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UNE FRATERNITÉ EMPRUNTÉE DE PARADOXE

Le vol AF 30716

« C'est en prenant de la hauteur que le meilleur des aéronefs peut achever la course vers sa destination », telle serait, non pas la critique, mais le rapport d'incident concernant notre réalité actuelle.

Comme il est supposé, il nous faudra alors ouvrir après recherche la boîte « noire » qui est rouge, comme chacun le sait. Et de tirer les conclusions des informations qui s'y trouveront.



… Une démarche d'anticipation nous permettrait de réduire les victimes avant que l'incident ne survienne.
Il faudrait que nous ayons à cœur d'éviter un décollage afin d'ôter la perspective de l'accident.

Mais le vol AV 30716 a décollé sans que nous ne puissions nous y opposer, ni en mentionnant les carences techniques de l'appareil, ni la décision d'une tour de contrôle aérienne ayant validée la « marche » vers son hypothétique destination, ni même et plus encore en relevant la liste de ses passagers !

Serait-il amoral ou cynique de se préoccuper des Français, des hommes, du « peuple » avant de se soucier du capitaine, du pilote, du président ?
Faudrait-il rendre ou retrouver la dignité pour tous ou pour un seul ?
Pouvons-nous par un seul restaurer la fierté de tous ?

Les couleurs

Que nous ne méprenions pas, le drapeau français possède autant de couleur bleue qu'il y en a de blanche ou de rouge.
Le pouvoir d'en disposer est bien commun et indivisible.
Il figure sur l’appareil qu'il soit à terre ou dans les airs.
C'est le premier « principe paradoxal » qui s'inscrit dans une fraternité arrivant au premier moment à s'adresser exclusivement aux « bleus et aux bancs », les rouges ayant décidé qu'en à eux de faire bande à part et d'éviter de rejoindre la salle d'attente de cet aéroport.
Ces « jacobins » de Versailles, dont nous ignorons et le nom et la source, parce qu'elle serait supposée non fraternelle, s'ils sont mus par autre chose que des pressentiments, auraient cependant à cœur de vouloir simplement sauvegarder leurs propres existences.
« Ils n'appréciaient pas cet aréopage ».

Le rassemblement

Une caractéristique propre au vol AF 30716, faudra-t-il le rappeler, était que l'appareil s'était montré trop petit pour l'embarquement de tous les passagers qui s'étaient inscrits à ce vol.

Le « principe de rassemblement » en fonctionnement, plutôt qu'en marche, voulut qu'il fut décidé de réduire le nombre des personnes qui finalement montèrent dans l'appareil.

Ceux qui restèrent à l'aéroport surent-ils jamais pour qu'elle raison exacte « échappèrent-ils » à cet embarquement ?
Tout au moins, longtemps après, purent-ils avoir quelques réminiscences sur les circonstances de cette fâcheuse exclusion qui avaient conservé la liberté de leurs vies.

Curieux et paradoxal principe que celui de rassembler et d'annoncer qu'il faille débarquer certains qui s'étaient ralliés à l'union de ce rassemblement !

L'aéroport

Alors qu'il existait des infrastructures suffisamment grandes pour accueillir les théoriques passagers qui auraient du se joindre et se rejoindre dans le présupposé aéroport CDG Roissy - Charles de Gaulle dénommé pouvoir donner un accès direct, tel qu'en indiquent les règles et usages prescrits par les instances aéronautiques, la salle d'attente fut choisie ailleurs.

Ainsi, s'il y avait une « primaire révolution », elle aurait lieu non sur la place qui pouvait offrir liberté à tous d'entendre et de mesurer, mais au Château, lieu où il fallait applaudir en écoutant sans murmurer.

Que chacun se dise qu'il faudra encore du temps avant que le « peuple » sache, puisqu'il faut un jour connaître, que la nature historique se dévoile déjà en cet événement tragique.

Oui, pour des évidences existentielles et même fraternelles, nous pouvons nous passer de geste de présidence ; nous pouvions nous attendre à quelque chose de fraternel.
Nous sommes déçus pour les uns, sinon révoltés déjà pour ceux qui ont bénéficié de cet ostracisme de circonstance.

Tout resta bel et bien hors de la fraternité ; tout respecta correctement en fond et forme le présidentialisme.

Il nous fallait « en plus passer » par une grandiose et nouvelle médiocrité ... celle de vouloir nous éduquer ou nous former aux truismes et vérités que nous connaissions.

Est-ce en cela que se résume la Liberté, l'Égalité, la Fraternité ?

Réellement, ce fut pour certains d'accepter de prendre un vol dont ils ignoraient où il allait et « d'où ils ne reviendraient pas » !

Mis à jour le 10 juillet 2017

LE JEU DES TUXEDOS VOUS ENFUME

SMOKINGS KILL

SELON LA DROITE ET LE CENTRE, DE QUOI EST-IL QUESTION ?

Les primaires « de la droite et du centre », notez bien l'ordre de l'écriture, seraient des élections de nature à sélectionner un candidat le plus à même de représenter l'observance à une « Charte de l'alternance ».

Pourquoi une alternance, quelle alternance, dans quel but ?
En cela, cette Charte n'apporte pas de clarté car elle en dit peu :

« afin de réussir le redressement de la France »

Ce qui suppose :


  • qu'il faille corriger la politique actuelle,
  • qu'il faille majorer quelque chose,
  • qu'il faille rééduquer certaines personnes
  • ou qu'il faille hausser ou relever le pays.

À ces interrogations répondent en fait des commentaires qui ne sont en aucun cas novateurs parce qu'ils sont de tous les temps et toujours vrais !

Une seule certitude, c'est que cette Charte affirme qu'il existe un centre plus à droite que la droite.

Par ailleurs il est spécifié de s'engager et de participer aux « valeurs républicaines » de cet hypothétique centre, décentré ainsi qu'il est indiqué.

D'une absence encore plus significative que celle d'un redressement, est l'omission de la mention d'une quelconque de ces valeurs. Elles ne figurent pas dans cette Charte. Ces valeurs sont donc implicites.

Cela conduit l'électeur qui « s'engage à participer » à donner son accord ou quitus à un ensemble régi sous une Haute Autorité.

Nous pouvons nous interroger longuement sur la composition des membres de cette Haute autorité, mentionnée 33 fois dans cette Charte, sans qu'il n'apparaisse ni de qui elle émane ni un nom suffisamment défini : haute autorité, de qui, de quoi ?

