fournir une fourchette de tolérance, qui a l'inconvénient de ne pas être en Europe ou internationalement établie). … Une variation de vitesse est li...

Conclusion :

Pour qu'une photo prise par notre radar soit incontestable, outre la qualité et l'exploitation technique de celle-ci, il est nécessaire et suffisant :

ce qui permet de constituer le manquement à la règle du Code de la route et le motif de verbalisation qui en découle.

Or, il semblerait que nous adoptons un autre usage faisant en sorte qu'il soit contesté.

La première conséquence est que notre radar est détourné de sa véritable utilisation ; ce qui constitue notre paradoxe radicalement accepté, que je, conducteur/trice n'accep....

#FLAG

« La France doit regarder en avant et non toujours se faire sanctionner par l'arrière SIC »

AU SUJET DE LA CONSTITUTION D'UNE NATIONALITÉ

Je tiens à remercier Monsieur Bertrand Louvel, premier président de la Cour de cassation, pour son audition du 1er mars 2016.

Aucune remarque n'est à ajouter à ce qu'elle a exposé en quatre points.

Mais il subsiste chez les Français une incompréhension qui tient aux évolutions de l'interprétation des lois et celles des politiques de notre pays.

Pour les unes comme pour les autres, elles sont inscrites désormais dans un cadre européen. Les vues différentes révélées permettent à la France, par les événements tragiques que nous avons traversés, de réexaminer les différentes implications des unes comme des autres sous un angle aussi bien général, constitutionnel, que sous un sens particulier, personnel, celui de la liberté. Cela permet à la France à ouvrir une voie qui parlerait pour l'Europe.

Je reviens avec vous sur la question de la liberté, inscrite dans la Constitution comme dans le cœur de chacun.

Dans un esprit, dans mon esprit et j'espère qu'il sera une vision commune de d'entendement, il y a de souveraineté de l’État que dans l'application et le contrôles des lois, non dans la définition de son principe.
Autrement dit, l’État est subordonné au respect de la Constitution et non l'inverse. En conséquence, l’État ne détient pas de souveraineté informatique ni ne dispose de la liberté individuelle d'une personne, en un sens direct et premier.
L’État et son pouvoir exécutif, par l'intermédiaire des organes définis par la Constitution, délèguent la bonne exécution des lois aux hommes et à leurs moyens qui ont été et sont clairement définis.

En faisant relecture de ce certains appellent « déchéance de nationalité », nous pouvons seulement le comprendre dans le sens où une personne, en ne respectant pas le droit français ou celui d'un autre pays, se déchoit de sa ou de ses nationalités et y réduit sa ou ses libertés.
De fait cette personne s'expose en conséquence et conséquemment à être privée d'une de ses nationalités (si elle en possède plusieurs) ou de ses libertés si elle n'a qu'une nationalité.
A voir les dispositifs et les vérifications qui sont prévus ou doivent être faits pour les effectuer ou les mettre en place.

Une remarque cependant s'impose et qui constitue
le paradoxe de la demande de réforme :
étant donné qu'au moins une nationalité doit subsister, le fait de répondre par la suppression d'une nationalité tend à octroyer au prévenu la seule nationalité qu'il pourrait ou voudrait accepter. Si celle-ci n'est pas la nationalité française, elle serait, de proche en proche, celle d'un « État » qu’aucun pays ni qu'aucune personne ne désirerait nommer, le « pays » qui aurait suggéré à la personne de déchoir !
Vous voyez en quel état cela pourrait conduire la personne, nous y faire consentir ...

CONSIDÉRATION SUR LA DÉCHÉANCE & SUR LA NATIONALITÉ

Ce n'est ni une nouvelle copie, ni une nouvelle rédaction, ni même une nouvelle version sur lesquelles il s'agirait de s'entendre, c'est sur la considération que les Français veulent éviter à eux-mêmes comme aux autres de déchoir.

En ce sens, ce n'est pas la France qui souhaite déchoir qui que ce soit ou quoi que ce soit, c'est la personne ou la chose qui déchoit ou tombe, parce qu'elle est hors des lois ou des critères auxquels tous les Français acceptent de se référer.

Ainsi, nous vous renvoyons à la considération du manquement, adressée auparavant à Madame La garde des Sceaux.

Du manquement - Version II

À Madame (élément supprimé : La garde des Sceaux),
Pour Madame Christiane Taubira

objet : du manquement de la civilité à celle de la nationalité

Chère Madame (élément supprimé : El Garde les Sceaux),

Je vous prierai de me lire jusqu'en mes salutations.

Vous savez mieux que moi ce que nous devons garder de notre Constitution pour parfaire les desseins entiers de la Nation. Chacun parmi nous désire conserver ce qui semble suranné en ajoutant un travail qui soit de cette année.

