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LA NORMALE MANIE D'UNE SARVALSE À LA FRANCAISE – « A qui le toca ? »

François Hollande et les médias font état d'un remaniement ministériel mais qu'en est-il vraiment du « Changement c'est maintenant » ?

Les élections présidentielles-législatives de 2012 avaient clairement indiqué que les votes des Français se prononçaient favorablement pour le départ de Nicolas Sarkozy.

Les élections municipales de mars 2014 traduisent une inversion, un moment où les Français se rendent compte qu'il est nécessaire de signifier qu'ils veulent changer, au moins localement.

Le mot du président

Vous avez dit allocution, c'est un enregistrement !

C'est un des problèmes de François Hollande, il ne veut pas ou il ne sait pas communiquer.
François Hollande parle de sa conviction intime, non de celles des Français.

Il n'analyse pas.

Sa conclusion est qu'il s'agit d'un mécontentement et l'explique par une énumération de faits historiques prêtant à débat sur lesquels il n'a pas eu de responsabilité.
Il se contente de maintenir l' interrogation sur les mesures que son précédent gouvernement auraient entreprises.

Il cite « LE DIALOGUE », mais son propos, dans sa forme et dans le fond sont hors de tout échange.

Je choisis




« J'y suis, j'y reste »



@ lefigaro.fr

L'indécision est parfaite, l'immobilisme, la fuite de responsabilité, c'est exactement de choisir l'option qui remette la balle au centre. L'équation est simple, c'est l'égalité. Pour l'effet de surprise, ce ne peut être que raté. Pour le sens politique c'est mieux encore, il est absent ; c'est un dégagement de toute implication dont il pourrait être le héro. C'est normal, avec François Hollande tout est équivalent. C'est la technocratie hollandienne et il faudra se résoudre à l'entendre de près ou de loin, à couvert ou au grand jour jusqu'au dernier jour de son ou de ses mandats. À qui le tour ? « ¿A qui le toca? »

Le nouveau 1er ministre


Manuel VALLS

Manuel Carlos Valls Galfetti, le français catalan / catholique 13 août 1962 organisé, méthodique, travailleur, et expert en communication


@ cdn-lejdd.ladmedia.fr

Le choix de Valls est une politique du tocard : je remplace mon Ayrault pour relancer la donne quitte à perdre mon dernier pion.

Mais nous ne pouvons traiter ni en politique ni dans la vie ordinaire les hommes, quels qu'ils soient pour se servir d'eux à notre propre profit.

Cela, François Hollande l'oublie comme d'autres l'avaient omis avant lui …

Manuel Valls est un risque parce qu’il n’est pas certain qu’il réussisse à redresser le pays, comme le souhaite François Hollande. Et le pire, c’est qu’il est aussi un risque s’il réussit trop bien ( Les Echos )

Pour rappel : Les médias font écho de comparaison entre le le nouveau premier ministre et l'ancien prsisent. N'hésitez pas à vous y référer.

L'ancien président

Nicolas SARKOZY



Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa, le français hongrois / juive sérafade, 28 janvier 1955


@ rue89.nouvelobs.com


IL Y A PLUS À DIRE QU'À VOTER [FR]

Ce qui est important n'est pas de voter mais de pouvoir dire non seulement ce que nous pensons, mais aussi de décider de ce que nous voulons.

Le vote français, expression véritable.
@ voltairenet.org

Le vote français, expression véritable.

Or les démocraties de façade, d'Est en Ouest, du Nord au Sud, sont plus que jamais, et dans la crise, figées et ringardes, incapables de changer seulement les règles de la communication et du dialogue. Elles se cantonnent, localement et nationalement, internationalement dans l'usage de scrutins primitifs (quand ils sont légitimes et qu'ils ne sont pas truqués) qui réaffirment une pseudo représentation de l'expression politique des peuples.

Depuis des décennies, la science et les techniques ont progressé. Les pouvoirs des hommes et leurs ambitions personnelles sont restées identiques, ne voulant concéder ni considération ni espace aux évolutions. Ils ont seulement annoncé par les médias qu'ils inauguraient le changement, en traduisant dans quelques lois les évidents accidents et chaos résultant de leur absence de discernement et de pilotage.

Les temps deviennent ainsi de plus en plus graves. La vision des uns et des autres est troublée. Non seulement d'air, de terre et de mer, mais également dans les manières de penser, de parler et de se comporter, qui battent et remuent les valeurs. Personne ne sait plus dans ce verbiage obscur, ce qu'il faudrait conserver, ce qui faudrait recycler.

