À Madame (élément supprimé : La garde des Sceaux),
Pour Madame Christiane Taubira

objet : du manquement de la civilité à celle de la nationalité

Chère Madame (élément supprimé : El Garde les Sceaux),

Je vous prierai de me lire jusqu'en mes salutations.

Vous savez mieux que moi ce que nous devons garder de notre Constitution pour parfaire les desseins entiers de la Nation. Chacun parmi nous désire conserver ce qui semble suranné en ajoutant un travail qui soit de cette année.

Ce qui nous préoccupe et dont nous avons l'esquisse n'échappe pas à cela, pour l'un et pour l'autre en un point, solution, il faut qu'en l’État, pour tous et bien il finisse.

Si nous considérons les différents avis et conseils, le problème, sinon son aboutissement n'est pas distingué d'une manière pareille.

Je considérerais en acte personnel de manquement ce que nous avons difficulté publique à considérer de tous nos errements.
Si une personne entend, suscite et provoque sa déchéance, il est hors de notre esprit public de répondre par condamnation et par terreur avec plus d'aisance.
Si sa faute est, elle est aussi en son auteur responsabilité et il est responsable de ses conséquences.

Ainsi de ses origines et de ses volontés, cette personne doit observer ce qu'elle peut désormais ; nos usages confirment clairement ce que nous voulons lui signifier.

Parmi les cas qui se présentent, celui d'une double nationalité, comme nous (élément ajouté, corrigé) n'aurions pas le souhait que la personne quitte le pays de France (et ce vœu semblerait encore pour certains de notre administration à être défini et validé), la réduction de sa liberté se substituerait à celle d'une déchéance.

Il paraîtrait nécessaire, avec l'accord du pays de sa nationalité première, qu'elle abandonne sa première nationalité. Dans le cas d'un désagrément, elle conserverait seule notre nationalité. Dans ces deux conclusions, elle se soumettrait désormais à nos lois.

Dans le cas où cette personne souhaiterait perdre notre nationalité et avec l'accord de son pays, pair et père, libre de notre pays, elle bénéficierait de la seule nationalité et du retour dans son pays d'origine (dans la mesure où celui-ci possède des lois qui ne contredisent pas les nôtres, peine de mort par exemple).
Dans le cas d'empêchement, de refus du pays ou de réserves légales auparavant citées et exposées, elle conserverait uniquement notre nationalité et sa nationalité première serait nulle car opposée.

Dans les possibilités réduites de son choix, selon la gravité de ce que la personne aurait fait auparavant en nos contrés, des mesures proportionnelles seraient envisagées afin que des exclusions soient mises en place à sa liberté de circuler à nouveau sur nos territoires ou que dans le pays avec lequel un accord aurait été réalisé, soient respectées les conclusions qui auraient été arrêtées.

L'extension de ce principe brièvement exposé, qui diffère peu dans l'idée de ce qui réside présentement, conviendrait aux dispositifs de chacun des pays d'Europe et à son développement.
Nous pouvons observer que nous possédons chez nous tous une deuxième nationalité explicite et implicite, inhérente, européenne, que nous souhaitons animer et nous ne voulons soustraire rien de notre identité première si nos volontés nous conduisent à demeurer libres et responsables.

Chère Madame (élément supprimé : El garde les Sceaux),
comme j'ai écouté et perçu ce que vous entendiez vous-même, Veuillez je vous prie accepter ce que j'eusse aimé vous dire de vive voix, par le seul signe même, celui d'exprimer simplement, au moins une fois, une reconnaissance en des salutations.

Marya Deslas sur Hope Her - Mis à jour le 27 janvier 2016