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Rappel : le commentaire ci-dessous engage la seule responsabilité de Hope Her ... et celle de ceux qui désirent lire et comprendre.

Mots-clés : enfant, famille



C'est parce que les hommes, femmes et hommes, viennent complexifier leurs vies qu'ils s'éloignent de leurs conditions d'enfant et divisent leur famille.

C'est aussi en grandissant que les enfants eux-mêmes veulent rendre possible ce que les pères de leurs parents n'ont pas voulu garder.

C'est ainsi que le vœu d'observer la Loi s'est affadi. Vous en trouvez trace dans les textes anciens comme dans les textes modernes.

Ce qui perdure, c'est la Miséricorde de Dieu affirmée dans le Fils de l'homme (Jérémie 31, 29-34, etc. et du cœur d'un enfant il est aisé de le comprendre).
Elle s'étend sur l'enfant, femme ou homme, en une égalité parfaite.

Aussi, puisque nous reconnaissons qu'il est en nous mensonge et tromperie, la Miséricorde de Dieu vient sur nous pour proposer la paix et le pardon.

Il n'y a pas à juger les personnes qui sont et qui vivent infidèles,

  • qui établissent une « sexualité libre » où il y aurait ni de silence ni souffrance que parce que leurs échanges ou relations se résument à ceux de leurs corps, qui pensent que le corps leur appartient,
  • ni celles qui sont adultères, vont et viennent dans la trahison, la tricherie et la tromperie qui sont celles de l'un si elles ne sont celles des deux, ...,
  • ni de celles qui ne résolvent pas leur émotion de source platonique, romantique ou spirituelle, partagent avec d'autres la complicité privilégiée qu'il n'entretiennent plus et appauvrissent leur communication : ni parole, ni prière, ni soin,
  • ni de celles qui combinent activité, excitation, fantasme, secret ou se mêlent le réel et le virtuel qui se manifeste en un jeu du chat et de la souris,
  • ni de celles qui perdent confiance ou qui oublient la cohérence de leurs actes et de leurs paroles partagés,
  • ni de celles qui considèrent qu'aimer soit seulement un commandement et qui restent dans une alliance ancienne que parce qu'ils entretiennent une soumission dans un état dégradé plutôt que de vivre dans leur cœur, leur corps et leur esprit le don qui est offrande à se parfaire,
  • ni de celles qui par le caractère licencieux ou commerçant, de grave inconduite, d'injure ou de faute, font profit d'un corps et oublient le cœur en désacralisant les actes de la pensée pour en faire charité d'argent rendu que pour elles-mêmes, n'épargnant pas celles qu'elles débauchent ou embauchent dans leur travail,
  • ni de celles en violation occasionnelle ou renouvelée, qui entendent s'exclure de leurs devoirs et obligations, sous le prétexte qu'elles en acquièrent les droits que parce qu'elles constatent ou supposent qu'ils n'ont pas été observés des autres,
  • ni de celles qui ont ou qui provoquent l'intention, indépendamment du résultat, qui suggèrent la méfiance, à dessein de corrompre ou d'entretenir le doute. Par violence ou par fraude, ils reportent ce qu'ils ne sont ou ne veulent pas convenir d'eux-mêmes,
  • ni de celles qui empruntent à autrui ce que la nature ne peut leur offrir en partage et par un subterfuge désirent acquérir un don qu'ils ont été incapables de recevoir,
  • ni de celles qui abandonnent, ou font par là grief, ceux qu'ils ont un temps chéri ou qu'ils ont soignés. Ils prétendent qu'ils ne peuvent assumer la douleur commune ou personnelle de le voir peiné, souffrant, dans l'attente d'une mort qu'ils souhaitent à autrui comme ils la veulent pour eux-mêmes. Oui, de cela nous pouvons affirmer, ainsi que le Saint-Père, qu'il s'agit d'une euthanasie, de divorce de vie, ...
  • ni de celles qui écartent, méprisent, tardent ou taisent par leurs volontés d'adultes à accueillir l'amour de l'enfant,

et pour être sauvés parmi les infidèles, dans la Miséricorde fidèle du Seigneur, je suis de ces personnes, en acte, péché et responsable.

Références croisées des noms figurant dans les textes :

Table des matières TeM

Autres sources ou corrélats : Amour, Joie