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TdV Jeudi 27 avril 2017

Nos paroles viennent de la terre et retournent en terre. Il n'y a pas de doute en cela, pour tout homme, même pour celui qui porte témoignage de la Parole du Christ. « … Mais celui qui reçoit son témoignage certifie par là que Dieu est vrai ... » ( Jn 3,31-36)

Le présent sujet tente d'éclaircir, non de la nécessité qu'il y a pour nous de témoigner, en entendant son témoignage, mais celui de le rapporter distinctement et simplement, de l'évoquer à nouveau dans un contexte de vie terrestre qui a entamé son chemin vers la résurrection, de la manière la plus claire, en tout ce qui est vérité de Dieu.

Or, pour les apôtres, les paroles du Christ sont parfois obscures à tel point que le Christ, en enseignant patient, vient à nouveau leur expliquer, leur raconte des paraboles, leur répète sous une autre forme, ce qu'il a déjà formulé.

Nous-mêmes, disciples ou laïcs serions dans un environnement comparable si nous n'avions pas conscience que l’Église que nous sommes a entamé ce Chemin qui est Vérité et Vie.

L’Église se réclame et témoigne de Jésus-Christ, elle certifie que Dieu est vrai ; l’Église est entrée dans la Résurrection du Christ.

Aussi, la question qui fait jour, c'est de considérer pourquoi cette vérité a difficulté à s'étendre à ceux qui en nient l'existence, … depuis tous ceux, humbles et pauvres, qui possèdent la richesse de cette lumière qui illumine leurs vies.

Il nous faut reconnaître, que baignés dans la Miséricorde de Dieu, nous demeurons incapables, non seulement de faire ouvrages de charité, non seulement d'apporter guérisons aux malades, mais aussi d'entendre et de porter témoignage dans tout sa clarté.
Il nous manquerait, tant tantôt l'une, tantôt les deux, ... insuffisamment les trois.

Dans le sujet que j'évoque ce jour, c'est en fait l'Esprit qui nous anime, que je désire écouter attentivement pour en rapporter le plus exactement son témoignage.

En quelque situation que ce soit, les trois aspects, ceux de la charité, de la guérison (que nous pouvons aussi appeler pardon) et celui du message (ou témoignage) doivent être intimement liés, mêlés, vivants.

Je tente de vous en faire plus avant par un exemple :

J'ai eu parfois la mission de célébrer des obsèques à une assemblée réunie autour d'un défunt(e) aux dénominations et aux qualités aussi intenses que variées, au masculin comme au féminin, de celles d'un ami, d'un collègue de travail, d'un conjoint, d'un frère, d'un parent, d'un père, d'un voisin, etc., d'un chrétien, d'un homme en recherche de Dieu, j'en oublie certainement tant sont nombreuses les relations qui unissent les hommes entre eux et celles qui sont don de Dieu.

Vous pouvez savoir en y assistant, et je vous le dis librement, que ces assemblées n'étaient pas constituées exclusivement, tant s'en fait toujours défaut, de chrétiens pratiquants, présents tous les dimanches et en prière tous les jours de la semaine.

Je les aurais rencontré alors en d'autres lieux et en d'autres églises qui n'auraient pu les contenir tous ...

… C'est ce qui est arrivé, il ne pouvait en être autrement. Je les ai rencontré en d'autres lieux et en d'autres églises qui les contiennent tous.

Oui, j'ai continué en les rencontrant l'un après l'autre, individuellement ou par petits groupes, sur leurs lieux de vie.
Ces endroits ou places, plutôt que de réels lieux de vie, m'ont fait comprendre que ma compassion et le témoignage ne suffisaient pas, ils attendaient la guérison !

C'est pourquoi j'ai continué à marcher, allant chercher sous mes yeux la médecine de l'Esprit qui est tombée du ciel comme sont tombées sur moi mes lunettes que je ne voyais plus.

Oui, j'attendais aussi ma propre guérison !

Désormais, il n'y avait plus de doute, il fallait bien les trois.

TdV Vendredi 14 avril 2017

Qu'entend t-il à se proclamer prêtre lorsqu'il ne voit pas que le Christ est ressuscité ?