De la primaire, de l'élection présidentielle, de la « droite et du centre » ? …

Cette Haute autorité aurait-elle plus d'autorité que celle de l'électeur ayant autorité à voter ?

L’Évangile au cœur de la politique [FR]

Réf. : Jn 5,31-47

S'il est un texte au cœur de la pensée chrétienne, il l'est nécessairement dans le discours laïque.

En témoigne le texte de l’Évangile d'aujourd'hui qui met en pleine lumière, dans le cadre d'une route qui a pour but de parfaire l'objectif fixé, le premier moyen pour y parvenir.

Si les politiques répètent sans arrêt qu'ils œuvrent pour améliorer le sort des hommes qu'ils représentent, ils seront sensibles à ce qui est un conseil de nécessité : faire en sorte que ce qu'ils disent et écrivent se traduisent en actes.

Ainsi, loin de les accuser, ni sur le bien fondé de leurs projets, ni même sur les moyens qu'ils emploient pour y parvenir, nous serions, premiers laïcs dans notre cœur, assez heureux qu'ils se confortent à cette maxime.

L'ÉPREUVE D'UN QUINQUENNAT

QUELQUES IMAGES MOIS PAR MOIS :



@ gentside             @ Reuters              @ Sipa                   @ AFP


@ SIPA                  @ meltybuzz          @ AFP                     @ AFP


@ Reuters              @ media.melty       @ Reuters              @ Sipa

UN SENTIMENT LARGEMENT PARTAGÉ :

Nous nous garderons bien de fêter cet anniversaire ; il est en effet des dates

que nous préférons oublier. Pour notre part, nous attendons la fin ... Plus que

quatre ans.

Dur, dur !

LES DÉCLARATIONS DE PATRIMOINE

Nous nous étendrons peu sur les justifications politiques ayant déclenchées cette pratique jusqu'alors inédite de la transparence des membres responsables de la conduite politique de la France. Une analyse plus conséquente viendrait en expliquer en détails et les tenants et les aboutissants – ( Cf. accès aux déclarations de patrimoine des membres du gouvernement ).

Nous retiendrons cependant que d'une manière administrative et peu ordinaire, peu méthodologique ces déclarations ne sont pas remplies sur un modèle CERFA déterminé.

Nous déplorons que François Hollande, pourtant « élu des élus » échappe à ce dispositif.

Par ailleurs et de façon significative, Jérôme Cahuzac, ministre sortant est absent de cette liste. En définitive à qui profite le crime ? Or c'est très justement sur cette affaire que les Français auraient désiré obtenir toute clarté.

De fait, nous obtenons ce que nous savions déjà, quelle est cette transparence accrue, quel est le changement maintenant ?

Photo A - La France possède un drapeau
AVANT - Jérôme Cahuzac fait partie du gouvernement - La France possède un drapeau @ Le Télégramme

Photo B - Jérôme Cahuzac est parti, la France obtient un drapeau de plus
APRÈS - La France possède deux drapeaux et rejoint « dignement » l'Europe @ Le Parisien


OPPOSITION EUROPÉENNE

L'HISTOIRE RETIENDRA QUE VOUS VIOLEZ LE DROIT, L'HISTOIRE ET LA LIBERTÉ

Portrait d'un Garde des Sceaux, Madame Christiane Taubira

Dans les années 1970, vous étiez indépendantiste et vous pratiquiez un militantisme actif pour l'autonomie de la Guyane. Était-ce œuvrer pour la France ?

Le 10 mai 2001 était adoptée la loi dite Taubira, promulguée le 21 mai suivant. Sur le plan du droit, cette loi transgresse les articles 34 et 37 de la Constitution. Le premier énumère les champs de compétence du Parlement et le second stipule que tout ce qui n’est pas expressément mentionné dans l’article 34 est interdit au pouvoir législatif.

Au-delà de vos interprétations gouvernementales et personnelles qui sont des mensonges, votre but ainsi que celui du gouvernement est d'imposer une vision tyrannique, une dictature de la pensée où l'étatisation de l'histoire et les modifications du Code civil sont les prémices.

Avec le gouvernement Ayrault, vous récidivez aujourd'hui avec le « Mariage pour Tous » dans un texte peu clair aussi bien dans son développement que dans ses répercussions et dans ses résultantes.

- Est-il conséquent de diviser les Français, soucieux en premier lieu des difficultés économiques, de leur logement de leur travail et de leurs conditions de vie en mettant en avant un projet qui concerne une minorité ?

De plus, vous avez initié ce projet sans concertation ni débat. Vous instituez l’arbitraire.

Madame Christiane Taubira, vous narguez certains sénateurs, vous abusez les Français non seulement par vos discours mais simplement parce que les Français ont impossibilité à vous opposer l'exposé de vos propres contradictions.

La plus évidente en est celle de l'exemple : la réussite du mariage et la pérennité de son consentement. Bien que mère de quatre enfants, vous avez vous-même conclut par le rejet et son achèvement en une répudiation.

Vous vous opposez à la démocratie, à l'égalité et à la justice. Ce ne peut être qualifié de social ni même de socialiste, mais d'une voie circonscrite.

Il existe le Code civil certes mais au-dessus du Code civil, il existe la Loi, bonne, simple et universelle. Celle-là, vous montrez que vous voulez l'ignorer.

Vous enfermez la France dans vos conceptions « familiales » et « sociales ». Vous incarnez la prétention de l’État à régenter des secteurs de la vie sociale qui ne doivent pas lui appartenir. Vous vous attaquez aux failles de notre Constitution qui vise précisément à limiter le champ d’intervention de la puissance publique. Mais vous oubliez qu'elle est de l'Esprit des Loix …

Nous comptons et prions les sénateurs épris de Constitutionnalité de contrecarrer les maléfices de votre pensée.

Abdelmalek Boutih s'affirme raciste sur France 2 - Des Paroles et des Actes - commentaire en direct

Très étonnant, cette façon d'affirmer une comparaison entre les islamistes et la présidente du Front national ; car si cette apostrophe ne l'était pas pour Madame Marine Le Pen, elle pourrait l'être au moins pour les islamistes. D'où un racisme avoué envers ces derniers et également envers la représentante du FN.

De plus, deuxième aveu, Monsieur Boutih ( ancien président de SOS Racisme ) n'est pas favorable à un mode de scrutin proportionnel, et n'est donc pas pour une issue plus démocratique de la vie politique. Son unique souhait est d'évincer le FN, parti d'extrême droite.

