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La notion ou plus exactement la doctrine de « péché originel » est-elle originale ? v. 20191225

Table des matières </PROLÉGOMÈNES> 1
</INTRODUCTION> 3
</Le référentiel> 4

Bibliographie 1: Silvio Moreno, Esprit Saint et les signes de sa présence, 2017

</PROLÉGOMÈNES>

L'homme, depuis ce qu'il a pu appeler la nuit des temps, tente d'expliquer son existence et le sens de sa vie dans le monde, espace et temps où il vit.

De par son ignorance et ses limites, il a posé par paroles et par écrits les jalons de ses connaissances et d'une conscience.

La tradition humaine tente d'expliquer l'homme en tant que créature dans un monde.

En introduisant le terme de créature, l'existence du Créateur, de créer et de la Création sont reconnues d'origine et de conséquence. L'ouverture de l'homme au monde ne s'annonce pas (ou plus) dans le contexte d'un déisme ou d'un théisme complet et religieux, mais dans une relation où Dieu est initiateur d'un amour tourné vers l’humanité.

Dans le monde donné ou offert aux hommes, de ce que nous considérons et définissons maladroitement en espace et en temps, Dieu est à la fois personnel, unique et cause du monde. Dieu est source de l'amour, d'un amour originel, à la fois commencement et raison d'être, de son Amour, de celui qu'il adresse aux hommes. Conséquemment dans la Miséricorde du Seigneur, l'amour originel remplace les termes de "péché originel", tout simplement parce qu'il est situé avant ; il est avènement, commencement, genèse, origine, naissance, source, etc. (quelque soit le terme que nous puissions employer).

L'être humain serait lié pour certains à un être supérieur ; pour d'autres, dénommé athéisme, il n'existerait pas de divin ou d'être supérieur. Pour l'agnosticisme, l'existence d'un tel être, de la vérité concernant la divinité sont inaccessibles à l'être humain. Pour le scepticisme, il n'existe pas de vérité certaine. Pour d'autres enfin, la trilogie classique de l'argent, du pouvoir et du sexe reçoit toute leurs considérations en portant leurs ego dans une rivalité démiurge.

Dans la première proposition, celle de l'affirmation, celui-ci en aurait été le créateur ou fondateur. De là ont été exprimées en parole puis ont été issus des écrits essayant de rationaliser l'idée que l'homme se fait du divin ou de la divinité, au singulier et unique, monothéiste ou plurielles, polythéiste. Ces différents exposés ou récits oraux, écrits sont théologiques en ce sens qu'ils ont pour première caractéristique et sens d'aller de l'homme vers le divin. Dans la deuxième allégation et constatation, celle de la négation, est de nier la précédente en affirmant que l'homme se suffirait à lui-même pour avoir connaissance de lui-même et engendrer le futur qui lui serait favorable. Il n'y aurait que l'homme allant vers l'homme.

Mais ni l'une ni l'autre ne cèdent à ses propres contradictions et à ses paradoxes. La reconnaissance de Dieu ne saurait aller de l'homme vers Dieu puisqu'elle est d'origine de Dieu vers l'homme. Quant à la suffisance de l'homme qui pense expliquer le monde par lui-même, être intelligent, des siècles ont montré que l'humanité avait peine à y parvenir.

Alors puisque les hommes n'y accèdent, c'est qu'ils ont pris un mauvais sens ou de malfaisantes directions ; ils n'auraient pas écouté l'esprit de sagesse, ils n'ont pas entendu l'Esprit ni vu le signe de l'Esprit.

Il est dans toutes les tentatives humaines de justifier ou de rationaliser au lieu de demeurer dans la pratique sensible, dans le savoir et le réel vécu. Une des « raisons » probable serait qu'il entendrait en obtenir plus mais n'arriverait pas à se satisfaire de ce qu'il côtoie ou de ce qui lui est proche.

Que l'être humain soit incroyant ou non, il n'est pas engagé sur le chemin d'être une véritable expérience, sa foi n'est pas engagée sur le chemin d'être une véritable expérience de Dieu … présence intérieure et intime (1).