Il agit en homme de tradition, persistant à témoigner de ce qu'il y a dans le Livre, comme si la mort n'était pas déjà sortie de ce Livre. Or elle est allée de nombreuses fois, à cause et seulement pour ce Livre, perpétuant la mort et non pour la vie.

Le refuge et le signe, s'ils sont tracés dans ce Livre, ne se manifestent pas dans ce Livre.
Le grand prêtre est-il lui-même l'écrivain, le scribe de ce Livre ? Il ne l'est pas ; alors qu'attendez-vous ?

Ailleurs, d'autres parlent et voient dans les actions matérielles des hommes des signes de la croix.
Il en existe que parce qu'ils transportent avec eux ce qui leur reste à parfaire ; mais le signe du Salut, lui demeure miséricordieux et parfait au milieu des hommes, et ils ne veulent le considérer.

Oui, le sort des femmes et des hommes est entre leurs mains et leurs cœurs. C'est ainsi qu'ils auront tout bonheur et paix, même avec les Amalécites.

TdV Mercredi 12 avril 2017

De quoi avons-nous encore peur ?



Celui qui est mort est resté vivant. Dans sa mort comme dans sa vie, il a pris et il prend tout le poids et tout le sacrifice de nos vies.

Il nous enlève jusqu'à la plus petite trace de poussière qui nous colle aux pieds et qui pourrait nous faire chuter.

Alors, serions-nous assez envieux pour être méchants, au point de nier son empressement à nous combler de bonheur ?
Oui, il est vrai, il y une part en chacun de nous qui désirerait que le mérite n'appartienne qu'à elle seule !

Comme il existe le service d'un bien supérieur et suprême au nôtre, il doit et devrait subsister le bien en un service qui le reconnaisse.
Or ce dernier, même s'il demeure imparfait, doit persister et s'affirmer en chacun de nous.
Il ne consiste pas à se complaire de nos erreurs réitérées, à se lamenter sur un temps que nous utilisons avec difficultés, ou même encore à accepter un sort qui nous paraît contraire, mais de considérer l'ensemble afin qu'il soit le plus en harmonie avec ce que nous espérons, ce testament qui nous est offert en don.

Auriez-vous cœur comme je l'aurais moi-même, d'aller le mettre dans un tombeau pour tout fruit de l'existence et du seul labeur ?
Ce serait circonvenir le corps en une quelconque maladrerie ...

Abbaye Saint-Lazare (Oise - Beauvais) @temoicka.over-blog.com - oct. 2016

Maladrerie Saint-Lazare (Oise - Beauvais) @temoicka.over-blog.com - oct. 2016

TdV Vendredi 3 mars 2017

De quoi nous étonnons nous ?

Nous ne conseillons pas, nous ne demandons pas, nous n'observons pas …

Alors et aussi, nous n'adorons pas, nous n'aimons pas, nous ne jeûnons pas, nous ne prions pas.

Que pouvons nous attendre de tout cela ?

En vérité, rien de profitable, une mort certaine plutôt qu'une activité de vie.

TdV Jeudi 9 mars 2017

Tous les prêtres et tous les prophètes vont ont dit d'être humble et respectueux dans la prière.
Or Jésus Christ le Fils de l'homme est venu pour racheter les plus odieux des hommes, ceux qui blasphèment et sont en prison, jetant les pires injures au Créateur.

Eh bien moi, qui ne suis pas de ceux-là, mais pire encore, parce que j'ai entendu toutes les paroles et que j'ai suivi son enseignement, sans y croire en plénitude et sans le pratiquer totalement, je leur demande et je vous demande, à vous qui êtes meilleurs que je ne le suis, de demander encore à votre Père, que vous ne voulez reconnaître, car Lui, il vous reconnaît.

En effet le Salut est pour les hommes et il est pour l'humanité toute entière ; il a dépassé tout entendement et s'est fait Miséricorde dans les Cieux et sur la Terre.

Oui je vous le dis, ici, en ce monde, aucun home ne reconnaît son prochain comme il se reconnaît lui-même.

Mais déjà dans les Cieux, le Christ reconnaît sur cette Terre ceux que Dieu, son Père, aime. Aussi soyez des enfants que votre Père aime.

TdV Mardi 28 février 2017

Je vous le dis, les périls arrivent parce que nous laissons les liens entre les hommes dépérir alors que nous favorisons ceux qui existent entre les machines.

