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RÉFÉRENDUM – LA RÉPONSE EST NON

La démocratie est hors de pouvoir fonctionner sur une consultation au rabais, limitée à un, voire deux ou trois référendums.

La réponse de NOUS LE PEUPLE FRANCAIS EST NON. Nous le Peuple Français souhaitons une modification complète de la démocratie française, ouverture à la démocratie européenne.

De fait et en conséquence, la façon de communiquer, notamment par l'usage d'élections traditionnelles, doit être changée fondamentalement.

C'est la seule méthode pour mettre en adéquation une demande et une offre politique qui est aujourd'hui inexistante. Les systèmes politiques d'ici ou d'ailleurs vont échouer car cette relation est jusqu'à présent biaisée. C'est aux responsables politiques d'avoir le courage de mettre en place petit à petit les jalons concernant la modification du système d'élection.

Nous sommes contraints d'évoluer d'un système démocratique représentatif vers des systèmes démocratiques de plus en plus directs. A défaut c'est la démocratie elle-même qui va périr.

Addenda :

La France est hors d'être totalement de gauche ; de la même façon elle est hors d'être globalement de droite. La France est riche de sa diversité et c'est cette pluralité qui doit être conduite. La France possède le modèle mondial politique le plus complexe à mettre en œuvre. Il est impérieux pour les Français de l'étranger, pour les Français d'Europe comme pour les Français de France que notre système politique sorte de son dysfonctionnement afin de permettre d'ouvrir une nouvelle voie, qui puisse démontrer qu'il est possible de sortir de l'impasse, non seulement en France mais dans les autres pays confrontés à une demande de plus en plus forte d'espérance en la démocratie.

« Nous espérons des peuples frères comme ils espèrent de nous-mêmes ; alors nous devons faire progresser notre démocratie ».

L'ERREUR SE RÉPÈTE - FRANCOIS LE MYTHE ERRANT

Le socialiste français est en dehors de l'utopie. Elle va très probablement redevenir réalité ! Par le jeu d'un système « démocratique » qui affiche ses limites puisqu'il produit les mêmes aberrations.

Nous dénonçons le système plutôt que les individus de tous partis et même de tout fanatisme, d'extrême gauche (s'il en est encore car c'est Monsieur François Mitterrand qui a détruit le parti de Monsieur Marchais), des gauches (ceux-là même qui, roses à la main comme hier se promettaient de raviver la France avant l'Europe), des partis modérés et du centre trop timorés à entamer la poursuite de la vie démocratique, des droites (malhabiles et si patriotes).

Le débat s'il en est un est dans notre cohésion nationale car elle est le ciment d'une plus grande encore, celle de notre appartenance à notre Europe.

Nous espérions que la France indique et participe, économiquement et par son inventivité, par ses travaux, à l'émergence des réponses aux écueils que traversent nos civilisations.

La France choisit de continuer dans l'individualisme qui l'enferme ; d'un phare qu'elle aurait pu être, elle se fait prison dans son propre isolement. Elle reste dans une lutte des classes sans être équipes dans une universalité.

LE FLOC ET LE PLOC DES VALEURS FRANCAISES – BALANCEZ TOUT CE QUI RESTE A LA MER – PREPAREZ LES CANONS !

Ces ou ses valeurs pour la France nous intéressent dans la mesure où elles sont des valeurs françaises, des valeurs de France ou encore des valeurs pour la France, nos valeurs pour notre France ; existe-t-il une notion d'accord, une vision partagée ?

L’expression, le démonstratif « ces » ou le possessif « ses », a fortiori « mes » invitent-ils à une vision collective ? Non, il proclame l'affirmation personnelle, elles suscitent la division, au minimum le débat contradictoire sur des termes - « travail », de « responsabilité » et d'« autorité » - où des plus petits aux plus grands nous sommes très loin d'être en totale concorde. De plus le choix de ces trois termes pour des valeurs, « travail », de « responsabilité » et d' « autorité » est proche du paradoxe parce que ces valeurs sont depuis plusieurs années battues en brèche, érodées, usées justement par ceux qui devaient y travailler : présidents, dirigeants, partis politiques, …, parents, pour un service rempli avec vertu, pour la maîtrise et la souveraineté de notre devenir.