Ce qui nous préoccupe et dont nous avons l'esquisse n'échappe pas à cela, pour l'un et pour l'autre en un point, solution, il faut qu'en l’État, pour tous et bien il finisse.

Si nous considérons les différents avis et conseils, le problème, sinon son aboutissement n'est pas distingué d'une manière pareille.

Je considérerais en acte personnel de manquement ce que nous avons difficulté publique à considérer de tous nos errements.
Si une personne entend, suscite et provoque sa déchéance, il est hors de notre esprit public de répondre par condamnation et par terreur avec plus d'aisance.
Si sa faute est, elle est aussi en son auteur responsabilité et il est responsable de ses conséquences.

Ainsi de ses origines et de ses volontés, cette personne doit observer ce qu'elle peut désormais ; nos usages confirment clairement ce que nous voulons lui signifier.

Parmi les cas qui se présentent, celui d'une double nationalité, comme nous (élément ajouté, corrigé) n'aurions pas le souhait que la personne quitte le pays de France (et ce vœu semblerait encore pour certains de notre administration à être défini et validé), la réduction de sa liberté se substituerait à celle d'une déchéance.

Il paraîtrait nécessaire, avec l'accord du pays de sa nationalité première, qu'elle abandonne sa première nationalité. Dans le cas d'un désagrément, elle conserverait seule notre nationalité. Dans ces deux conclusions, elle se soumettrait désormais à nos lois.

Dans le cas où cette personne souhaiterait perdre notre nationalité et avec l'accord de son pays, pair et père, libre de notre pays, elle bénéficierait de la seule nationalité et du retour dans son pays d'origine (dans la mesure où celui-ci possède des lois qui ne contredisent pas les nôtres, peine de mort par exemple).
Dans le cas d'empêchement, de refus du pays ou de réserves légales auparavant citées et exposées, elle conserverait uniquement notre nationalité et sa nationalité première serait nulle car opposée.

Dans les possibilités réduites de son choix, selon la gravité de ce que la personne aurait fait auparavant en nos contrés, des mesures proportionnelles seraient envisagées afin que des exclusions soient mises en place à sa liberté de circuler à nouveau sur nos territoires ou que dans le pays avec lequel un accord aurait été réalisé, soient respectées les conclusions qui auraient été arrêtées.

L'extension de ce principe brièvement exposé, qui diffère peu dans l'idée de ce qui réside présentement, conviendrait aux dispositifs de chacun des pays d'Europe et à son développement.
Nous pouvons observer que nous possédons chez nous tous une deuxième nationalité explicite et implicite, inhérente, européenne, que nous souhaitons animer et nous ne voulons soustraire rien de notre identité première si nos volontés nous conduisent à demeurer libres et responsables.

Chère Madame (élément supprimé : El garde les Sceaux),
comme j'ai écouté et perçu ce que vous entendiez vous-même, Veuillez je vous prie accepter ce que j'eusse aimé vous dire de vive voix, par le seul signe même, celui d'exprimer simplement, au moins une fois, une reconnaissance en des salutations.

Marya Deslas sur Hope Her - Mis à jour le 27 janvier 2016

LA FRANCE FÉODALE – « JACQUES A DIT : COMPTE SUR TOI »

Aucune presse n'évoque le terme de culpabilité ou d'irresponsabilité de nos élus suite aux errements de notre système, en particulier fiscal. Il s'agirait seulement et tout au plus d'un « défaut de fonctionnement », d'un « couac », d'un « ratage », d'une « communication inappropriée »

Ainsi personne ne s'étonne qu'un papier puisse être imprimé et diffusé sans contrôle puisque nous sommes à l'heure du numérique. Finalement, nos élus et notre administration sont-ils (ré-)publiquement « cons » ou seraient-ils de la féodalité ?

À vouloir entériner ce qui se produit chez nous depuis des décennies, par les offices des chefs d'État, de gouvernements et d'élus variés, dont la bêtise ou le mensonge n'ont d'égal que leurs appétits de pouvoir, je reste confondu qu'ils puissent subsister chez eux dans une « dignité offensée », publique ou le début de la maladie de l'oubli.

C'est pourquoi, de l'absurdité à la normalité, nous voyons les uns et les autres nous prier de leur accorder notre pardon pour des erreurs qu'ils auraient commises provenant des sources de ceux qui les auraient précédés. Personne n'est coupable car personne n'est responsable.

Mais aujourd'hui, cela déborde, cela suffit, le moment est venu de prendre la faux et le fléau dans notre pays féodal. Ils se moquent d'un peuple. La terre vient les retourner pour les ensevelir. Il s'agit d'une jacquerie quand Jacques a dit. Personne n'est Jacques, tout le monde l'est.

Aussi, cette jacquerie est une jacquerie numérique et s'oppose au numériquement incorrect.