A la vérité, nous voici confrontés à la difficulté française de vivre en démocratie, celle de tempérer des positions extrêmes, qu'elles soient représentées par le pouvoir installé ou qu'elles soient revendiqués par des partis qui ne le possèdent pas.

D'ailleurs, Monsieur Boutih ne le cache pas, seul le représentant élu et qui possède le pouvoir, aurait selon lui légitimité à diriger la France ! C'est pour le moins présomptueux et de la personne de François Hollande, et du gouvernement qui accompagne la politique de Monsieur Jean-Marc Ayrault, et des socialistes, qui dit-on depuis des mois, annoncent un changement dont nous n'avons vu, pour la majeure partie des français qui regardent leurs fenêtres, celles des télévisions ou celles de leur logis, un changement résumé en des perspectives assombries.

Nous assistons et continuerons d'assister à des exposés où les journalistes font corps avec l'idéologie en place et ne manifestent aucun sens critique. Il n'y aurait rien à améliorer dans nos débats politiques !

Il ne peut y exister ni paroles ni actes dans la mesure où déguisée, subsiste la propagande gouvernementale assez mal mise en place sur ce théâtre télévisuel.

Fuyons ces chaînes nationales qui parlent contre la France.

QU'ELLE EST L'OBJECTIVITÉ D'UN POLITOLOGUE ?

Dans un article de Thomas Guénolé concernant les sondages initulé " « Popularité du tandem Hollande/Ayrault en baisse : l'abus des sondages est dangereux » veuillez admirer le titre mais également ses références, la conclusion y est déjà présente et se traduit plus loin par « Il faut donc lire : "entre 37,8 et 44,2% font confiance à François Hollande." En outre, il existe une probabilité de 5% que le véritable résultat soit n’importe où en dehors de cette fourchette, par exemple 29% pour reprendre notre cas. ».

Nous vous rappelons ce que M. François Hollande atteignait dans le contexte du 1er tour des élections présidentielles (Cf. source)



Si la conclusion de notre politologue est exacte, les sondages actuels montrent une baisse de popularité comprise entre 7,44 et 13,84.

Or la différence de résultats entre le 2ème et le 1er tour est de 23,01 (rassemblement des abstentions, blancs ou nuls et non exprimés du 1er tour). Elle a constitué un électorat qui s'est finalement reportée sur le candidat FH au 2ème tour pour lui accorder une majorité de 51,64.

Si nous supposions un moment que la totalité de l'électorat socialiste du 1er tour soit constant, c'est-à-dire que la baisse de popularité de FH se situe en dehors de son électorat du 1er tour, nous obtiendrions des pourcentages théoriques 30,45 et 36,85. De fait la baisse semblerait être plus faible que le politologue a bien voulu l'exprimer.

Mais sur un bilan global, celui de la majorité (… et donc de la légitimité !), cela correspond à un écart compris entre 14,79 et 21,19 et non d'une fourchette de 7,44 à 13,84. C'est pratiquement le double !

D'où vient-elle ? De l'inexactitude de notre supposition et de l'affirmation de Thomas Guénolé. Il existe bien une érosion des sondages qui réside, non seulement dans la baisse d'apport de l'électorat « bascule », constitué entre le 1er et le 2ème tour, mais dans la baisse d'apport d'électorat issus de l'électorat du 1er tour. S'il n'est pas chiffrable, il est probable qu'il se situe dans la même proportion des 1 tiers / deux tiers, véritable boulet de notre système de suffrage universel. Cette érosion serait au minimum comprise entre 4,93 et 7,06.

Finalement un score prévisionnel et théorique de FH au 1er tour d'une élection présidentielle actuelle se situerait entre 21,57 et 23,7.

Dans ces conditions, le résultat au 2ème tour serait hypothétique (M. Nicolas SARKOZY a été battu par un score de 27,18). Ce Qu'il Fallait Démontrer.

« Qui s'élève sera abaissé, qui s'abaisse sera élevé »



Dominique Cuisant

L'ARÈNE DE TOUTE HAINE

En complet gris foncé, sombre ou noir, à la chemise unie blanche, grise ou bleue, parfois rayée, à la cravate unie ou de motif classique pour les hommes, des femmes rares au costume classique principalement gris ou sombre, parfois de couleur, au chemisier qui ferait différence, tels sont les notables bon chic bon genre.

En toute présentation avant de prendre parole ce sont des mots corrects et formels « Mesdames et Messieurs, etc. ».

Puis continuant, apparaissent les exposés de lieux communs, de truismes, d'annonces ou d'informations déjà présentées par les médias et enfin, parfois, une question que l'interrogateur formule debout, ou interrompu dans son bavardage, et se rassied attendant une réponse éventuelle. Pendant ce discours souvent emporté, avec de grands gestes, fanatique, tout cet aréopage brasse l'air à grands cris et feuilles de papier.

Et il faut attendre longtemps, parfois un jour ou deux, que l'air vicié retombe, et qu'enfin, après le passage salutaire du personnel de ménage, les techniciens des gradins et des hautes colonnes aient fait leurs basses et hautes œuvres, pour que revienne le silence.

Serait-ce un établissement de fermage au fumier putride, une courette de matamores médisants, un cirque où les loups valent leur lice ?

Serait-ce une casse détruisant la régression instantanée, une fonderie performante de révocations, une distillerie aux filtres et paroles assassines ?

Serait-ce une confrérie profane et satanique, une clinique de fous libres et extatiques, une taverne nocturne de gueulards ignorants et hétéroclites, brailleurs éthyliques, hurlants des « contre pour » ?

Serait-ce une cave receleuse, de violeurs et de brigands, une échappée d'adultes immatures, meurtriers de leur institutrice ?

Serait-ce un établissement de faux blanchiment monétaire, une alcôve d'impasse, une coterie de conspirateurs à l'alchimie illicite ?

… ?

Oui, ce pourrait bien être tout ceci à la fois, une pinacle pointue, une bastide à demi-fermée, une prytanée ressemblant à un hémicycle dont elle aurait perdu toute vertu.

Serait-il temps de rattraper par quelques règles ou quelques moyens ce qui est « dissolu » ?

Ce serait la « démagogie nationale ». Alors nous pourrions craindre que le peuple n'entendraient plus :

« Chers députés, Monsieur le ministre de xxx, ... Monsieur le président » …

L_ARENE_DE_TOUTE_HAINE_450x260.jpg

Ce serait la rue au lieu du cénacle… Et, après quelques fracas, s'édifierait alors la place dite de « Bourbonne ».