Alors, plutôt que d'innover et de mettre en œuvre les moyens pour en pouvoir dire plus, ils trouvent satisfaisant de continuer à en exprimer tout autant ou bien moins !

LES EFFORTS CHAOTIQUES DE LA DEMOCRATIE

Etre d'accord sur l'usage et la pratique que tout citoyen a égalité de devoirs et de droits de par la Constitution, c'est reconnaître l'état démocratique du pays.



Dès lors l'un d'entre eux peut librement ouvrir débat, proposer question ou réponse.



Cet usage ne peut être réservé seulement à un représentant d'un parti, à un candidat à élection ou à un élu se représentant pour continuer une action municipale, régionale, nationale ou internationale.

Pour l'heure les débats se résument à ce que vous pouvez suivre sur #mondebat2014

Une valse qui a pour tous trop de moins [fr]

Place des Invalides, Paris, France - le 2 février 2014

L'image du père - un dialogue à faire évoluer

Des papas barricadés à l'extérieur du berceau.

L'image du père, un dialogue à faire évoluer. Beaucoup de temps perdu.

Une autorité contestée pour une danse qui n'est victorieuse pour personne.

« Il va falloir naturellement s'occuper du Pipi caca », dis Papa.

Editorial




Nous connaissons désormais l'expression du progrès « républicain et démocratique » despotique : qui vient s'opposer à la volonté de pouvoir, d'argent et de sexe est considéré hors-la-loi.

Alors le chef de cet état de choses aura à réécrire la Constitution et à son ministre de la justice de bâtir plus de prisons pour tous ceux qui sont hors d'avoir un avis « normal ».

La trilogie « normale » pouvoir, argent, sexe s'exerce en effet sur tous les laïcs.

Il n'était pas question de vouloir donner plus de libre expression au peuple, nous l'avions compris. Le « changement, c'est maintenant » ne pouvait s’inscrire dans le libre droit et devoir, dans l'égalité de dire.

Dans le domaine économique, les caisses de l’État français sont mises à mal par la dette publique et les dépenses de fonctionnement. Les sociétés privées et les salariés contribuent à résorber les comptes financiers. Le particulier, citoyen pressé tel un citron par la dureté du temps et de la maigreur de son portefeuille, se trouve donc ramené à l'égalité de pauvreté.

Dès lors se présentait le seul poste restant où l'égalité pouvait encore être « entreprise ». Il fallait donc convaincre, fiction qui dépasse la réalité, que non seulement c'était possible mais que déjà cela était !




Ainsi, bien avant que la Madame qui accompagne le chef de l’État en soit son égale, bien avant qu'un quorum équilibré n'exista au sein d'un gouvernement et des assemblées, l'égalité de sexe était un fait indiscuté. C'était proclamé tel un postulat. La conscience de chacune et chacun se trouve ébranlée par des milliers d'années d'obscurantisme. La nouvelle doctrine sociétale crée le berceau de l'égalité des sexes ! C'est l'égalité de genre.

Chacun et chacune désormais devait savoir que ce qu'il était dans son corps est anecdotique. Que la vie elle-même l'est aussi, que l’État peut décider de nous enlever nos attributs, qu'ils sont identiques : « Cassées les règles et les valseuses ! ».

Cela deviendrait l'égalité des sens, c'est-à-dire pour ceux qui pourraient encore avoir cette notion, l'égalité de conscience ou d'inconscience, l'égalité de connaissance ou de méconnaissance ; nous allions tous aller d'un même pas dans la même direction. Fiction, non ; magnifique, oui. Pour tous, il fallait en discuter.

Eh bien là, je ne désire pas vous suivre dans cette danse, il y a trop de monde. Et c'est pourquoi nous ne pouvons vous suivre. Nous nous rassemblons pour aller libre, chacune et chacun de notre côté, faisant partie d'une même famille éprise d'amour et de liberté. Nous sommes d'égalité d'esprit.

Pour aller plus loin, il nous faudra auparavant mettre en place les moyens pour nous tous de mieux communiquer. Dans le futur sans doute, nous pourrons probablement adopter un esprit de communication.

C'est bien en cela que le désaccord avait commencé. Nous étions dans un fâcheux esprit d'égalité, celui de ne pouvoir nous écouter.

THIS WHY YOU ELECTED THE « KING » YOU HAVE. [FR]

1st book of Samuel 8:4-7.10-22a.



All the elders of Israel came in a body to Samuel at Ramah and said to him, "Now that you are old, and your sons do not follow your example, appoint a king over us, as other nations have, to judge us."



Samuel was displeased when they asked for a king to judge them. He prayed to the LORD, however, who said in answer: "Grant the people's every request. It is not you they reject, they are rejecting me as their king.