Elle s'affirme d'une vérité tutélaire car elle provient de ce qui veut protéger et vivre, d'un enracinement social renversant les idéologies ; celles de l'absurde, de l'inhumanité, de la méconnaissance, des hérésies techniques et scientifiques, de l'inculture qui veut faire prendre des vessies pour des lanternes, de l'irrespect du sacré comme loi souveraine de la liberté, du mépris de la nature venant réparer les dégâts d'une bombe consommatrice et pollueuse, de l’apothéose de l'art frelaté qui vient fondre, se consumer et se sublimer pour ne pas disparaître, de l'égalité comme règle par défaut, de la fraternité comme comportement qui voudrait faire entendre la négation de la racine car elle nie aisément ce que l'arbre porte ; des bons fruits comme des mauvais, il semble nécessaire de les conserver tous, sous le prétexte du principe de l'égalité précédente.

La vérité perdure malgré les changements qu'imposent ces idéologies-là, qui ne veulent le reconnaître.
C'est ainsi et c'est pourquoi la contre-vérité réside dans la féodalité où la femme et l'homme tentent de résister et de se résister.

La France est un pays féodal, divisé, irrégulier où la plupart des habitants, plutôt que de réels « citoyens », vit ni franche ni heureuse.
La dictature succède au servage dont elle s’accommode, de l'utilité elle en fait des lois iniques. Par équilibre néfaste, c'est la soumission à un mouvement d'alternance où tous les Jacques essaient d'échapper au balancier funeste.
Ce que l'un construit à peine, le prochain vient le mettre à raz.

D'autres rient bêtement des uns et des autres quand ils sont réduits à leur autosuffisance.

Mais Jacques ne rit plus, Jacques lit. Jacques accueille le désespoir et se réfugie, travaille en silence et se révolte en lui-même.

Jacques s'assemble, il ne se rassemble plus.

Il a perdu son emploi comme il déserte son syndicat. Il sauvegarde son activité, son entreprise, non la firme qui l'emploie.

Il va et vient, il siffle dans les logiciels et dévoile nettement la volonté de son profil.
Il sait qu'il est numériquement fort.
Il voit que le temps de la finance obscure s'effondre en un rien : des barreaux et grillages dans son caddie.

Jacques arrive et se met à dire. Il parle et écrit. Il a son numérique. Il crie et hurle.

C'est sa charia.

Et contre cette révélation, ni les ni les autres ne peuvent contester, ils y sont tous contraints.
La féodalité va tomber ; par les arabes, par les chrétiens, par les pratiquants de l'islam ou par les infidèles, par tous les autres, ils en sont témoins.

La machine l'imprime. « Jacques a dit » : je répudie la connerie ! Il n'y a pas de République numérique.
La machine continue à imprimer … Ce n'est pas le sens des mots que vous perdez, c'en est fait par la sagesse.

AVANT DE JETER, REFLECHISSEZ A CE QUE VOUS Y METTEZ

Il est bien clair pour tous, l'est-il, que nous ne devons pas déverser nos ordures sur la voie publique ou chez notre voisin ?!

Mais est-ce que les lois ou les usages sont-ils incitatifs pour réduire et pour faire comme le comprennent et l'entendent le plus grand nombre de citoyens ?

En effet, si nous admettons les postulats qu'il existe un ou des lieux destinés à y mettre nos déchets (1ère partie), et que nous concédons que les déchets eux-mêmes possèdent des caractéristiques variés (2ème partie), il semble nécessaire de vérifier leurs différences avant de les placer là où il est adéquat qu'ils soient ou qu'ils transitent afin qu'ils soient traités.

PREMIERE PARTIE

Si les lois sanctionnent différemment selon les lieux son irrespect, par exemple si les montants de l'amende concernant le déversement sur la voie publique sont différents d'une commune à l'autre, alors existe une possibilité qu'un bassin soit plus pollué que celui qui est dans son voisinage.

Ce qui est identique, si les déchets sont assujettis à des coûts ou des taxes variables pour des lieux d'enlèvement ou de collecte dans des communes, départements, régions, alors ces déchets auront tendance à être acheminer vers les communes, les départements, les régions, les lieux où les coûts sont moins chers.

Ce qui revient à la même conséquence, si les «  taxes incitatives » sont inégales pour le même type de déchet à collecter, traiter, alors subsiste des possibilités de transferts financiers ou physiques concernant ces déchets.

Enfin et plus surprenant, dans le cas précis de ce document déchet que nous aurons à jeter à la poubelle pour en faire une proposition positive et effective qui aille dans le sens de l' INCITATION, si le paramètre quantitatif vient contredire ce que nous désirons, c'est-à-dire d'aller vers la réduction des déchets, et qu'il imprime des papiers incitant à produire plus de déchets, ce qui est identique en établissant par calcul que le prix d'enlèvement unitaire d'une levée s'abaisse quand la quantité augmente, alors il devient favorable de polluer plus.