Pour résumer son rationalisme, l'homme devrait être défini non comme objet ou comme sujet, mais comme image du Verbe, image de Dieu dans le dessein divin d'Amour et de Miséricorde.

(1) P. Silvio Moreno Esprit Saint et les signes de sa présence http://www.blogcathedraletunis.com/2017/06/esprit-saint-et-les-signes-de-sa-presence.html

CONNAISSANCE / CONSCIENCE

Je rejoins les quelques écrivains ou penseurs qui ont contribué à l'avancement de l'humanité en ayant une vision sur la vie.

En cela je pourrais les citer pour affirmer que je serais à l'image de ce qu'ils sont (ont été ou seront, je m’évade des considérations d'espace et de temps) ) car je les paraphrase ou les plagie. Et beaucoup de lecteurs iront alors chercher ailleurs les sources et traces plus véridiques et se passer d'un « miroir » inutile.

Mais un des principes, qui n'est pour moi ni une loi ni une règle mais simplement une explication, un manuel de fonctionnement, précise que si tout demeure semblable, il ne se reproduit pas nécessairement à l'identique, dans une égalité parfaite.

De fait et de juste à propos, je considère autrui, mon semblable ou plus exactement mes semblables, comme je serais moi-même l'unité de ce qu'ils sont.

Ôtez-vous de l'idée que je sois une personne orgueilleuse ou narcissique, et pire encore que je rejoigne une idéologie ou une religion ; c'est tout simplement mon humble croyance et je m'exclue de pouvoir vivre sans vous tous. C'est mon opinion.

S'il vous plaît de la considérer déiste ou universelle, en rapprochement des religions qui nous sont parvenues pour être et se révéler authentiques, je vous dirais « à Dieu plaise », qu'il en soit ainsi et je serais une personne heureuse que vous m'estimiez et me reconnaissiez telle une amie ou un membre de votre famille.

De la sorte, je suis entrée en reconnaissance et celle-ci nous procure une conscience, au moins celle de partager notre présence.

En conséquence de quoi, grâce à vous, je reçois le privilège d'élever la/ma connaissance à cette notion étrange et intrinsèque de l'esprit qu'est ou que serait la/ma conscience.

Et plus conséquemment encore, le premier ennemie de la conscience n'est pas l’ignorance, mais l'illusion de la conscience (extension de la citation de Stephen #Hawking).

P.S. : certains de mes auteurs, écrivains, initiateurs, lecteurs pourront désormais et peut-être comprendre pourquoi la langue de William Shakespeare sonne si douce à mes oreilles.

... Oui, puisque vous me l'avez lue, je me plais à la réciter.

TdV Mercredi 19 juillet 2017

Le Fils et les fils

Y a-t-il parmi les hommes quelqu'un à qui il faudrait faire reproche d'entendre ou de s'abstenir d'écouter l'explication des hommes ?

En vérité, si quelqu'un a un doute sur l'une ou l'autre des paroles des hommes, il a liberté et il peut se référer à un autre mot dont il connaît la signification ou à une phrase différente dont il peut percevoir le sens.

Lorsqu'un mot est dit trois fois, faudrait-il pour autant en conclure qu'il ne posséderait pas une définition ou une origine unique, un aboutissement ou une conséquence égale et identique ?
Parce qu’une phrase ou une parabole est répétée de telle façon qu'elle puisse être entendue de tous, faudrait-il, puisqu'elle a été entendue et écoutée par tous, en nier plus avant et l'origine et son implication ?

Parce qu'il y a liberté de comprendre dans la complexité comme dans la simplicité, ceux qui ne se satisfont pas de ce qui leur parvient directement par la lumière, les esprits tortueux, peuvent chercher longtemps alors que les tout-petits comprennent d’emblée et de cœur ce qui est dévoilé ouvertement.

Si quelqu'un émet critique et pense qu'il ne peut y avoir d'unicité, qu'il ne peut y avoir de famille qui a un Père, un Fils et le suivant à qui le Fils le révèle, alors en effet il ne pourra comprendre que quelque chose d'unique a été proclamé.