La France connait-elle un chômage au niveau inégalé ? La fonction et l'obligation des élus et des différents services de l’État, exécutif, législatif et judiciaire sortent-ils indemnes d'une phase de crise – action, compétence, changement sont handicapés ou paralysés par des ordres et des contrordres ; « la responsabilité est absente où la décision manque ! ». Là où la démocratie est immobile, seuls les ultras, les extras, les hypers, les supers, les superbes progressent. Cela profite à quelques individus, pas ou peu à la personne et à la société citoyenne. L'autorité même, dans les sens d'expertise, de la stratégie, de la conduire du futur, est-elle encore d'actualité ? Nous nous observons ballotés et exploités par des coups de vent de bâbord à tribord sur un navire mis en panne ; primaire, secondaire, tertiaire, c'est une croissance zéro quasi généralisée.

A la vérité, nous nous moquons profondément de ce que désire faire telle ou telle candidate, tel ou tel candidat. Ce qui s'agit de sauver, ce ne sont pas des valeurs mais le bateau lui-même, c'est-à-dire nous-même. « Nous rejetons amèrement le capitaine qui fait échouer le navire. Il vient un moment avant l'irréparable où il est nécessaire de dresser une chaloupe et de le faire quitter le bord ; équipages, faites votre devoir. ». La politique des baratins, des points de vue, des idées partisanes et même celle des projets, nous en avons assez entendu car nous en avons assez constaté la réalité de leurs inconséquences. Nous sommes hors de la rigueur ; nous sommes promoteurs des actions de conscience, de droiture, d'exactitude et de régularité ; cela paraît similaire mais c'est sans imposer des exigences et des frimas intolérables à l'avancement de notre humanité.

Au poste d'abandon, effectivement, nous entendons à bâbord le cris gauche d'un sous-officier qui s'exclame déjà : « les enfants, les jeunes et les femmes d'abord … ». A tribord y répond : « balancez les coffres chargés d'écus ! ». Mais les gabiers résistent et veulent donner de la toile. Le bâtiment flotte toujours et se trouve hors des récifs. Il y a mieux à faire qu'à obtempérer. Retroussons nos manches ...

Nous allons repasser dans le clan de Monsieur Jospin dont nous avons connu l'échec du mythe enjôleur. Parti rassemblant des forbans de tous bords, faisant couler l'encre bien avant le navire, écumeurs politiciens, flibustiers, naufrageurs, provocateurs de mutinerie, querelleurs, arrogants, insolents, méprisants et agressifs, sabordeurs, ..., ce mouvement s'est exclu lui-même d'une opposition constructive pour être celui consacrant l'opinion de médisance, prêt à stigmatiser un seul mot pour tout couler aux abîmes. Il représente au maximum 1/3 des scrutins exprimés au premier tour pour être très en-deçà des 2/3 au deuxième. Pas de quoi être réellement légitime ! Là subsiste le problème.

Ainsi n'en doutons pas, l'avenir nous destine à nous redéfinir et relever les défis économiques et sociaux que les trois systèmes, occupés à se redécouper le gâteau des pouvoirs auront mal à y octroyer temps et action. Nous sommes les corsaires d'Europe car il nous faut choisir. Nous armons des navires car pour l'Euro, il va falloir ferrailler dur et défendre aux canons.

LE CITOYEN PROTÈGE L'ÉTAT - Une citoyenneté de défense

Nous versons l’impôt sur le revenu ou la taxe d’habitation, la contribution foncière (portant sur tous les terrains), la contribution mobilière (portant sur tous les revenus qui ne sont pas tirés du commerce ou de la terre : rente, industrie), la patente.

En revanche, avec les impôts indirects, comme la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), les droits de douane ou les taxes sur les carburants...

La distinction entre impôts directs et indirects n’est pas aussi nette qu’il y paraît. Ainsi, l’impôt sur les bénéfices des sociétés, considéré comme un impôt direct, est pour partie répercuté sur les prix de vente des entreprises. Les impôts indirects constituent plus de la moitié des recettes fiscales de l’État en France (près de 60 % des recettes fiscales brutes en 2008).

Le Code Général des Impôts (CGI) se perd dans sa méthode de classement tant la liste des contributions directes, indirectes et taxes diverses est impressionnante. De plus, les cas particuliers, les exonérations, les calculs en augmentent la complexité. Retenons simplement que ces contributions et taxes concernent tous les acteurs de notre économie :

CIVIL, COMMERCE, CONCURRENCE, SOCIETES, PROCEDURES COLLECTIVES, CONSOMMATION, TRAVAIL, MARCHES PUBLICS, PROCEDURE PENALE, MONNAIE, SECURITE SOCIALE, ENVIRONNEMENT, POSTES ET TELECOMMUNICATIONS, PROPRIETE INTELLECTUELLE, ROUTE, URBANISME.