Aussi, avant de jeter ceux deux documents et l'analyse de ceux-ci, il convient de méditer collectivement sur la question d'obtenir un déchet final !

Article précédent : FOUILLER LES POUBELLES : UN DROIT OU UN INTERDIT ?

A suivre

FOUILLER LES POUBELLES : UN DROIT OU UN INTERDIT ?

Aucun Français n'est réellement informé qu'il a droit ou interdit de fouiller les poubelles.
Tout au plus peut-il être convaincu que cela peut être odorant et sale.

Mais à y regarder de plus près, dénicher le mode de calcul de la TOEM (Quiz, qu'est-ce que c'est ?) relèverait d'une recherche plus impossible que sordide, diriez-vous ?
Vous auriez raison de ne pas poursuivre … Il semblerait interdit de disposer du droit de connaître le calcul de la TOEM !

Car l'État et les communes et toutes les instances qui s'en occuperaient, en masquent tous les détails et n'impriment que les informations qui leur sont favorables.
Le dernier courrier de la Communauté de Communes fournit la preuve d'une incantation imprécise et mensongère, celle de la Redevance Incitative.
Vous en RIez !
Nous pas. Car elle incite à produire plus de déchets ...

Qui pourrait se satisfaire d'être incité à souscrire à un nouvel impôt, sous couvert qu'il soit favorable à l'instauration de nouvelles pollutions de taxes pour les générations qui suivent !!!

Le citoyen devrait se contenter de mettre ses déchets à la poubelle et de sortir celle-ci dans la rue. Mais avant, il doit payer la Taxe d'Enlèvement des Ordures Ménagères. Revenons-y ...

En cours ….

Article suivant : AVANT DE JETER, REFLECHSSEZ A CE QUE VOUS Y METTEZ

Le moteur de recherche de Google France est-il neutre ?

Google France est-il neutre ? L'image du jour
L'image du jour - by Google France


Google France est-il neutre ? L'image du jour
L'image du jour sélectionnée pour vous - by Google France


Google France est-il neutre ? L'image du jour

Image du Coran gratuit - by Google France

Ainsi se lève le jour de la laïcité, qui, intransigeant sur la neutralité, se joue de l'égalité en toute impartialité. ...

Très vite remplacée par :

Qui efface aussi aisément qu'il imprime !

Le Google qui efface aussi aisément qu'il imprime !

Place à l'humour, désopilant Google.

AIMER, LE PREMIER VERBE

a

@ Editions HATIER – Bescherelle – une copie d'impression – 1976 (classé 6ème)

Le verbe aimer, s'il est classé traditionnellement sixième, est en fait le premier de tous les verbes.
Car si nous n'aimons pas, il nous est impossible d'aimer apprendre, d'aimer connaître ou d'aimer savoir, d'avoir aimé, ...
C'est avec justesse et justice que nous devrions aimer à l'enseigner en premier.

Une de ses principales caractéristiques est de pouvoir être employé avec tous les auxiliaires, à la forme active, passive ou pronominale :

j'ai aimé, je suis aimé, ils s'aiment, elle aime aimer ...

Son usage peut cependant être dévoyé en pratique par l'utilisation condamnable de la juxtaposition de verbes de sens opposé :

j'aime tuer les animaux, j'aime détruire les cités, ...

LA FONCTION PRÉSIDENTIELLE

Le Bashing de la présidence

Le bashing (mot qui désigne en anglais le fait de frapper violemment, d'infliger une raclée) est un néologisme d'origine anglophone utilisé pour décrire le « jeu » ou la forme de défoulement qui consiste à dénigrer collectivement une personne ou un sujet. Lorsque le bashing se déroule sur la place publique, il s'apparente parfois à un « lynchage médiatique ». Le développement d'Internet et des réseaux sociaux a offert au bashing un nouveau champ d'action, en permettant à beaucoup plus de monde de participer dans l'anonymat à cette activité collective.

A priori, il n'existerait pas de mot français pour dénigrer le président qui est hors de vous satisfaire. Le concept est donc obligatoirement étranger, de l'autre bord, et par effet de manche, nécessairement de l'opposition.

À l'inverse de ce qu'affirme Manuel Valls : "Je suis fatigué, un peu écœuré, des critiques, des petits mots, des petites phrases à l'égard du président de la République." (mardi dernier, sur BFMTV et rapporté par le JDD ), ce n'est par le 23ème président de la république, Nicolas Sarkozy qui dévalorise la fonction présidentielle, mais François Hollande lui-même.
Dans la suite du propos du JJD, la question n'est pas de mettre en question la capacité ou l'incapacité de François Hollande à mener son quinquennat jusqu'à son terme, ni d'évoquer les sondages et son impopularité record, mais de comprendre la mise en cause ou la remise en cause permanente du chef de l’État en poste. Car cet état de fait est hors de dater du quinquennat actuel.