Ainsi donc, et qui plus serait, si la paternité, la filiation et le fil, la relation qui existait venait à disparaître, l'humanité pourrait encore pour quelques jours, affirmer qu'il y a une maternité, une conception et ce même fil, une relation de la mère envers son enfant.

Et quant bien même cette dernière disparaissait à son tour, il perdurerait une fraternité, un frère et une relation qui lierait les hommes avant que toute humanité ne succombe.

TdV Lundi 17 juillet 2017

Sur l'esclavage et la destruction des hommes

Le procès de la paternité

Veuillez vous abstenir de penser que je sois assez ou trop féministe.
Est-ce que je voudrais éradiquer mon ex-compagnon s'étant montré infidèle à mon égard ou ayant cessé de me considérer avec une reconnaissance que je serai censée devoir conserver ?

J'ai le même comportement et la même opinion envers tout autre être masculin qui s'affiche autre ou eunuque, portant dédain envers les autres femmes pour s'attacher aux hommes que je souhaiterais conquérir ou rejeter, ou des hommes qui ont des pensées obscures envers les enfants que j'élève avec tendresse, et qu'il faudrait, selon vos dires, doublement rejeter.

Je désire ôter tout jugement qui provienne de moi, en dépit des malheurs qu'ils pourraient apporter par une paternité revendiquée.
Ce qu'ils font, ils le font par don, par viol ou par vol …

Ainsi, ce n'est pas moi qui mettrais les hommes en esclavage, ni qui les tuerais afin de ne garder que les filles ou de ne promouvoir que les êtres féminins, en affirmant une maternité qui surpasserait l'humanité.

Tout cela est déjà arrivé par les femmes en égalité de ce qu'ont fait les hommes.

De fait je suis hors de déplorer une actualité qui répète ce qui a été.

  • En effet, si la liberté des êtres humains est d'être odieuse, je peux m'exclure de leurs actes et de leurs paroles et continuer à vivre selon la mienne, que je désire être bonne et la parfaire.
  • Si cette liberté, en revanche, est d'être aux dieux, ou plutôt au Dieu, ou humblement à Dieu puisque les hommes se réclament d'un seul pour être autant sinon plus en étant plusieurs, de se trouver en autrui comme il peut nous être offert de nous voir en nous-même, de vouloir aimer chacun comme nous désirons que nous soyons aimés ou que nous aimions nous-mêmes, il est à accepter que chacun aille de sa route comme il l'entend, à la charge des autres de conseiller et guider du mieux qu'il peut voir pour cette personne et pour tous.

Quoiqu'il en soit, en croyant ou en ne croyant pas, le Fils de l'homme garde sa signification, il est vivant pour les uns comme pour les autres ; pour ces derniers il demeure le fil de l'homme.

SUIVRE PARCE QUE NOUS VOYONS

Y a-t-il pire que ceux qui vivent sans avoir vu ?

Je vous le dis en toute intelligibilité, oui il y a pire en effet, dans ces gens qui continuent sans croire parce qu'ils voient.

Ils voient que le monde dans lequel des être humains survivent sans considérer la moindre charité, sans distinguer les maladies et les plaies des hommes qui sont à leur côté, sans se soucier même d'un environnement qu'ils dépossèdent de ses richesse, qu'ils polluent en faisant conversion pour un trésor qu'ils prétendent être à eux.
Ils estiment être les décideurs et les grands de la Terre, multipliant les marches et leurs actions corollaires, ce qu'ils pensent être entendements et sciences, poussant plus loin encore l'homme dans ses retranchements. Ils évitent de se cacher de la misère pour élever ce qui est leur tourbière.

Lorsqu'ils sont suffisamment bien placés, ils se mettent à œuvrer, fondation, pharmacie, que sais-je encore pour faire profit en luttant contre l'un ou l'autre des paludismes, afin d'engranger toujours, même sur les malheurs des eaux revenant des espaces émergés.



Ne les dénonçons pas, ils sont bien suffisamment nommés car ils s'énoncent d'eux-mêmes.

Revenons simplement à la Parole de vérité qui vient aider chaque homme à aller sur le bon chemin, qu'il soit layon indistinct ou route ouverte.