En effet aujourd'hui plus qu'hier, les riches n'ont pas besoin des pauvres pour asseoir leurs richesses par le travail de ces derniers, ni même de la fructification de leur patrimoine au fur à mesure des générations.

Mais lorsqu' arriveront ces problèmes de division entre les familles, les peuples ou les Nations, ne verront-ils pas, eux aussi leurs pieds se dérober sous un sol qui s'écroule et ne leur appartient plus ?

Je vous le dis parce que cela a été dit avant moi, attachez vous au seul lien qui retient les hommes car c'est le seul à pouvoir perdurer.

TdV Jeudi 23 février 2017

Quelle personne raisonnable et sensée peut considérer que la maladie, la souffrance ou la mort sont des bienfaits pour l'humanité, pour autrui ou pour soi-même ?

Or il y a parmi nous des hommes qui entendraient justifier cela parce qu'ils ont mal compris le Salut du Fils de l'homme venant sauver l'humanité et non apporter un mal au mal qui y existe déjà par les péchés des hommes.

Ainsi, ils ne feraient opposition au mal qu'en approuvant et en témoignant d'un autre mal, celui de la Croix.

Nous sommes appelés à reconnaître le sacrifice du Fils de l'homme pour le dernier et glorieux signe de la magnificence de la Miséricorde de Dieu.
Son Salut ne nous permet ni de procéder à d'autres sacrifices ni à répondre à la vengeance mortelle par la mort, ni même de nous imposer des flétrissures que nous ne méritons pas.
Ces dernières passent bien suffisamment par la mort des autres sans que nous ne devions et puissions les y inciter.

Nous devons en effet, avec détermination et non par renoncement, en action et en parole, corriger les offenses produites par nos péchés. C'est bien par ces moyens que nous pouvons avoir guérison du corps et de l'esprit.

TdV Jeudi 9 février 2017

Vous apprécierez à sa comique et juste valeur le rapprochement des textes qui sont à l'ordre du jour.

D'un côté le « façonnage de la femme », l'extraction d'un élément de la création, au dire de l'Ancien testament, et de l'autre la guérison d'une petite fille possédée par un esprit impur, par la demande faite au Christ, par une femme païenne, la mère de cette fille, syro-phénicienne de naissance.

Alors, je ne veux pas faire polémique sur la considération ou l'état de la femme ou des femmes, ni même sur celui d'une femme en particulier, quelle soit d'autre origine ou syro-phénicienne.

En effet j'ajouterai ainsi quelque chose qui pourrait ressembler à certains telle une confusion, tel un sirop de Phénicie.
Je préfère pour toute cuisine, celle de ce qui est juste et de vérité, celle qui permet de s'approcher de la foi.

Ce qui importe, en fait, est que cette personne inspirée ait trouvée un argument qui tient réplique à ce que le Fils de l'homme venait de prononcer juste auparavant.

Qui que vous soyez, vieillard, femme, homme, personne ou enfant, si vous avez à cœur de dire et de faire ce que vous pensez de bien pour un autre que vous, n'hésitez pas, vous serez reçue en personne par le Christ, le Fils de l'homme, tel un enfant de Dieu.

Et puisqu'il en est ainsi, il y a toute espérance que vous le soyez aussi en ce monde et pour l'autre monde, par des hommes, des femmes ou des enfants que vous aurez considérés tels des enfants de Dieu.

TdV Dimanche 5 février 2017

Je persiste à vous écrire encore afin de relire avec vous la Parole du Christ, celle qui est annoncée en ce jour.

En effet, nous y trouvons, et ce que nous devons et pouvons dire, et ce que nous devons et pouvons faire, afin d'être nous aussi lumière et sel de la Terre.
Nous devons et pouvons l'être, le dire et le faire en ce monde.

Nous aurions pu, continuer, tout comme je l'ai fait précédemment, être critique ou détracteur de ceux qui ont gardé pour eux le privilège où la voix, en étant les seuls à pouvoir témoigner de la Parole du Christ.

Certains païens d'ailleurs, ne font que porter atteinte à nos Frères parmi les frères, parce qu'ils ont choisi le sacerdoce royal, celui d'avoir été choisi, reçu, consacré afin de servir l’Église.