Manque de respect des institutions

Ce "Manque de respect des institutions" n'est pas lié aux résultats catastrophiques du Parti socialiste aux élections européennes. Ainsi Bruno Le Roux, président du groupe PS à l'Assemblée, sur RTL, s'il n'explique rien, ne cherche rien ni à comprendre ce qui a lieu.
Pas plus d'ailleurs que l'ancien ministre de l’Économie, Pierre Moscovici, interrogé lundi par LCI, ni même Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, sur Public Sénat.

C'est donc par des rappels d'évidence qu'ils poursuivent : "Il faut respecter la fonction présidentielle. Il faut respecter les institutions. Le président de la République est la clé de voûte des institutions", estime Pierre Moscovici. "Je pense qu'il y a un manque de civilité et de respect des institutions et quelque part de la démocratie dans notre société politique. On peut dire des choses critiques sans remettre en cause la personnalité du chef de l’État", approuve le secrétaire d’État aux relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen, invité de France Info mercredi.

Et Olivier Faye, du leJDD (vendredi 06 juin 2014 ), de conclure, en reprenant les propos de Jean-Marie Le Guen : Ce dernier explique par ailleurs la source de la défiance contre le chef de l’État par… l'attitude de son prédécesseur, Nicolas Sarkozy, coupable à ses yeux d'avoir dévalué la fonction. "Il est vrai qu'on a vu dans un moment précédent le président de la République tenir des propos à la fois agressifs et relativement vulgaires vis-à-vis d'un certain nombre de nos compatriotes." Ou quand le "Hollande bashing" réveille le "Sarko bashing".

Jean-Louis Debré plus récemment invité de l'émission d'Europe 1 Mediapolis, propos rapportés sur le Monde Politique critique l'ancien président Sarkozy : « On ne conteste pas les fondements de la justice » et cite des maximes de Balzac et de Beaumarchais.

Ce que Jean-Louis Debré ignore, c'est que justement, l'histoire, qu'elle soit de la république ou autre, s'écrit au quotidien. Et l'actualité, depuis longtemps fait apparaître que la justice, non seulement n'est pas exempte d'injustice, mais fait nouveau, qu 'elle est non seulement contestée mais contestable. Et il y a des murs sur lesquels elle l'a proprement signifié pour qu'il en soit ainsi.

Première remarque, personne n'évoque le respect du citoyen, a fortiori de la démocratie. Mais tous évoquent la république et les institutions, le régime et les lois ;

Président normal

Mais c'est vite oublier les affirmations de François Hollande, non seulement citoyen ordinaire, mais président normal !

François Hollande revendique d'assurer une présidence normale et consacre l'anaphore constituée des cinq mots « Moi président de la République », une litanie enfantine dont chacun des engagements peut être vérifié dans les deux années qui ont suivies.

Et le retour en arrière dans le temps, le « flash-back » peut se poursuivre …

À la question « Quel président comptez-vous être ? », de Laurence Ferrari, journaliste à TF1, François Hollande répond :

« Je veux être un président qui d’abord respecte les Français, qui les considère. Un président qui ne veut pas être président de tout, chef de tout et en définitive responsable de rien. ».

Ni respectueux, ni responsable, les mots sont hors de l'aveu, ils sont d'affirmation.

Si le président actuel ne préside rien, il aura tout fait pour faire endosser sa normalité par les autres, tous les Français et le leur faire payer très cher sa normalisation.

Ce qui paraît normal est de n'agir sur rien et de présider finalement qu'en présence ; une présence que les Français commencent à trouver, ainsi que celle de son prédécesseur, pour le moins encombrante et gênante.

Le Bashing répond au bashing

Comparé à un nouveau dictateur

@ agoravox.fr

Rudoyé comme une Tête de mort

@ delirius

De fait nous ne savons plus vraiment qui a commencé. Rechercher la cause, l'origine ou la source ne servent qu'à ajouter de l'huile sur un feu déjà suffisamment allumé.

Le débat, la polémique ou plus exactement la solution est de comprendre qu'il devient nécessaire de réformer le statut de la présidence.

Personne ne désire cette dernière alternative, car cette troisième voie échappe à la plupart, inscrit dans la contemplation béate de la tradition républicaine. Et c'est aussi la plus difficile à mettre en place.

Le bashing s'est ouvert et s'est porté des membres de la majorité et de l’opposition, des rangs du gouvernement et des assemblées vers les fenêtres ouvertes des réseaux sociaux. Et la vindicte populaire, hier presque discrète et jugulée, croît et s'accroît, de jour en jour, faisant vaciller les idées toutes faites.