Oui, ainsi qu'il a été dit, ne jugeons pas, si nous désirons ne pas être jugés.

PMA, GPA, actions de « reproduction » des hommes

Y aurait-il à porter critique ou réprimande parmi les hommes ? Ils ont difficultés à être ce qu'ils sont, encore et peut-être plus ils auraient complications à être ce qu'ils ne seraient pas. Parmi les hommes, il est rendu difficile d'être un père pour son enfant, il est parfois et souvent obstacle à être femme et mère pour un enfant.

Or voilà quelqu'un qui vient en reprochant aux uns comme aux autres, ou de se dispenser de la paternité, ou de nous dire qu'elle est absente ...

En contradiction il vient affirmer qu'il est miséricorde de Notre Père des Cieux et que sa volonté est faite sur Terre comme elle est dans les Cieux, ou tout au moins que « nous voudrions » que son commandement s'étende ainsi.
De fait, c'est effectivement oublier la miséricorde de Dieu ou de vouloir abolir la charité qui pourrait être la nôtre.
Si en effet il y a difficulté d'être un père parmi les hommes, faudrait-il pour autant porter plus avant les lois qui empêchent à une mère de l'être pour un enfant ?

Si certains voudraient se dispenser de la miséricorde du Seigneur, serions nous empêchés par quelqu'un ou quelque chose de lui rappeler de ne pas y faire obstacle ?
Mais tout, par cette miséricorde qui est don du Seigneur, nous impose de garder liberté, pour les autres et pour nous, en notre idéal.

Aussi, la charité demeure et qui est notre amour, est de confirmer la Parole :
« Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ; personne ne va vers le Père sans passer par moi » (Jean 14, 1-6).

Il n'y a pas de raison, ni fortiori d'amour, à obstruer, à condamner des voies, qui paraîtraient à certains des impasses ou dont les les issues soient incertaines, mais qui demeurent des voies dans lesquelles la voix peut être entendue.

Oui, je l'affirme, si vous dénoncez plus loin ce que je viens de dire, je confirme ce qu'il est dit aujourd'hui :
Matthieu 10,37-42.

Dimanche 2 juillet 2017

TdV Mardi 27 juin 2017

Des personnes de l’Église, et même d'autres pensant qu'elles sont extérieures à celle-ci (qui se définissent ou se qualifient laïques), ont le sentiment que le sens moral s'affadit.
Certaines renoncent à la résignation, quelques unes s'enterrent dans le mutisme, une partie se montrent indifférentes.

La couardise, la crainte, la frilosité, la lâcheté, la peur, la poltronnerie, la timidité auraient cessé d'être de mise ?

Beaucoup le pensent ici et ils se trompent.

Parce que le climat est celui de l'accusation, de la charge, de la délation, du dénigrement, de la dénonciation, de l'inculpation, du mouchardage, de la plainte, de la trahison, de la levée de l'omerta ou de la loi du silence, est-ce pour autant l'amour du prochain qui arrive ?

Ce serait plutôt le temps de la revanche qui perdure.

Ainsi, qui peut donc imaginer que l'ère de Cro-Magnon soit dépassée ?

Qui est convaincu que la loi civile soit suffisante à aider et à élever l'homme ?
Sans doute l'est-ce sous le lorgnon d'un autre Emmanuel.

Que chacun cependant soit hors de la conviction béate ou d'un penchant grégaire.

La charité et la foi elles-mêmes nous ramènent vers l'humanité plus qu'elles nous égarent parmi les hommes.
Si nous entendons seulement la foi par l'adoration et l'amour de Dieu avant celui des hommes, comment pourrions-nous entendre un seul de ses commandements ?
C'est vraiment en portant notre amour parmi les hommes de ce monde que nous pouvons témoigner de notre amour envers sa Création, de fait envers son Créateur.
C'est pourquoi ce commandement, même au sein de l'Ancienne alliance, fut lié en un seul.
C'est pourquoi ce qui est vrai lors du jour du Fils de l'homme l'est aussi et « toujours » en ce jour de l'homme.

Ainsi, y a-t-il lieu de juger, de porter réprimande aujourd'hui plus qu'hier ?