Ces païens leur reprocheraient de ne servir qu'une communauté humaine en ce monde et pour ce monde.
Or, ces païens, injustement et sans vérité, veulent ignorer que nos Frères sont là en ce monde et proclament qu'ils ne sont pas de ce monde.

Mais revenons à nous-mêmes, à ce que nous pouvons dire et faire, à l'identique de ce que vivent nos Frères, apôtres et disciples, afin de les aider, dans la même perspective partagée, en un même cœur, en un même corps et en un même esprit.

Nous pouvons humblement, par le bien que nous disons et faisons, être nous aussi, lumière et sel de la Terre.

TdV Samedi 4 février 2017 (brouillon)

Il a été commandé à chaque chrétien de faire témoignage de la Parole du Christ.

La plupart d'entre nous et moi-même ne se privent pas d'en faire un commentaire.

Or cela n'a pas lieu d'être, même et surtout si cette interprétation est actualisée.

Aussi, je confesse qu'il n'a pas lieu d'être en parole, encore moins en écrit.
C'est pour cela que je vous exhorte à ne pas lire cet écrit et à vous reporter à la Bible.

Si vous ne pouvez le faire, poursuivez.
Vous aurez alors loisir de connaître toute ma rancœur et à examiner tout le pardon que j'ai à montrer pour le Christ, sa Parole et vous-mêmes, chers Frères.

En effet, la Parole est clarté et vérité ; elle peut se dispenser de toute paraphrase.

C'est effectivement une route droite et dénuée d'obstacles.
Chacun peut y circuler à sa propre vitesse, y rencontrer les autres, y prodiguer et y trouver aide et secours.

La Parole commande, non seulement d'en faire lecture et louange, ce qui peut paraître facile et glorieux pour certains, qui souhaitent se dispenser d'en faire acte, c'est-à-dire de la vivre ou d'en vivre.
S'ils peuvent être ainsi, certains d'entre eux ne se privent pas de blâmer leur auditoire, en leur reprochant de ne pas faire ce qu'ils font, tout en omettant de dire à propos ce qu'ils ne font pas !

D'un autre côté existe ceux qui n'écoutent pas l'enseignement, sous prétexte qu'ils le connaissent pour l'avoir déjà entendu.

Tout le monde ignore ce qu'ils peuvent bien en avoir retenu, dans la mesure même où ils se dispensent d'en appliquer la bonne et moindre pratique !
Un rappel, si je puis m'expliquer ainsi, leur eut permis d'amorcer correctement le virage sur leur route … afin de s'engager sur une route plus droite.

Il en est d'autres qui, bien que présents, restent insensibles, tellement ils sont enracinés dans leurs habitudes.
Ils omettent de respecter pour ainsi dire un stop de réflexion et continuent à répéter les mêmes oublis ou les mêmes erreurs.
Ils ne peuvent voir ni un animal traversant, ni un objet laissé sur le revêtement, ni une personne abandonnée sur le bas-côté, ni prendre en compte un accident survenu dans la circulation, ni même un panneau indiquant le rappel de la vitesse réglementée, ni même celui du radar qui leur signale qu'ils peuvent être pris en cliché !

Je m'étendrai plus tard sur toutes ces photographies tant elles sont nombreuses.
J'ai difficulté à traiter les miennes qui s'accumulent par les années de vie si mal remplies parce que trop remplies de ce qui n'est pas essentiel.

Il y a une seule tâche à effectuer quotidiennement et tous les jours de ma vie ; celle de relire le témoignage d'amour et de l'appliquer dans le même temps, sans plus attendre.

Voici pourquoi, je fais partie de cette foule, je suis une brebis contemplée par son berger.

TdV Vendredi 3 février 2017

Il y a des hommes, maintenant des femmes, et peut-être aussi déjà demain des enfants, qui utilisent les paroles de Dieu pour les détourner de tous ses aspects d'amour et de miséricorde.

Cela n'est pas nouveau et cela existait même avant le Christ.

En vérité, ces personnes recherchent à justifier le martyr ou le sacrifice en tentant d'effacer le Salut.
Par cela, ils veulent annoncer que Jean n'est qu'un homme parce qu'ils devisent que le Christ en est un aussi.