Nous pouvons nous féliciter que même déformée, l'information passe, relayée par la Presse et Internet. Que nous comprenions bien, l'évolution va vers le plus direct. Les moyens d'information le facilitent et un processus de démocratie directe, complétant et se substituant à la démocratie représentative, est entamé. Le numérique a cessé d'être une simple réalité binaire. Si nous sommes en France, très loin de l'avoir assimilé, le monde qui nous entoure ne cesse d'en montrer les développements contre lesquels il serait illusoire de se réfugier ou d'y être étranger.

INTEGRALITÉ DE L'INTERVIEW DU 23ÈME PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE - mercredi 2 juillet 2014

Nous sommes témoins et nous apporterons notre témoignage.

Vous nous le demandez, sans partialité, nous soutiendrons non seulement ce qui est juste, mais ce qui peut faire grandir la France.

@OppEUROPE

LE MOMENT EST VENU DE FAIRE TAIRE

La Bataille continue. L'ennemie, nous le savons, est multiforme. Alzheimer, Sida, Narcolepsie, Cancer et Frigidité à la fois, nous en oublions encore, car tout son système déraille.

L'idylle animalière rompue
@ les2vaches.com

Elle avait été capable du meilleur ... il est inscrite aussi dans le pire.

Pression d'une minorité, culture de la soumission, syndicalisme extrémiste, preneurs d'otages par moyen de transport, dictateurs du pourrissement et de la pourriture, terroriste syndical, hâbleurs de la grève reconduite, syndrome d’enclavement parisien, les termes sont installés pour être percutés, comme autant d'explosifs à retardement.

Elle est devenue le service public qui hait toute forme de présence de personnes privées.

Elle s'immobilise et gangrène plus que tout autre service controversé de l’État. Elle ronge le pays de l'intérieur. Tous les français hésitent à réparer sa saleté, chasser les drogués installés dans les wagons de tête, …, aller dans ses toilettes où il devient impossible de vomir.

Que nous importe ; nous avons décidé de fuir à la prochaine station. Qu'elle se suicide !

Entraînée par le dynamitage de l'expression démocratique, par l'usage du terrorisme syndical, par l'abus de privilèges accumulé sur les voies, par l'édification de lignes de front établies contre la liberté de circuler sur terre, sous-terre et sur route, elle voit son dernier achèvement.

Elle va se taire. Nous retrouverons le silence et bientôt d'autres transports. Alors nous pourrons laisser dans de nouveaux kiosques les histoires heureuses et d'amours.

MAIN BASSE SUR LES RÉGIONS ou RÉGIONALISME POLITIQUE [ découpage III ]

Réduction

La réduction la plus importante n'est pas de nous inviter à faire comme il l'entend.

C'est de faire comme il l'entend sans même nous y inviter.

De fait, paralyser une réforme , c'est communiquer que le changement se fera avant tout sans accord ni débat. En cela nous pouvons dire que l'actuel pouvoir est d'excellence.

Le président a voix au chapitre pour ce qui est national. En région ou localement, le peuple français lui a signifié qu'il n'a ni bon accueil ni même légitimité. Quelque part l'enjeu de la Réforme des régions se transforme en Reconquête du pouvoir. La majorité autant que l'opposition, ne se prive de critiques.




Or pour François Hollande, ce n'est ni un déni, ni une réalité.

La deuxième réduction est d'évidence pour tous. Que cela soit un redécoupage, une fusion, etc. une réorganisation s'impose.

Le choix d'un découpage du nombre des régions de 22 ou ramené à 14 reste surprenant. La théorie des jeux aurait suggéré de prendre un nombre impair, 23 ou 21, 15 ou 13 afin d'éviter d'éviter la parité du 50 / 50, celle-là même dans laquelle nous sommes engagés dans tous les scrutins, qu'ils soient présidentiels ou législatifs.

La cuisine dans le grand chaudron

L'idée commune et assez répandue est de substituer à une quantité donnée de petites unités une plus grande qui assurerait les mêmes fonctions ; elle permettrait de réaliser des économies.

Nous pourrions ainsi nous débarrasser de vieilles casseroles usagées, de cuisiniers qui n'auraient plus de raison d'exercer, de plats qui ne figurerait plus sur la liste de nos menus ...

Nous pensons notamment aux services de l'administration, d'éducation, des transports, de communication, de société ou sociaux …

C'est une illusion de croire que non seulement cela peut être mis en place aisément mais surtout de penser que sa réalisation est facile.

Contrairement aux idées reçues et l’État en fournit un bel exemple, plus la centralisation ou le regroupement est effectif, moins chacune des personnes est soucieuse de la bonne gestion. En effet, chacun espère mettre dans un pot commun autant tout en espérant y récupérer plus. Ce qui accroît la consommation et développe le gaspillage.