N'ayez donc aucune crainte, ce qui est sacré le restera et ce qui est dorure ou faux-semblant ne peut que se convertir ou se transformer …

Mis à jour le 29 juin 2017

TdV Vendredi 16 juin 2017

Qu'est-ce qui est légitime ?

Il semblerait que parmi les hommes, certains considèrent autrement la légitimité parce qu'ils ont été élevés plus haut par d'autres hommes.
De fait ils s'excluent de voir par cette conformité ou par cette vérité, et en quelque chose, ce qui pourrait s'appliquer à eux.
Il en va ainsi, pour que cela soit clair, des chefs d’État ou des pères de l’Église, ou même du pape François qui fait partie des premiers comme des seconds.
Et nous pouvons comprendre alors, que du haut vers le bas, cette caractéristique se propage en faisant en sorte que même la morale la plus élémentaire soit mise en défaut …

Vous verrez désobligeance à ce que je m'exprime par ces propos comme une critique vive de la hiérarchie, ou pire telle une insubordination.

Aussi, c'est pour reconnaître que l’Église, malgré ses efforts est éloignée de dire et de pratiquer, des pieds à la tête, d'esprit et de cœur, ce que désire Jésus-Christ.

Or très justement et parce que nous avons été baptisés, non pas par l’Église, mais dans la mort du Christ et pour ressusciter par Lui, il est hors de propos qu'il puisse exister un cas d'union illégitime, car nous avons admis notre amour inconditionnel pour Lui, comme pour elle.

De fait, si nous renvoyons l’Église, c'est alors que nous sommes en situation d'adultère ainsi que le mentionne le Christ.
Que le lecteur saisisse toute la portée humaine et spirituelle de notre contradiction.

Est-il nécessaire alors, de considérer les propos de Jean-Paul II ou de notre pape François ?
Oui, peut-être et seulement en réaffirmant qu'il y a « l'exigence » de l'amour ou plutôt besoin d'amour, qu'il nous conduit tous, qu'il est la légitimité de notre vie.

TdV Jeudi 8 juin 2017

En vérité, depuis qu'il n'y a plus lieu de vous questionner ou de questionner autrui sur la manière de faire, l'humanité continue à s'empêcher de faire tout développement durable.

Est-ce seulement dans l'environnement de l'être humain que tout est perturbé ?

Justement, parce que cette question subsiste encore et parmi tous, y compris moi-même, parce que nous excluons d'y apporter une réponse définitive et ferme par nos agissements et nos dires, l'affirmation d'un scribe reste en attente ou en suspens comme des points de suspension de tout ce qui est dit puis écrit dans la Parole du Christ.

Alors, vous recherchez d'autres causes, conséquences ou raisons, sciences pour expliquer ce que vous êtes alors que c'est en vous qu'il faudrait rechercher ce qui atteint et nuit à votre développement.

L'humanité, aujourd'hui, je le dis pour exemple, a bien des difficultés à se considérer d'origine africaine, et elle pourrait trouver une autre source, qu'elle voudrait cacher ou ignorer ce qu'il se passe en Afrique …

Mis à jour le 9 juin 2017

TdV Vendredi 2 juin 2017

La perte du sens et des sens, pour le chemin du sens

Que peut penser celle ou celui qui mène son troupeau de brebis ?
Déjà parmi vous s'élèvent des voix qui murmurent fort qu'il serait improbable qu'il puisse y avoir des femmes qui conduisent les bêtes.

Sous prétexte de tradition, nous nous sommes rangés dans les habitudes en rejetant ce qu'il peut nous arriver de nouveau, largement et du moins pour qu'il demeure extérieur sinon étranger à nous-mêmes.
Or je vous le concède, tout demeure inchangé, sinon par des apparences trompeuses qui nous font voir le monde différemment qu'il était précédemment, du moins parce que nous réagissions et nous répondons encore et toujours incorrectement.

L'espace économique, naturel, social et technologique y sont pour beaucoup, dites-vous.