Or cela, même humainement, est condamnable. Nous ne saurions admettre justement qu'un homme soit injustement condamné à la place d'un autre.

Il n'y a en vérité qu'un seul homme qui ait accepté d'être injustement condamné pour tous et qui soit ressuscité de la mort que les hommes lui infligent encore, c'est le Christ.
Il est le Fils de l'homme.

Aussi, gardez vous des hommes qui prônent le sacrifice de la croix ou tout autre sacrifice.
Ils veulent justifier que le Salut n'a pas eu lieu et que la Rédemption n'est pas entamée.

Ils justifient et viennent juger les hommes sous le prétexte qu'un homme avant ou à côté d'eux est répréhensible.
Ils excluent tout pardon, donc tout amour.

Oui, méfiez vous de ces gens là, qui peuvent rassembler des communautés comme diviser tous les hommes.

TdV Mercredi 1er février 2017

Nous ne voulons pas comprendre.
C'est un fait. Il en est beaucoup parmi vous, qui évoque l'Ancienne alliance comme s'il n'y avait pas de Nouvelle.

Ils évoquent toujours le châtiment et le sacrifice, l'histoire de notre peuple, en ne vivant pas pour le Salut.
Ils propagent encore la haine.
Ils se font gloire d'apporter un amour à ceux qu'ils aiment en détestant profondément ceux qu'ils repoussent. Ils se conduisent comme les païens de la laïcité.
Pour eux, tous les êtres spirituels amènent la profanation. En cela ils disent vrai, je dois le reconnaître.

Il y en a d'autres, peut-être plus virulents, qui évoquent ou mieux encore qui invoquent Dieu et justifient de leurs caractères odieux, en faisant toute déchéance au milieu des hommes.
Ils excluent tout amour envers la Création pour prétendre le porter tout entier envers son Créateur.

Les premiers, à ce que dit Daniel, oublient de rendre grâce et de témoigner en vérité de la foi des anciens, en omettant le plus grand commandement de la Loi.
Alors Daniel le rappelle, alors que nous sommes, nous aussi des profanateurs. Jésus Christ en effet nous a dit :
« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. C'est là le plus grand et le premier commandement. »

Quand aux seconds, d'une même adresse, Jésus Christ répond :
« Le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. À ces deux commandements se rattachent toute la Loi, et les Prophètes. ».

Alors, s'il n'est fait état, ni de Loi ni des Prophètes, comment sont-ils capables de renoncer à ce que rappelle le dernier d'entre eux, en effaçant ce qu'énonce le Christ ?

Et bien, sans détour, je vous le dis, ils sont, eux aussi, mécréants, fils d'un profanateur, en détruisant les fils des hommes.

TdV Lundi 30 janvier 2017

Je rends grâce au prédicateur, Marc, qui est venu vers nous pour nous expliquer que les païens parlent trop de Dieu pour qu'ils puissent le réfuter si aisément.
Ils viendraient et adjureraient par Dieu de ne point les tourmenter.

Si ces « mauvais diables » font un usage immodéré de leur laïcité qu'ils énoncent tel un dogme, en venant sans cesse pousser des cris d'orfraie vis à vis de Dieu, de Jésus Christ, de l'Esprit Saint, ils ne se dispensent pas pour autant de critiquer le pape François et toute l’Église.

Cela ne semble pas plaire à certains hommes que Dieu vienne s'immiscer dans sa Création !

Or le Christ est venu se confier et apporter son Salut à l’Église et à tous les hommes.

C'est depuis, à l’Église et à tous les hommes, qu'est attribuée en premier la mission de parler de Dieu, de Jésus Christ, du Saint Esprit.

Alors nous avons joie et puissance de le proclamer par sa Parole.

Les temps en effet s'accomplissent, où les porcs viennent se noyer dans les mers.

TdV Samedi 28 janvier 2017

Frères, ce n'est ni par bonté de cœur ni par crainte que je viens à vous.

En effet, tout nous a été révélé, non seulement par la Parole du Christ mais également par les hommes.
Et cela se poursuit sans que la plupart n'en tienne compte.
Ils espèrent quelque chose de nouveau qui ne peut avoir lieu car il est déjà.

Alors, je viens uniquement redire, réitérer ce qui est écrit et dit.