Samuel delivered the message of the LORD in full to those who were asking him for a king.



He told them: "The rights of the king who will rule you will be as follows: He will take your sons and assign them to his chariots and horses, and they will run before his chariot.



He will also appoint from among them his commanders of groups of a thousand and of a hundred soldiers. He will set them to do his plowing and his harvesting, and to make his implements of war and the equipment of his chariots.



He will use your daughters as ointment-makers, as cooks, and as bakers.



He will take the best of your fields, vineyards, and olive groves, and give them to his officials.



He will tithe your crops and your vineyards, and give the revenue to his eunuchs and his slaves.



He will take your male and female servants, as well as your best oxen and your asses, and use them to do his work.



He will tithe your flocks and you yourselves will become his slaves.



When this takes place, you will complain against the king whom you have chosen, but on that day the LORD will not answer you."



The people, however, refused to listen to Samuel's warning and said, "Not so! There must be a king over us.



We too must be like other nations, with a king to rule us and to lead us in warfare and fight our battles."



When Samuel had listened to all the people had to say, he repeated it to the LORD, who then said to him, "Grant their request and appoint a king to rule them." Samuel thereupon said to the men of Israel, "Each of you go to his own city."

Friday of the First week in Ordinary Time - Daily Gospel

Gérer où s'éclater dans la fête ?

Voudrais-je vous inciter à la tristesse ?

Serais je responsable de quelque aigreur ou d'avoir le soin d'éviter de partager votre buz ? Non point.

Vous pourriez penser que tout cela me laisse froid, entre le désespoir et l'espérance. Non point.

Je suis également hors d'être dans l'analyse psychologique ni même dans le constat d'un événement funeste.

Philosophe alors, peut être ? Il est de tous les jours de choisir entre l'amour et la haine, la vie ou l'anathème du suicide ou du crime.

Il est hors de mon propos comme hors de ma volonté de rendre une quelconque souffrance que je pourrais supposer que vous m'auriez infligé. Il n'y a en moi ni colère, ni dégoût, ni révolte. Je n'ai pas d'exaltation suprême, de croyance fervente, de volonté d'être reconnue, de me racheter de quelque forfait commis ou d'être redevable de dettes ou d'impôts impayés. Je n'invoque aucune justice et ne veux être justicier.

Mon seul désir, si je pouvais un en ce jour, serait que vous vous sentiez bien.

J'y trouver ai ce que j'apprécie, je serai "cool" en ayant votre "look" : c'est un plaisir de se moquer de soi même !

The French hypocrisy, an unanimous rule ?

S'agit-il de respecter les limitations de vitesse ou de fonctionner au radar, voire à la détection de la pollution, au diagnostic du bruit ...?

Quel serait le véritable objectif ? QUEL PANNEAU DOIT-IL ETRE MIS EN PLACE ?

S'agit-il même de répondre au sujet dans le titre, 20minutes ?

Bonjour, Pour l'intolérance de la tolérance, une autre façon d'être.

Les règles 5 Km/h en dessous de 100 Km/h (règle 1) et 5% au dessus (règle 2) sont permissives, donc criminelles.

L'accroissement de vitesses entre 30 et 35 Km/h est de 16,67 % par la règle 1. L'accroissement de vitesses entre 70 et 75 Km/h est de 7,14 % par la règle 1.

L'accroissement de vitesses entre 130 et 135 Km/h est de 3,85 % par la règle 2.

Ces règles proviendraient de l'histoire des caractéristiques techniques des radars. Elles sont disjointes des limitations effectivement demandées !

Or nous savons de source certaine qu'un excès de vitesse de 35 pour 30 Km/h en ville a "toutes chances" d'être à l'origine de séquelles plus graves.

Il est hors de la preuve patente qu'un accident ayant pour excès de vitesse 135 Km/h au lieu de 130 Km/h produise des effets différents.




Il nous est nécessaire au moins de changer notre façon de penser à défaut de pouvoir changer notre façon de nous conduire.

C'est un préalable. A chacun d'entre nous d'en tirer sa propre façon de penser, de conduire ou d'être ...

Bonne route avec ou sans radars, sans accidents

Autres liens :
La Revue automobile

Contrôle radar

abcmoteur

Nouvel Observateur

Notre commentaire n'apparaît évidemment pas dans 20Minutes. Nous l'affirmons car c'est un fait et non une polémique.

We ignore who you work for, 20minutes. But we recommend you to work 40 minutes more!

FR

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Comment: It keeps the version that works HOP HER 's

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