Y aurait-il eu à regretter, si elle n'avait eu dessein d'être qu'une autre place, sans avoir été pour le peuple une citadelle ???

Éléonora Ducale

LA DYNAMIQUE OU THÉORIE DES SYSTÈMES POLITIQUES – ALÉA

Pour des raisons indépendantes de notre souhait, nous n'avions pas été en mesure de poster cet article rédigé pour vos soins le 6 mai 2012 à 7h41, veuillez en trouver copie :

LA DYNAMIQUE OU THÉORIE DES SYSTÈMES POLITIQUES – ALÉA

OE se doit d'expliquer l'analyse de cette campagne politique présidentielle en y apportant une vue de dernière heure, avant les résultats eux-mêmes. Et par là même de justifier son engagement qui est hors de la prise de partie mais simplement dans sa volonté à être dans le bon sens, quelque soit l'issue plus ou moins contradictoire de la situation.

Le président candidat Sarkozy a indiqué lors d'un de ces derniers propos que ce scrutin n'est pas un jeu. C'est exact dans l'acceptation première et la plus communément utilisée d'amusement, de divertissement encore que pour beaucoup d'entre nous, il y ait dans ce petit aspect un caractère ludique, un plaisir vrai et véritable d'observer et de participer à ce moment « démocratique ».

La théorie des jeux, qui a notre sens est plus intéressante, car elle est une approche plus scientifique , plus globale et enfin plus exacte car elle permet d'analyser le système de règles dont l'enjeu est un succès ou un échec, un gain ou une perte situé dans un contexte aléatoire.

Dans la perspective d'une donne qui s'affiche « au plus près » des 50/50, c'est -à-dire dans un contexte où existe effectivement un aléa « démontré par les sondages », le but du jeu, en admettant et en respectant les règles, est d'en sortir gagnant quelque soit l'aléa.

Dans tous les jeux, de toutes natures, qu'ils soient établis ou non et proches d'un contexte aléatoire, beaucoup de personnes parient en argent ou en engagement, à tort bien plus souvent qu'avec raison, pour leur portefeuille ou leurs connaissances et idées, justement parce qu'il s'agit d'un jeu de hasard. Certains affirment même posséder une martingale qui leur permettrait de s'affranchir de l'aléa et mieux encore d'autres y croient !

La façon la plus sensée d'être toujours GAGNANT est à l'évidence de s'exclure d'un jeu où le hasard est effectif.

De l'examen politique des idées et des points forts de chacun des candidats, bien que nous soyons tentés de nous engager dans le jeu, en prétextant une science cognitive résultante des nombreux paramètres, « données et processus », il est patent que celui-ci est trop proche de l'aléa pour que nous puissions être gagnant à coup sûr. De fait et de bon sens nous préférons, comme nous l'avions expliqué auparavant, rester en dehors du jeu en gardant nos acquis et nous positionner GAGNANT en renforçant de plus et selon nos idées le caractère aléatoire du système.

Ce dernier point mérite un éclaircissement. Messieurs Hollande et Sarkozy n'ont pas validé les règles qui permettraient à notre système politique d'évoluer vers la démocratie. Le seul candidat qui ait présenté un semblant de programme dans cette acceptation, nous parlons de Monsieur François Bayrou ( et pour lequel nous n'avions pas exprimé de suffrage favorable ) a trahi non seulement sa vision politique mais affirme de plus à ses ex-électeurs qu'il prend une position perdante à long terme si François Hollande l'emporte, ce que nous nommons le « paradoxe du joueur ».

Madame Marine Le Pen entre dans le cas d'un système ternaire ( plus difficile à examiner qu'un système binaire ). Nous rejetons ses positions extrêmes. Connait-elle suffisamment la théorie des jeux pour avoir choisi une fin d'élection gagnante ? Nous l'ignorons et mettons ce fait de côté.

Vous comprendrez aisément par cette explication pourquoi nous avons choisi de « jouer » GAGNANT, c'est-à-dire d'entrer dans l'opposition en ayant voté BLANC, car c'est la seule position qui nous permette de conserver nos acquis et d'obtenir quelques crédits à l'avenir. A partir d'aujourd'hui nous entrons dans un contexte qui ne relève plus de l'aléa, qui se définit GAGNANT-GAGNANT.

Addenda ( 14 mai 2012 ) : le vote était de faire en sorte que la démocratie soit "perpétuée", si vous pouvez nous accorder cet adjectif osé. Nous assumons le choix "d'avoir, selon certaines opinions favorisé", par vote BLANC, l'abstention qui est reconnue indifférenciée dans notre système, et qui profite de fait au "vainqueur". Il est de notre devoir de parfaire ce système et que le VOTE BLANC figure AUTREMENT qu'une abstention.

VOUS ÊTES HORS SUJET ; DÉBAT, DE QUI VOUS MOQUEZ-VOUS ?

Candidats, journalistes, Français, la démocratie est-elle sujet d'importance ?

Vous évoquez une modification des élections locales mais à aucun moment vous ne suggérez que notre système soit remanié. Il peut bien l'être pour ceux qui sont le plus étrangers, étrange paradoxe à souhaiter que le monde évolue ailleurs et reste identique en nos frontières !

Le système démocratique français est pour vous la panacée. Pensez-vous ! Des candidats qui se prennent pour des monarques, la mise en scène d'un débat burlesque, une salle préparée pour eux et un tapis rouge déroulé à leurs pieds, voilà l'image de la plus évoluée des démocraties !!! Ces candidats-là sont incompétents à faire évoluer la France, ici et maintenant, fortement ou en quelconque expression ; ils n'ont du peuple qu'ils ont ou qu'ils entendent gouverner qu'un suffrage tronqué. Mieux, ils en sont INSCONSCIENTS ou SANS COURAGE A DÉNONCER LES FAITS. Ce sont des profiteurs, ils sont les prévaricateurs de la République.

Les journalistes se prêtent au jeu en évitant de poser la réelle question : « si tout cela fonctionne mal, c'est qu'il existe un problème ». Non point, cette intelligentsia-là a cessé de réfléchir, de voir, d'écrire car ce qui est important à ses yeux, c'est d'être placée près du pouvoir en place, aveuglée par les palais brillants des monarques de pacotille ! Est-il Louis XIV, est-il Bonaparte ?

La page est tournée et la petite histoire se poursuit sans que personne ne songe au futur qui s'annonce. Le peuple français va voter à nouveau et invalider ce qu'il vota hier !!!