Découper les chandelles

Les « doublons », qu'ils existent au niveau supérieur ou inférieur, résultent de l'entendement que nous avons à poursuivre, par cette alimentation générale et globale, une volonté d'alimenter la même population, toujours aussi communautaire, disparate et, plurielle.
Ces particularités ou particularismes, selon que l'une ou l'autre politique veulent bien la signifier clairement sont celles de l'intégration (immigration), du confort de vie (santé), etc. dont nous avons sur le « territoire » national, régional, départemental, communal, local ou surtout privé des vues différentes sinon antagonistes.

La vision est limpide. Elle mérite d'être relatée avec justesse : « c'est diviser pour mieux régner ».

Cet esprit de réforme qui ne peut l'avouer mais qui poursuit toujours sa politique d'hégémonie nationaliste, d'une prétendue social-démocratie, se voudrait de diluer, d'absorber ou de transférer les compétences privées ou locales, (les plus efficaces et les moins dispendieuses puisqu'elles sont les seules à enrichir) aux départements, aux régions, ... à l’État.

Manuel Valls, la voix de son maître l'annonce : « Il faut des régions plus fortes pour rendre notre pays plus fort », sous-entendus nous rendre forts, nous qui sommes affaiblis.

Ce n'est pas de la gestion ni de la politique, c'est de la propagande.

1er ministre ou chancellier ?

Nous recevons ce prosélytisme militant pour ce qu'il est.



Nous avons pour seul souci d'augmenter la liberté, d'améliorer la démocratie. Ce qui s'oppose à l'intoxication et au slogan, c'est notre conviction, c'est notre vœu pour tous.

MAIN BASSE SUR LES RÉGIONS ou LE RÉGIONALISME POLITIQUE [ découpage I ]

LA RÉFORME TERRITORIALE ?


Les quatre principes évidents, normaux et hollandiens (tri-pléonasme) :

1. construire son projet – le « Je préside donc je suis »
2. être totalement autonome – le « C'est moi 15 fois présidents »
3. respecter le délai – le « rêve socialiste est un mythe errant »
4. écrire le récit de son aventure – le « après-moi le déluge »

Les observations que le normal François n'a pas faites :

  • 6 sommets de l'hexagone,
  • 9 diagonales de France,
  • 2 triangles
  • et 3 diamétrales


La France est imparfaite ; « avec moi, elle peut ne plus l'être ! » ( à répéter dix à quinze fois lentement afin de s'en convaincre et d'avoir une parfaite allocution)

Comment réduire les neuf diagonales de l'hexagone de France ? Quelques relevés :

1 - BREST – MENTON 1.400 km
2 - DUNKERQUE – PERPIGNAN 1.190 km
3 - DUNKERQUE – MENTON 1.190 km
4 - STRASBOURG – HENDAYE 1.170 km
5 - BREST – PERPIGNAN 1.060 km
6 - BREST – STRASBOURG 1.050 km
7 - DUNKERQUE – HENDAYE 1.050 km
8 - HENDAYE – MENTON 940 km
9 - STRASBOURG – PERPIGNAN 940 km

Il faut tenir compte des 6 diagonales européennes, les Euro diagonales ( C'est Angela Merkel qui le lui a glissé à l'oreille mais le normal François n'en a cure ) :

1 - PERPIGNAN – MALAGA 1.265 km
2 - BREST – INVERNESS 1.190 km
3 - MENTON – BARI 1.190 km
4 - HENDAYE – LISBONNE 1.170 km
5 - STRASBOURG – BUDAPEST 1.150 km
6 - DUNKERQUE – COPENHAGUE 1.075 km

Les arguments du « pouvoir central », l'idéologie du régionalisme

1. simplifier le mille-feuille administratif de la France,
2. réaliser 10 milliards d'économies d'ici 5 à 10 ans (André Vallini),
3. réduire de 22 à 14 le nombre des régions,
4. supprimer les conseils généraux en 2020. (270 000 agents des conseils généraux),
5. transférer les compétences et les fonctionnaires des départements,
6. renforcer le pays : «Il faut des régions plus fortes pour rendre notre pays plus fort» (Manuel Valls),
7. défendre le principe de décentralisation,
8. unifier : l'impératif de «l'unité du pays, l'unité de la nation, la force de la République (Manuel Valls),

9. …ou jouer au puzzle.

10. il allait ajouter : continuer sur la voie démocratique mais il a perdu les voix !