C'est parce que nous considérons ainsi l'environnement qu'il nous paraît la justification facile de nos actes maladroits, mauvais ou pires encore.
Ce qu'il y aurait de réellement novateur, novatrice si elle pouvait l'être, ce serait notre faculté à nous considérer ouverts, sans idées préconçues, en nous soumettant à la seule loi de nous aimer tous et à réaliser ce qui est utile à tous.

Or en cela nous avons omis de nous y préparer, en être et en avoir.
Certes, des philosophes, des scientifiques ou des religieux, tels que Matthieu Picard, plaident pour l'altruisme.
Mais il y a loin de considérer l'altruisme en soi ou de l'observer telle une utilité, quelle qu'elle soit, matérielle et à but mercantile.

Prétextant nos insuffisances et sous le prétexte de maladies ou des maux qui nous paraissent mal connus ou obscures, nous multiplierons les capteurs comme s'il s’agissait de mieux nous capter nous-mêmes, sonder ce qui est défaillant ou ce qui va défaillir en nos corps machines, plutôt qu'en nos esprits.

De fait, si nous prenons conscience et connaissance, en toute appartenance et égalité, en nos corps et et nos esprits, nous nous révélons devoir apporter témoignage de ce qui est et de ce qui vit, d'une unité qui est au-devant de nous et qui nous anime, et pour laquelle nos réaffirmons constamment « je t'aime , je te suis », parce qu'elle nous aime et nous invite à la suivre.

C'est pourquoi nous chantons un hymne à eux, déclinaison imparfaite et sonore de ce « je t'aime » adressée à lui.

TdV Lundi 29 mai 2017

Pensez-vous que je fasse fi des préceptes, de la philosophie ou des religions des hommes ?

- Non et non pas parce qu'ils sont en-dessous des contingences, de l'idéal que je serais encline à considérer.

En effet, dans ce que nous croyons, Dieu s'est partiellement et le mieux dévoilé aux hommes par le Fils de l'homme ; alors, serait-elle une raison que de porter l'extrémisme au point de rejeter toute humanité ?

Je vous le dis sans détours, ceux qui portent l'anathème ou la discorde au milieu des hommes, sont aussi responsables devant toute autorité qui soit égale ou supérieure à cette condition d'humanité.

TdV Samedi 27 mai 2017

Que demander à Dieu ?
Osons demander le tout ; osons tout demander.

Jésus-Christ nous invite à demander au Père en son nom et nous affirme qu'il nous le donnera.

Alors, n'hésitons plus, demandons lui ce qu'il y a de plus difficile, de plus inattendu, de plus grand …

Demandons au nom de Jésus, d'aimer tous nos Frères. Il nous l'accordera.

Mis à jour le 29 mai 2017

TdV Vendredi 26 mai 2017

S'agit-il encore de parler, ai-je fait remarquer ?
- Non, il s'agit de faire.

Faisons donc plaisir à autrui, à nos Frères, à nos amis.
C'est différent d'une comédie, car une comédie vient aisément tromper. Quelqu'un se tromperait-il en faisant plaisir à son prochain ; en viendrait-il à regretter amèrement d'avoir aidé ou donné ce qu'il avait ?

Ce que j'avais, l'ai-je égaré comme s'il était perdu ou qu'il m'a été retiré ?
Certes non, il est plus utile qu'à moi-même car j'ai déjà trouvé le bonheur qu'en m'en dé-saisissant, il m'ôte la charge de le porter toujours.

Faudrait-il aller chercher toutes les sciences, les philosophies et les spiritualités alors que l'Esprit nous en prodigue l’essentiel et nous offre toute puissance en un mot qui peut tout engendrer, tout générer ?
S'il est nécessaire que d'autres que nous empruntent des voies indirectes, où il leur faut encore chercher ou rechercher, y a-t-il un mal à cela ?

Abstenons-nous et restons humbles, évitant de crier sur les toits que la vérité nous éclaire parce que nous discernons avec beaucoup d'acuité le rayon droit, fort et vivant qui parvient jusqu'à nous.
En effet, les distractions qui atteignent les autres lorsqu'ils utilisent seulement la diffraction de la lumière leur permet de varier leurs approches et leurs entendements …

Rappelons-le, si nous avions quelques devoirs à obtenir un résultat, le temps présent et futur, pour nous comme pour autrui, serait propice à nous rendre disponibles.