Laissez hors des urnes Monsieur Hollande, sortez le président Sarkozy, licenciez-nous David Pujadas, pro-clameur d'une France 2, allez remettre en formation de pigiste à TF1 Madame Laurence Ferrari.... S'ils ont tous compris leurs différents stages et dans la facilité de n'être jamais chômeurs, ils n'ont de leurs métiers qu'une idée contrefaite, sans l'esprit de gravir l'âpre cime, sans s'interroger et imaginer un instant que nous puissions faire autrement.

NOUS FERONS AUTREMENT, ils passeront, la DÉMOCRATIE IRA DE SON PAS.

SPÉCIAL ÉLECTIONS – LE VOTE BLANC

VOTER BLANC est un devoir, c'est aussi un droit. N'ayant pas trouvé de méthode suffisamment complète et explicite, nous vous proposons la nôtre.

Vous allez exprimer votre suffrage par un VOTE BLANC, comment le traduire et l'exprimer en toute légalité :

Inscrit(e) sur les listes électorales, vous allez voter normalement. Vous avez choisi de voter sans procuration. Vous estimez pouvoir intellectuellement voter en vous déplaçant. Vous êtes à même de retrouver votre carte d'identité et votre carte d'électeur.

PRÉPARATION DU BULLETIN DE VOTE

Vous avez ouvert le courrier qui vous est adressé préalablement. Vous devez normalement recevoir une enveloppe en craft de format moyen avec l'inscription URGENT – ÉLECTIONS.

Elle contient traditionnellement le « résumé du projet du candidat » ( une « belle photographie » accompagnée d'un texte signé et personnalisé et de 3 autres pages avec des affirmations, des chiffres, des couleurs, des promesses, des slogans que vous feuilletez distraitement ou en détail ).
A ces programmes sont jointes les bulletins des différents candidats, mais pas de BULLETIN DE VOTE BLANC.


Bref, une fois de plus, c'est peu clair, vous ne vous y retrouvez pas. Vous ne trouvez pas non plus d'autres façons d'exprimer que vous n'êtes pas d'accord ou que vous avez une défiance sur les règles du scrutin, voire de l'absence de candidat dont l'expression vous conviendrait.

En effet curieusement, nous sommes par droit et par devoir « contraints » d'accepter ces règles, d'avoir à exprimer notre suffrage pour un candidat dont nous rejetons en partie (et moins que les autres candidats ) les options politiques présentées lors de la campagne électorale.

Un vote « du moins pire » en quelque sorte.

Nous ne pouvons en aucune manière signifier notre accord sur les règles.
Pour prendre un exemple, si vous n'acceptez pas de jouer aux cartes selon les règles du Poker, vous pouvez jouer selon celles du Bridge, celles du Rami, etc. ou ne pas jouer du tout ...

RAPPELS : * Si vous glissez un bulletin parmi ceux qui vous sont proposés, vous soutenez en totalité ce candidat et son programme,

  • Si vous vous abstenez de voter, vous n'effectuer pas votre devoir et n'utilisez pas votre droit.
  • Si vous laissez votre enveloppe vide ou que vous y glissiez plusieurs bulletins ou si vous mettez autre chose qu'un des bulletins prévus sur la table à l'entrée du scrutin, votre vote est considéré comme nul,

Autrement dit, si vous votez blanc, cela comptera comme nul et donc est comptabilisé comme abstention.
A cet égard, l'article L.66 du code électoral est très clair. Extrait : "ne doit pas être comptabilisé comme suffrages exprimés les bulletins blancs, les bulletins trouvés dans l'urne sans enveloppe, les enveloppes ne contenant aucun bulletin, les bulletins écrits sur du papier couleur, les bulletins avec des commentaires (...)". Autrement dit, le vote nul est un vote non réglementaire, le vote blanc consiste à mettre un bulletin blanc dans l'enveloppe. Dans les deux cas, le vote est comptabilisé dans l'abstention.

La légitimité d'une majorité absolue « techniquement obligée » ou la légitimité de la contestation ?

C'est au nom du principe que « la démocratie doit pouvoir s'exprimer dans la liberté et la variété de son expression » que nous dénonçons aujourd'hui la contrainte d'avoir à exprimer notre suffrage pour le « moins mauvais » des candidats sur lequel nous sommes individuellement, intimement et personnellement hors de vouloir à apporter crédit, raisonnablement et en conviction car cet accord ne porte que sur une partie restreinte, inférieure à la moitié de son programme politique.

De fait NOUS CONTESTONS la légitimité du scrutin car nous en appelons la LIBERTE DE NOTRE EXPRESSION. « Céder à la pression établie pour le bien commun met en péril l'expression privée »; sans ce stop, nous apporterions caution à la « dictature de la médiocratie », du parti le moins minoritaire promu à la légitimité. Ainsi l'histoire de notre Vème République serait l'aventure des « gouvernements de cohabitation », d'Assemblées majoritaires d'un jour …

Nous aurions à nous y inscrire tel un troupeau perdu qui reste dans un enclos sans chercher de plus verts pâturages ; peste soit de ce développement durable à l'espoir abattu, un linceul, voile où le vent ne souffle plus, sous un ciel contrasté, mer bleus et d'étoiles brillantes qui guident encore nos nuits.

CONFECTION DU BULLETIN BLANC & DES ACCESSOIRES ( Travaux Pratiques ) :

Vous cherchez une feuille vierge et blanche de papier A4 dans votre bureau ou posée sur votre imprimante.

A ) réaliser 4 quarts, c'est-à-dire l'unité

Vous la pliez en deux par la longueur, et insistez de vos ongles en marquant la pliure ; cela donne deux A5. Vous répétez ce pliage, cela donne deux A6.

Si ces deux opérations ont été correctement effectuées, votre feuille de papier A4 est maintenant pliée sous un format de 15 cm (longueur x 10,5 cm (largeur).

B ) obtenir 4 quarts identiques (« et superposables »)

Opération délicate : vous dépliez votre feuille toujours assemblée. Si vous trouvez les pliures insuffisamment marquées, repliez votre feuille autant de fois qu'il est nécessaire tel que décrit à l'étape A. Si vous craignez de déchirer maladroitement, veuillez vous munir de ciseaux afin de découper sans déborder suivant les pliures marquées. Sinon, déchirez selon les pliures et répéter cette action pour obtenir 4 morceaux de papier de format A6.

C ) retenir un quart

Vous mettez précautionneusement un quart sans le froisser dans votre portefeuille. C'est votre BULLETIN BLANC.