C'est par amour que nous pouvons agir et être, et n'ajouter rien de plus.



L'amour ne retranche rien et vient accomplir.
Alors, si nous sommes chrétiens ou païens, ne conservons que l'esprit de l'amour.

TdV Vendredi 27 janvier 2017

Il existe une différence importante entre le Fils de l'homme et un homme ordinaire.
Oui, diront certains ; c'est évident, puisqu'il est le fils de Dieu, qu'il est ressuscité.

Et bien, de mon côté, je me contente de ce texte pour en apprendre quelque chose.

Ce que je relève et qui est important pour vous, comme pour moi en ce jour, c'est la première phrase que dit Jésus Christ.
Pour la relire, j'en fais à nouveau mention.

Jésus disait aux foules : « Il en est du règne de Dieu comme d’un homme qui jette en terre la semence : nuit et jour, qu’il dorme ou qu’il se lève, la semence germe et grandit, il ne sait comment. (…).

Par cette comparaison, le Christ dévoile le règne de Dieu tel un agriculteur jetant sa semence.

Nous faisons tous partie du règne de Dieu, non seulement Jésus lui-même, mais nous aussi.

Plus loin, le Christ compare le règne de Dieu à une graine de moutarde.
Elle est la plus petite de toutes les semences mais quand on l’a semée, elle grandit et dépasse toutes les plantes potagères.

Alors, je vais vous laisser méditer sur cet aperçu, de cette plante qui étend de longues branches, si bien que les oiseaux du ciel peuvent faire leur nid à son ombre.

TdV Jeudi 26 janvier 2017

Réf. : Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 10,1-9

Voici ce jour le plus beau texte prodiguant des conseils et des devoirs pour inaugurer la marche et l'ordre du jour, afin de participer à la mission du Seigneur.

Alors, je ne peux ajouter de commentaire, sinon celui de les conserver et de les mettre en pratique.

TdV Mercredi 25 janvier 2017

Le Christ, relisons les textes, ne demandent à personne d'attester qu'il existe, ni même de divulguer les guérisons qu'il a faites.
Il nous demande, en son nom, d'agir selon sa Parole et de proclamer celle-ci.

Par là même, il nous place dans un témoignage équivalent à celui de ceux qui ont vécu sur Terre lors de son passage : apôtres et disciples.

La croyance en son existence est un acte de foi.

Supposons, ce qui est bien en dessous de la croyance, sans pour autant l'enlever, mais donnons par là même à ceux qui s'en excluent, un moyen de s'en rapprocher,
supposons, disais-je, que le Christ ne soit qu'un homme.

L'aimerions-nous autant que nous pouvons jusqu'à présent l'affirmer, par la grâce de l'Esprit Saint, maintenant et seulement par un cœur et un esprit humain, communs aux laïques extérieurs à notre Église (c'est-à-dire hors de la considération du Christ, Fils de l'homme, fils de Dieu) ?

Il y a bien des femmes ou des hommes en notre temps qui offrent leurs vies pour nous aider et nous les aimons.
Nous ne cessons de leur dire et nous faisons et sommes prêts à beaucoup pour les aider.

Nous pouvons dire tous, et sans hésitation, de cet homme extraordinaire et particulier qu'est Jésus Christ, même si nous n'avons pas vu (et que nous ne croyons pas à sa Résurrection), qu'il est un homme que nous aimons, sinon que nous l'adorons.

Alors la dimension de l'amour terrestre, par la Parole du Christ, va bien au-delà de ce qu'il est présentement.
Elle nous commande ou plutôt nous invite à aimer tous les hommes comme s'il s'agissait de lui-même, à agir et proclamer cet amour à toute la création.

C'est en cela que déjà, Jésus Christ, homme, unit tous les hommes, dans un même amour.

Alors, j'éviterai à l'avenir de sous-estimer l'amour, afin de le vivre plus grand, tel qu'il est déjà présent au milieu de vous.

TdV Mercredi 18 janvier 2017

Nous ne critiquons pas l'homme parce qu'il a pris seulement pouvoir sur les autres en ayant connaissance de ce qu'il est nécessaire et qu'il le fait lui-même.
En cela, s'il agit par la seule volonté d'aimer, nous ne pouvons rien lui reprocher.