Si nous sommes convaincus de cela, alors, prodiguons tout l'espace de celui-ci pour qu'il soit mis au service des autres.

Mis à jour le 29 mai 2017

TdV Dimanche 9 avril 2017

S'il n'y a que des antéchrists, il ne saurait être de post Christ.

C'est pourquoi le message et le témoignage oral disparaîtront pour des paroles qui seront dites exclusivement en actes par ceux qui professent leur foi dans la laïque controverse.

Mis à jour le 11 mai 2017

TdV Samedi 8 avril 2017

Vous ne comprenez donc pas le signe du Christ !

Chaque fois que vous portez atteinte à un homme, vous portez atteinte au corps de l'humanité.

En pensant que le sort de l'humanité soit supérieur à un membre de son corps, qu' « il vaut mieux qu’un seul homme meure pour le peuple, et que l’ensemble de la nation ne périsse pas », vous mutilez une partie du corps de l'humanité.

Ainsi, ce signe du Christ, explicite ou exprimé en parabole, est venu conforter l'expression laïque de notre humanité.

Le jour est venu où seuls les contradicteurs de l'humanité s'opposent à la divinité de son Créateur …

Ils en nient son histoire, son livre et son salut.

Mis à jour le 11 mai 2017

TdV Vendredi 7 avril 2017

Vous venez célébrer le sacrifice et les souffrances, alors que le Salut les a dépassés.

Vous en venez à ne croire que dans les actes des hommes alors que l'acte de Dieu a posé sa croix en ce monde.
Vous ne reconnaissez que la croix, objet de bois, alors que vous omettez le signe de la délivrance, le sujet de chair.
Ce sujet de chair, vous ne voulez ni en faire le Fils de l'homme, ni un enfant de Dieu, ni même ou encore un Frère.

Vous ne voulez pas que quelqu'un dise :
« Vous êtes des dieux »,
ni que cela soit dit des autres, par vous ou par eux.

Pourtant, vous voulez vous proclamer supérieurs sans pour autant reconnaître que « Dieu est avec nous ».

Vous allez au devant d'un homme, de celui qui vient transgresser non seulement la Loi, mais aussi qui trompe certains hommes, en voulant modifier seul les lois, en s'annonçant capables de diriger de nombreux hommes, mais aussi ceux qui ne désireraient pas l'être, ceux qui refusent d'être conduit par lui.

Vous dites : « Ceux-là ont tort ».



Cessez donc vos dires et vos paroles, agissez …
Au moins quelqu'un pourra estimer que vous avez fait quelque chose du bois de la croix pour aider quelqu'un à sortir de sa croix.

Mis à jour le 11 mai 2017

TdV Lundi 3 avril 2017

Sur la pauvreté des lois et règles des hommes

Par des siècles d'évolution, nous avons voulu parfaire nos comportements individuels et sociaux ; cependant, nous devons en convenir, il en ressort peu.

La Loi, nous n'en n'avons cure, parce que, comme elle a été écrite par le doigt de Dieu, nous avons voulu couper la main qui la porte.
Par dureté de cœur, en effet, nous avons inscrit des règles aussi friables et dures que les pierres, autant incandescentes et mortelles que le papier et la cendre, aussi évaporées et virtuelles qu'un enregistrement numérique ...

Du Christ, qui trace sur la terre, mettant des sillons où vont se poser les semences puis les fruits de vie, nous avons abandonné tout pardon, toute miséricorde pour retenir seulement les accusations et les jugements qui nous retournent les uns contre les autres, indéfiniment.

Vient le temps où nous poursuivons l'écriture et les ratures de nos lois alors que nous ne nous engageons en aucune manière à même désirer les pratiquer !
Elles sont là pour enrichir une magistrature indépendante, se servant elle-même, garante de ses omissions, de son seul mur, de ses silences pour faire respecter l'étroitesse de sa condition.
Elle se voudrait juste, de justice et de vérité ; elle n'est qu'opinion, considération hautaine d'événements, de faits et de preuves scientifiques qu'elle estime ; elle est encouragement à sa prostitution, décadence et nuisance à toute civilité ou à tout caractère policé.