Vous rangez les 3 autres quarts restants dans le tiroir de votre bureau ou tout autre moyen à votre convenance. Ils serviront éventuellement pour un autre scrutin (certains candidats ont déjà annoncé qu'ils allaient promouvoir la feuille blanche !)

LES ACCESSOIRES – LA MODE

Un vote blanc est différent d'un vote nul. Voter le dimanche, c'est avoir également le temps de vaquer à nos occupations saines en plus de celle d'aller voter. N'hésitez pas.

S'il est interdit de se couvrir des pieds à la tête en entrant dans un endroit public, il est en revanche autorisé de porter le vêtement que nous désirons. En règle générale, la mode est en avance et nous permet de nous revêtir selon nos goûts et nos moyens.

Ainsi de la tête aux pieds, nous allons examiner et vous suggérer quelques éléments indispensables au masculin au féminin ou mixte :

Le bob blanc : classique des vacances, un peu juste et frais pour la météo prévue en cette fin de semaine, il montrera votre optimisme à espérer des congés réparateurs,

Le casque blanc de chantier, la toque du chef cuisinier, la coiffe équarrisseur, le bonnet de boulanger-patissier, etc. sont à déconseiller. Si le travail est tout à fait louable, il est bon, même si vous travaillez le dimanche d'aller exprimer votre vote sans montrer profession. Le maire lui-même revêt-il son écharpe au tiers non colorée ?

Un bonnet de ski blanc à pompon : nous sommes déjà en avril et nous sommes majoritairement en campagne, bien que la partie reste belle en montagne. A utiliser de façon régionale.

Une casquette blanche de golf : peut-être mais sans motif autre qu'une broderie blanche, ton sur ton. Nous nous réclamerions d'un club avec extravagance et d'une boule gagnante !

Un chapeau blanc genre bonnet, chez Christelle Pellicant, pour Mesdames (gardant encore les délicates et subtiles différences, nous ajoutons qui conviennent à Madame ou Mademoiselle sans indiquer d'ordre qui soit autre qu'alphabétique).

Et puisqu'il est une candidate qui passera dans sa discrétion, un chapeau blanc aux larges bords lui permettant de s'éclipser sans que nous lui ayons reproché un moment d'avoir été femme bien qu'elle ne fut pas en nombre proportionnel dans la gente politique représentée.

Un jogging blanc chez Urban Street avec broderie South Pole ton sur ton ; évitez le jogging Narkotic Blanc Gucci veste + pantalon avec motif doré grec tout le long de l'ensemble.

Un beau pull côtelé blanc : chaud, vous en trouvez sur le e-commerce, par exemple chez Grossiste en ligne, pas très cher et de saison,

Si vous possédez un vêtement un peu gris ou jauni :

  • Faites tremper le linge jauni, durant toute une nuit, dans de l’eau chaude à laquelle vous aurez ajouté un demi-flacon d’eau oxygénée à 10 volumes.
  • L’eau ammoniaquée fait des merveilles sur les taches de transpiration des vêtements blancs.
  • Le jus de citron ou le vinaigre d’alcool, mis directement dans l’eau, ont bonne presse aussi.
  • Les coquilles d’œufs, lavées, écrasées et nouées dans une serviette de table, et placées dans la machine, en même temps que le linge blanc.
  • le linge blanc, étendu un soir de pleine lune, est plus blanc le lendemain matin. Vous vous y prenez un peu tard, la prochaine aura lieu le 6 mai à 3h35 utc.

un torchon : le port du torchon blanc se fait en écharpe, à la boutonnière, au bras, à la cuisse,.. idéal, pas cher et de circonstance, il pourra toujours vous rendre service pour un autre usage. C'est encore un bon investissement ; son prix minimum est de 2 € soit plus de 1.300 d'anciens Francs.

A l'évidence, nous l'aurions utilisé plus tôt, cela nous aurait moins coûté. A choisir des candidats qui travaillent pour gagner plus, c'est dans l'ordre des choses qu'il faille les payer plus. Il est vrai que cet enseignement ne nous a pas été sous cette forme mais sous la « nouvelle école », déjà réformée.

Chaussure blanche : complément alternatif du torchon, le coup de pied signifie et anticipe le coup de torchon. Pour les femmes de bottines Santa Fé blanche sans franges chez Céline Country Style ; pour les hommes des bottes 6 Winch Timberland blanches (actuellement en réduction de 50%). Avec un port aisé et vigoureux, elles permettront d'éviter toutes blessures. C'est le pied ! Soyez discret(e)s dans votre approche, évitez de battre des talons, de montrer impatience même si vous avez de la famille dans le noble service qui défend les vies.

Montre, sac, bijoux : évitez toute ostentation, tout signe extérieur d'une richesse que vous avez peut-être encore et que vous allez très probablement perdre, à moins que votre choix de vote blanc soit d'une écrasante majorité ; mais les gens sont grégaires ( en évitant de faire citation désormais célèbre ). Ce qui vous différencie maintenant, c'est que vous êtes d'une autre expression, la vôtre.

Soyez-vous même, innovez. Montrez à quel point il est possible avec du blanc de varier ce qui nous semble aujourd'hui de bleu et de rouge, couleurs délavées ou soutenues, hors de celles du drapeau que nous avions connu. A proportion elles sont ; ainsi il doit rester ouvert aux vents, en son point cardinal ils soufflent en le faisant flotter haut.

DÉROULEMENT DU VOTE ET DE VOTRE EXPRESSION

''Le vote est un acte personnel et l'électeur doit voter seul. Il doit donc passer seul dans l'isoloir et introduire lui-même son enveloppe dans l'urne. Lorsque ces conditions ne sont pas respectées, il en est fait mention au procès-verbal du bureau de vote. Cela peut conduire à l'annulation des suffrages du bureau de vote en question. Toutefois, les personnes handicapées peuvent avoir besoin de se faire assister physiquement afin d'accomplir leur devoir électoral. C'est pourquoi, le code électoral permet qu'elles se fassent accompagner par un électeur de leur choix. Ce dernier n'est pas obligatoirement du même bureau de vote, ni de la même commune. L'électeur accompagnateur peut lui aussi rentrer dans l'isoloir. Il peut également introduire l'enveloppe dans l'urne à la place de l'électeur qu'il accompagne. Si la personne handicapée ne peut signer elle-même la liste d'émargement, l'électeur qui l'accompagne peut signer à sa place avec la mention manuscrite : « L'électeur ne peut signer lui-même ». Le scrutin se déroule de 8 heures à 18 heures mais il peut être avancé ou retardé par arrêté préfectoral. Ainsi, dans les grandes villes il est souvent clos à 20 heures. Pour voter, l'électeur doit être inscrit sur la liste électorale du bureau de vote où il se présente. Dans les communes de moins de 3 500 habitants, il peut voter en présentant sa carte électorale. En revanche, dans les communes de 3 500 habitants et plus, il doit nécessairement présenter une pièce d'identité. Dans toutes les communes, l'absence de carte électorale n'empêche pas de voter, mais elle nécessite des vérifications portant sur le lieu de vote de l'intéressé.''