Dieu et nos Frères le portent dans leurs cœurs.
Mais s'il fait une autre œuvre que celle de l'humilité et et parle différemment que par l'Esprit, nous ne pouvons reconnaître son sacerdoce que pour un sacrifice humain.

Celui en effet qui ne provient pas du Christ et n'est pas engagé eau et sang pour ses Frères, ne peut être parfaitement en harmonie avec l'Esprit Saint.

Il ne saurait être pour nous de nous cantonner à nous approprier le Livre saint ou un autre qui peut être ou se faire appeler ainsi, mais de réaliser la parole qui s'y trouve.

C'est bien parce que tous, nous sommes appelés à partager le pain, l'eau et le sang qui sont ensemble mêlés, que nous nous préparons à nous offrir à la miséricorde éternelle.

TdV Mardi 10 janvier 2017

Que peut-il advenir de nous si nous fuyons l'autorité de la Parole qui enseigne l'Amour ?

En vérité, c'est très clair, dans notre chair et dans notre esprit, il y a alors place pour autre chose qui met déjà obstacles en notre chair et en notre esprit pour que se réalise en nous quelque chose de différent de l'amour.

Vous le comprenez, c'est ainsi de l'argent, un pouvoir et un sexe qui dirigent alors nos vies.
Et par ceux-là, l'amour s’atrophie et dégénère.

Mais celle ou celui qui place l'amour en premier possède autorité sur sa chair et son esprit.
Ce Frère ou cette Sœur peut alors conduire tout le reste sans soucis ni tracas.

Nous ne sommes pas des anges mais nous avons reçu la même condition, la même image et la même liberté d'homme que le Fils de l'homme.

C'est pour cela, comprenons-le, que nous sommes appelés, en enfants de Dieu, à réaliser le meilleur qu'il a placé au milieu de nous, à accomplir une fraternité qui n'a jamais existé auparavant et qui est promise à l’éternité.

Oui, comprenez-le, certains énoncent ce qui ne peut être vérité en ce monde, non seulement parce que la lumière n'est pas commandée ici et de ce monde, mais parce qu'ils y mettent contradiction et paradoxe.
C'est pour cela qu'ils ricanent de l'obscurité, de la noirceur ou les ténèbres qu'ils espèrent placer en ce monde.



Parce qu'il est écrit en ce monde autre chose que la vérité
L'ineptie @golden-idol

Ajout :

il est constaté et entendu que Bernard Dubourg, ou tout autre personne, athée ou païenne, puisse contester l'existence de Jésus-Christ.
Mais ce qui est incontestable est qu'il existe des hommes, de quelque nature que ce soit, qui attestent qu'ils existent, vivent, en actes et en paroles.
Or c'est ainsi qu'il peut être considéré qu'ils existent et vivent en Jésus, Fils de l'homme.
Ainsi ne se pose pas la question de l'existence de Jésus mais notre contingence et notre liberté à exister et à vivre selon la chair et l'esprit qui sont placés en nous.

TdV Vendredi 6 janvier 2017

Il n'y a pas d'orgueil ou de supériorité à croire que Jésus est le Fils de Dieu, surtout si ce témoignage d'existence nous parvient de l'Esprit qui est vérité. Il n'y a pas de raison non plus d'abaisser l'homme qui porte témoignage de l'Esprit, de l'eau et du sang puisque c'est celui qui est rendu par le Fils de l'homme.

Et conséquemment, il ne saurait être raisons, d'âme, de cœur et d'esprit , de discréditer l'homme qui porte témoignage de son existence en chacune et chacun d'entre nous, car nous sommes tous appelés et reconnus enfants de Dieu et Frères en Jésus-Christ.

S'il est fait rappel de la généalogie de Jésus-Christ, c'est pour nous confondre en l'appartenance en une même famille. Comme il y a de nombreuses générations, du temps, pour créer et faire pour que ce qu'il advienne le soit dans le désir et la liberté du Père, ce qui peut s'énoncer autrement par sa Miséricorde ou sa volonté, il y a également de l'espace pour que cela se réalise.

Mais depuis la venue de notre Seigneur Jésus, cet espace et ce temps sont devenus compréhensibles aux hommes de ce monde pour qu'ils l'expriment et le justifient par amour.

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