Elle en arrive, aux dires de ses plus virulents admirateurs ou détracteurs, à libérer la criminalité pour circonscrire l'innocence …
Elle se jouerait de l'égalité par tous les maux.

Ainsi, ce n'est pas vers elle, qui abjure, appelle ou condamne, que je me tourne.

Il nous reste l'égard des hommes, ce qui les guide sans qu'ils le sachent, l'Esprit qui fait reconnaître à tous, laïcs et religieux, que notre humanité conserve quelque foi, en l'amour et en l'espérance.

Mis à jour le 11 mai 2017

TdV Mercredi 3 mai 2017

Comme nous affirmons, nous qui nous disons chrétiens et croyants, que le Père est un, que le Christ et le Père sont un, nous serait-il difficile de d'affirmer et de dire que sa création, nous-mêmes, sommes un ?



Oui, je le dis, celui qui reconnaît l'Amour du Père voit également l'amour de l'homme, l'amour des hommes, l'amour de leurs amours, parce qu'ils ne font qu'un.

Cela m'a été confié pour que je considère l'autre, le prochain, tel un enfant de Dieu et un Frère, en Jésus-Christ, c'est-à-dire, tourné vers le Père.

Je le proclame, il n'y a plus d'ennemi que celui qui nie Dieu, parce qu'en niant les hommes, il veut s'abstenir de considérer la création et qu'en se soustrayant de celle-ci, il est incapable d'en voir le Créateur.

Publié le 4 mai 2017

TdV Lundi 1er mai 2017

« Heureux ceux qui croient sans avoir vu ».

Eh bien, moi, aujourd'hui, je vous dis en notre temps et pauvrement de cela :
- heureux ceux qui croient sans avoir vu de signe, mais en faisant le signe.

En effet s'il vous faut encore la présence du Christ alors qu'il est ressuscité, qu'il nous a envoyé son Esprit, si vous désirez à nouveau une guérison ou un signe, la nécessité de la guérison ou du signe est déjà en vous, car l'Esprit est en vous.

Comprenons le bien, il nous reste seulement à être, à nous guérir par l'Esprit et le signe, à témoigner de Dieu, du signe et par le signe.

Publié le 4 mai 2017

TdV Samedi 29 avril 2017

« Marche vers la lumière » (pas seulement avec les hommes)

Je vous le dis sans détours pour que toute personne ait une démarche de recherche de Dieu, même et surtout pour ceux qui désirent ignorer ce qui est supérieur, qui se dispensent de ce qui autre que leurs certitudes, comme si celles des autres étaient insensées.

Ce qui apparaît vrai, c'est qu'il est bon et positif, non seulement de prendre en compte ce que nous connaissons mais également ce que nous ignorons.

Aussi, afin d'avoir une approche cohérente, c'est « dire oui et je le fais » à tout ce qui profitable aux hommes et de « dire non et je m'abstiens » à tout ce qui est à éviter, et quand j'ai quelques indétermination ou doute, à progresser, de manière à les effacer.

Ainsi, j'évite toutes les formulations intermédiaires telles que « oui, mais je ne peux pas », … « non, ce n'est pas possible », et toutes les variantes qui sont exposées négativement.

Car toutes ces dernières paroles ont été introduites par les hommes pour mieux cacher leurs pensées.
Bien des paroles que nous pensons être de vérité le sont effectivement mais imparfaitement, parce qu'elles ont été transmises par les hommes.
Je vous dis par là, que même si elles sont fausses, elles sont ou se révéleront de vérité.
Oui, dans tout mensonge ou même dans toute parole négative, il y existe une part de vérité.

C'est l'obscurité qui régnera tant que la lumière demeura occultée.
En vérité, la négation ou nier empêchent la lumière d'apparaître.

Il est vrai et nous pouvons relire :
« … Tout m’a été remis par mon Père ; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler. ».
(Matthieu 11,25-30)

Faisons en sorte que le Fils nous le révèle par l'intercession de son Esprit.
Ou encore, ... évitons d'entrer dans la contradiction du Mauvais.

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