L'électeur qui a décidé de VOTER BLANC est un électeur responsable et devra faire en sorte de participer au mieux au scrutin, en facilitant son bon déroulement. Il aura donc sur lui sa carte d'identité et sa carte d'électeur.

Vous vous rendrez ainsi au Bureau de vote indiqué par un moyen à votre convenance (à pied, en skate, en patin-à-roulettes (un peu dépassé), en voiture, en transports en commun ou privé) … Ce moment étant un temps de civilité et de sociabilité, il aura à cœur d'être joyeux et courtois ;ainsi l'électeur se montrera discret, réservé et volontaire. Quelque soit le résultat du scrutin, l'électeur est promis à gagner et rejoindre les bancs d'une opposition constructive. C'est ce qu'il désire, c'est ce qu'il veut, c'est ce qu'il va obtenir … Il est serein.

Arrivé au Bureau de vote, sachez qu'il est normalement obligatoire de prendre au moins deux bulletins et une enveloppe sur la table de décharge. Si vous êtes pressé(e), vous pouvez vous abstenir de prendre tous les bulletins présents, piochez au hasard, d'un air détaché. Vous l'êtes. Si vous avez du temps, c'est dimanche, prenez tous les bulletins ; leurs dos pourront servir à griffonner annotation et finir par allumer le feu.

Vous savez insérer un morceau de papier dans une petite enveloppe. Dirigez-vous dans l'isoloir et sortez le BULLETIN BLANC que vous avez préparé. Stockez ceux que vous avez ramassé et même ceux qui trainent. Par habitude les autres électeurs laissent telles des ordures en la nature et au soin des autres de nettoyer le bureau. Vous avez idée de ceux qui sont délaissés sans vote. C'est votre bureau, il est donc bien rangé et laisser place nette.

Allez ensuite vers le bureau même, où se trouve l'urne, où tous les membres siègent : un(e) président(e), au moins deux assesseurs et un(e) secrétaire. Saluez-les civilement car ils font le devoir d'assurer permanence.

L'opération de vote se déroule alors en plusieurs étapes, d'une façon neutre et sans rien ajouter :



''1 - Il se présente devant l'urne où le président du bureau ou son suppléant vérifie son identité en lisant à voix haute la pièce d'identité ou la carte électorale qu'il lui présente.



2 - Le président ou son suppléant constate que l'électeur n'a qu'une enveloppe, mais il ne doit en aucun cas la toucher. L'électeur introduit lui-même l'enveloppe dans l'urne.



3 - Le président ou son suppléant signifie que l'électeur a voté.

4 - Il signe alors la liste d'émargement en face de son nom. La personne chargée de contrôler les émargements se trouve généralement à côté de l'urne afin de faciliter les opérations de vote. Si un électeur n'est pas en mesure de signer lui-même, un électeur de son choix peut signer pour lui avec la mention manuscrite : " l'électeur ne peut signer lui-même ". Si un électeur qui a voté, refuse de signer, c'est la personne chargée du contrôle des émargements qui signera à sa place. Il en sera porté mention sur le procès-verbal des opérations de vote et il sera indiqué les noms des électeurs concernés.



5 - La carte de l'électeur ou son attestation sont rendues à leur détenteur après que l'assesseur a apposé un timbre à la date du scrutin sur l'emplacement prévu à cet effet. Ce timbre n'est pas apposé si l'électeur n'a pas présenté sa carte électorale.

6 - L'électeur de VOTE BLANC peut alors dire : « J'ai voté pour la Démocratie » et souhaiter bonne journée.

7 - S'il est disponible, l'électeur participera au dépouillement (conseillé).''

QUI A PRIS LA LIBYE LÂCHE LE MALI

Dans l'« État du VERT-ORANGE-ROUGE », le « Soudan français » est abandonné.

@ Mali

Voici donc le résultat tangible de la politique « de soutien tactique » à la Libye. Elle avait été initiée par la présidence française et proposée à l'ONU, soutenue par les États-Unis.

Non seulement cette politique d'action guerrière s'est révélée une entreprise longue et coûteuse, finalement à courte vue. Nous sommes entrain d'adopter une attitude contraire par le désengagement au Mali. Cette errance est doublée d'une méconnaissance complète des peuples habitant ces régions et de la diversité africaine, puis triplée par les dessous-de-papiers d'une immigration clandestine.

Le chaos de la République et de l'État se produit effectivement au Mali, mais il est d'évidence qu'il est aussi chez nous par ceux qui représentent la France.

Nous constatons que les armes circulent, venant alimenter ici et là de nouvelles pétarades meurtrières. Il va falloir nous expliquer « ce jeu », théâtre de « l'arroseur arrosé » et du mépris de notre humanité.

 

NOUS EUROPEENS DE FRANCE

Nous vous rappelons que NOUS EUROPEENS DE FRANCE est une école démocratique ayant pour mission de promouvoir la démocratie d'Europe et de France.

Si vous désirez vous exprimer, nous vous prions de créer votre propre site de référence en gardant "nous europeens de france" avec les séparateurs de votre souhait tels que :

"nous.europeens.de.france" ou "nous_europeenes_de_france", etc. sur les sites payants ou gratuits de votre préférence, sur les domaines que vous pourrez choisir sur Internet.

Que vive la démocratie ; elle est nôtre, elle est vôtre ...

Avec le ou les moteurs de recherche appropriés, vous et nous ferons entendre la voix de "NOUS EUROPEENS DE FRANCE". Qu'il en soit pour l'Europe comme pour la France.

NOUS EUROPEENS DE FRANCE

Nous vous rappelons que NOUS EUROPEENS DE FRANCE est une école démocratique ayant pour mission de promouvoir la démocratie d'Europe et de France.