Alors contre tout marabout de la politique qui voudrait vous faire croire, des six côtés de l'hexagone, que c'est l'État qui protège le citoyen, faite au moins confiance en notre service des impôts qui vous dira que de mémoire du trésor des contribuables : « c'est le citoyen qui assure le fonctionnement de sa propre protection ».

Conscrit ou circonscrit, il en est ainsi. Celui ou celle qui en est exonéré(e) est hors de payer l'impôt. Il ou elle est également hors du pouvoir ou de la volonté d'assurer la défense, la sécurité de l'État.

Dès lors, par indigence, par fidélité aux lois et aux principes, ce (cette) citoyen(ne) n'apporte aucun crédit aux prévaricateurs de notre république (sic !) ni ne peut soutenir les serviteurs de notre démocratie. Dans ce contexte, il ou elle est neutre.

En conséquence et clairement, la paupérisation de notre peuple français ou européen est une menace à sa sécurité puisqu'elle l'affaiblit.

APPEL A VOTER BLANC

Nous en appelons à une consultation populaire concernant la modification de notre système électoral.

Tant que ce nouveau système électoral N'AURA PAS reçu l'approbation des deux tiers (sous quelque mode de représentativité légale et adoptée), nous maintiendrons notre consigne de vote du bulletin blanc. Implicitement, c'est-à-dire que légitimement, nous pourrons être dans la possibilité numérique d'obtenir une simple majorité (puisque tel est le mode de résultat actuel) et par là-même le pouvoir, par ce seul poids des votes, de faire avancer les changements nécessaires et atteindre préalablement cet objectif extraordinaire et supplémentaire.

De cette façon, nous pourrons retrouver des bases nouvelles et réaffirmées pour l'avenir de notre démocratie.

Tant que nous N'AURONS PAS ces conditions réunies, notre silence voudra dire NON.

« L'oppression est incapable d'apporter un terme à la résistance comme au silence. »

Il est plus que temps …

Europe 1 avant  pendant, NOTRE PHOTO Europe 1 pendant

@Europe1

Nous attendions des mesures d'assainissement depuis plusieurs décennies, cela arrive enfin.

SI nous disons OUI pour un plan de rétablissement, nous disons NON au plan de rétablissement proposé par Monsieur François Fillon.

Il devait comporter des efforts de tous les français. Le plan exposé est hors de ce contexte. De plus il présente des options qui sont des astuces et des malices ; non d'équité, de justice et de vérité.

Les possibilités suivantes s'offrent à nous : soit ramer et se taire, soit s'opposer et ramer à contre courant, soit mettre en panne.

Nous réaffirmons notre OUI et nous nous désolidarisons de cet esquif, de ce radeau pour élaborer notre propre survie.

L'issue du prochain scrutin est déterminée

Les difficultés et les efforts des français doivent être partagés par tous. A-t-il été annoncé que des mesures d'exemple et de responsabilité concerneraient la présidence, le gouvernement, les députés, les sénateurs ? Prisonniers des contingences économique et financières, l'évidence et la nécessité de réformer le système électoral est paradoxalement le dernier projet et sujet à aborder.

La nécessité de faire évoluer le système par un accès plus large à la consultation du peuple a été formulée récemment par une forme primaire ou primitive. Bien que nullement partagée à l'échelle nationale (d'autres pays en fournissent d'autres exemples), elle est trace qu'il faille en faire développer au moins son principe. La difficulté réside maintenant dans l'acceptation de règles et de médias, de moyens techniques qui permettraient de faire varier le mode de consultation, la périodicité, etc.

L'enjeu, s'il dépasse largement le contexte national, peut être envisagé, simulé, mis en œuvre, pour en démontrer au moins son caractère opérationnel à une moindre échelle afin et avant d'en assurer une diffusion et un plus large déploiement. Il est possible de continuer à travailler sur des projets là où l'État se montre défaillant et incompétent pour toutes sortes de raisons. Il est inutile d'analyser en profondeur ces manquements que nous rassemblerons sous le vocable de pauvreté. D'une certaine manière, notre action consiste à apporter des solutions de richesse.

Que justifie fondamentalement cette vision, mis à part le fait que nous soyons dans une impasse ?

Restaurer la diversité et multiplier les aléas afin d'obtenir une issue qui soit effectivement moins déterminée par avance. Il existe donc une certaine cohérence dans cette analyse mais surtout une voie qui puisse s'intégrer dans la démocratie, dans le postulat individuel de l'égalité des chances de chaque individu.

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