A – La simplification

''« Variété et complexité sont très généralement ressenties comme des obstacles à l'exercice du pouvoir. Dès lors la réaction instinctive consiste à simplifier en réglementant, en normalisant, voire en légiférant. Ceci suppose qu'il est possible d'améliorer une propriété en réduisant ses dimensions. La conséquence est immédiate. C'est alors que la complication est créée par l'introduction toute gratuite de diverses entraves et contraintes bureaucratiques, technocratiques ou idéologiques. En définitive toutes tentatives visant à réduire la variété pour faciliter le transfert des connaissances sont absolument vaines, parce que variété et complexité sont des propriétés du système des sciences et de la communication. Une analogie plus concrète fait comprendre tout cela: la beauté d'un tableau, sa propriété essentielle, est-elle respectée dans une reproduction en noir réduite à la dimension d'une page ? »'' (Extrait de LA COMMUNICATION SCIENTIFIQUE – ÉDITION, DOCUMENTATION, INFORMATION page 5 – MB)

Qu'expriment François Hollande et Manuel Valls ?

Non contents d'avoir montré leur incapacité à gouverner la France par l'application d'un pouvoir centralisé et dépassé électoralement par le peuple français qui ne les soutient plus, ils espèrent retrouver pouvoir en remaniant les régions. Curieusement personne n'évoque les Territoires d'outre-mer (TOM) ; encore un centralisme ou un régionalisme oublieux ?

France joyeuse

@ asapfrance.info










OU France mécontente









B – L'économie d'un expert-comptable certifié Cahuzac ?

L'expert-comptable - L'expert MOINS comptable

@ .lesechos.fr - « Et hop, 5 milliards dans ma fouille ! »

L'exposé de Monsieur André Vallini, Secrétaire d'État à la Réforme territoriale se confond d'imprécision : «  10 milliards d'économies d'ici 5 à 10 ans ».

Y en aura-t-il 5 milliards ou 10 milliards ? Sur 5 ans ou sur 10 ans ?

À estimer ainsi, ne vaudrait-il pas mieux licencier le Secrétaire d'État à la Réforme territoriale et supprimer son poste avant la réforme ? Nous serions au moins certain du résultat !

Le journalisme qui porte l'écrit sans donner la parole

La liberté d'opinion, si elle appartient en tant que droit à la Presse, reste encore bien loin de l'être pour le lecteur, surtout si ce dernier désire contredire ou nuancer des informations ou des propos qu'il estime hors de la réalité objective ou non conforme à son point de vue.

Il règne de fait une censure qu'entretient ce journalisme d'une opinion et non d'opinion. Ce journalisme porte l'écrit à la parole des commentaires ou des réactions qui ne sont ni les plus populaires, ni les plus récents ni même les plus anciens. Il élève la voix de ceux qui portent la sienne, comme pour faire entendre huées de la cohue de l'actualité, d'un instant. Cette Presse se perd dans l'adhésion fugace.

Mais il est hors de son pouvoir plus avant museler ce qui fera l'opinion raisonnée et raisonnable. Car cette dernière attend avant de s'affirmer. Elle cherche sa propre contradiction afin d'entrevoir ce qui est durable et juste. Elle veut que le bon droit aille de son chemin.

Ainsi, ce qui est voulait être écrit là-bas est gravé ici pour qu'elle en témoigne : Presse d'Internet contre presse de papier, déchirée et jetée au feu par ceux qui censurent.

ÉPINGLE AILLEURS CE QUI N'A PU ÊTRE ÉPINGLÉ

FH a du récupéré son costard chez le pressing. Au moins cela fait fonctionner l'économie. Mais du côté des retraités, des gens "normaux", des chefs d'entreprise et de fonctionnaires des catégories B et C, l'auditoire est moins convaincu.

Pour aller de l'avant, il faut du neuf, en particulier dans les projets de démocratie ; et là ce n'est plus que du vieux, voire du délabré. Il faudrait laisser plus de manœuvre aux jeunes et FH ne veut s'y résoudre. Il n'est pas près de faire le buzz en mettant à nu une idée d'envergure parce qu'habillé ou non, il n'en a pas.

Voyez plutôt, rengaines de "redressement", "retournement", "crise", "reprise", "redistribution", "fiscalité", "économies", "croissance", "compétitivité", etc.

Dans cette valse héroïque à vouloir conjurer le mauvais sort et à défier la réalité qui s'obstine, ce qui compte justement, c'est de ne plus être clair, visible et stable car c'est un combat perdu de se dévoiler à ses détracteurs. Si les Français doutent d'eux-mêmes, FH ne croit plus en eux lui-même ! Il ne s'agit plus de parier sur quoique ce soit, il faut oser sur ce qui a toujours fonctionné : déléguer, donner liberté d'agir et s'effacer devant la réussite. FH est hors de ce propos démocratique. Alors il faudra que les Français se résolvent à le voir nous quitter avec moins de résultats, c'est-à-dire plus d'échecs.

Texte soumis à "voet_Oo", puis demandé à être épinglé sur l'écran du JDD http://www.lejdd.fr/Politique/Hollande-Le-retournement-economique-arrive-664594 code sécurité 482e8k

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