Si vous désirez vous exprimer, nous vous prions de créer votre propre site de référence en gardant "nous europeens de france" avec les séparateurs de votre souhait tels que :

"nous.europeens.de.france" ou "nous_europeenes_de_france", etc. sur les sites payants ou gratuits de votre préférence, sur les domaines que vous pourrez choisir sur Internet.

Que vive la démocratie ; elle est nôtre, elle est vôtre ...

Avec le ou les moteurs de recherche appropriés, vous et nous ferons entendre la voix de "NOUS EUROPEENS DE FRANCE". Qu'il en soit pour l'Europe comme pour la France.

CONSIGNE DE VOTE - ELECTIONS PRESIDENTIELLES 2012

NI BLEU, NI ROUGE, nous appelons à voter BLANC.

NOUS SOMMES POUR LA DEMOCRATIE.

Or ce mode de scrutin ainsi que les règles et usages actuels sont anti-démocratiques. Nous en dénonçons le fonctionnement.

Nous serons donc, à l'issue des élections présidentielles dans une OPPOSITION CONSTRUCTIVE.



Nous nous retirons d'un système où l'inégalité et l'injustice prédominent.

Que ceux qui continuent à l'entretenir en subissent les conséquences ; nous parlons en assurant la responsabilité d'offrir des solutions d'avenir.

Personne ne fera taire le sens de l'histoire. Il a toujours été de réduire la tyrannie, d'améliorer la démocratie pour que les peuples puissent vivre.

Le combat se porte déjà dans les campagnes et dans les pays d'Europe, non plus dans le fracas des armes, mais dans un futur qu'il nous faut construire.

Que ceux qui espèrent en une liberté se rassemblent ; elle réside dans la diversité, dans la multiplicité, dans le partage. Il ne saurait être de "tous pour un" s'il n'est de "un pour tous".
C'est le premier principe de notre politique.

LES ERREMENTS DES POLITIQUES À LA FRANÇAISE

__IL FAIT LA ROUE EN SEINE-MARITIME ; UNE FORCE MIRACULEUSE, UNE POTION MAGIQUE, UNE TROUVAILLE__

Monsieur François HOLLANDE a-t-il jamais fait partie de l'opposition, à demie responsable de la politique française ? D'après ses propos, nous pourrions rester sur cette interrogation ainsi que sur son « J'ACCUSE » les groupes financiers et les banques, « J'ACCUSE » le gouvernement, …

Nous n'accusons pas, NOUS CONSTATONS.

Mis à part Terra Nova - 24 mai 2011 qui suggère une modification du dispositif électoral dès mai 2011, aucun leader de gauche ne se pose la question de la recherche de l'innovation, des grandes réformes à entreprendre dans leur filière, celle de la politique !

La recherche, l'innovation seraient limitées à l'industrie ; point ne serait nécessaire d'en faire en politique ; il suffirait de continuer le baratin et de promettre n'importe quoi, même par une opinion de médisance si elle fonctionne, du moment que la naïveté des électeurs est exploitée avec succès, …, que l'issue d'une élection se montre aléatoirement favorable !!!

Alors confier les affaires du pays à des habitués des comptoirs de café, jouant du PMU ou du LOTO, est-ce bien raisonnable ?

De l'autre côté, Monsieur Nicolas SARKOZY, c'est l'apparition d'une « force » venue d'ailleurs issue d'une machine et du résultat de produits et d'un bilan qui est mis sous silence, dans un mutisme responsable. Nous aurions préféré « faire face » car le pile précédemment évoqué est d'un poids négligeable. Faut-il lui accorder une quelconque importance ? S'il a été incapable de diriger une opposition, serait-il réellemen en mesure de gouverner une majorité ? La question peut être retournée : si vous, présent, président-candidat ou candidat-président, vous avez effectivement gouverné une majorité, êtes-vous encore à même de conduire une opposition ?

Au-delà justement des troquets qui suggèrent l'alternance, c'est une question de fond à laquelle il fallait répondre avant de proposer sa candidature. Il en allait ni de la stratégie ni de la tactique, mais simplement du bon sens. Observer la réalité avec bon sens, c'est justement faire preuve d'autorité, de responsabilité et de travail. Avez-vous dédié quelques instants à l'examen de cette « valeur », le bon sens et de répondre à cette question dans le même esprit ?

GASPILLAGE ET PREVARICATION FRANCAISE

Il ne se passe pas une semaine sans que nous soyons alertés des gaspillages et des manquements à la gestion de l’État (Assemblée nationale, Sénat), des collectivités locales et des ­organismes sociaux. Curieusement rien n'y fait, le personnel politique semble se moquer complètement de l'argent public dans la crise que nous traversons. En conséquence, la confiance que nous pouvons leur accorder tombe au seuil de zéro, se révèle par les propos d'une agressivité justifiée tendant à la révolte et à la volonté de mettre tout ce « beau » monde dehors, sans faire aucune différence.

Il n'y a pas de quoi sonner le tocsin ! Une désinvolture qui fait monter les extrêmes et dont vous favorisez l'expression, et qui va finir, n'en doutez pas, par faire des coupes là où nous, gens raisonnables, nous ne nous attendons pas.

Alors, si vous succombez à la folie de votre attentisme, assurez la responsabilité de votre position. Il est temps d'agir avant votre départ.

Le modèle grec vous indique dans quelle tribulation peut échouer la démocratie ...

BARRE À TRIBORD TOUTE – LE CAS SOSIE* D'UNE DÉROUTE

Nous assistons, avant même qu'il ne se soit présenté candidat aux élections présidentielles de 2012 à une manœuvre à droite. Coup certainement dextre ; est-ce également un coup senestre ? En tout cas la portée traduit un écart fâcheux portant ouverture sur l'autre partie de l'écu. En effet il est contre toute tradition d'ouvrir sa stratégie avant d'entrer en joute. C'est un départ, une démarche ni franche ni loyale, qui si il est tactique, initie un jeu destiné à tromper. Nous verrons les failles d'une réponse prématurée aux primaires dont il fallait justement ignorer l'importance en remettant le challenge dans une balle au centre ...

Sosie : esclave d'Amphitryon dont Jupiter a pris les traits pour lui ravir sa femme Alcmène, Sosie se trouve face à un autre autre Sosie, Mercure, qui lui défend sa porte et le roue de coups pour lui prouver qu'il n'est pas Sosie. Ce dernier en vient à douter de sa propre identité et à reconnaître pour maître le seul qui ne le batte pas, Jupiter déguisé en Amphitryon ( source : Petit Robert 2 - ISBN 2-85036-074-0 ).

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