CdC Vendredi 19 février 2016
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Mots-clés : parenté
Tout comme vous, je suis dans la tristesse quand un membre de ma famille agit incorrectement ou profère des paroles qui nous paraissent ou sont antagonistes, parce que le Seigneur nous dit que nous sommes tous de la même parenté.
De mon cœur et de mon esprit j'essaie en toute chose d'éviter de l'admonester publiquement, de le juger ou de le condamner. Je viens, comme il est dit :
« … De même c'est la volonté de votre Père qui est dans les cieux, qu'il ne se perde pas un seul de ces petits. Si ton frère a péché contre toi, va et reprends-le entre toi et lui seul; s'il t'écoute, tu auras gagné ton frère. S'il ne t'écoute pas, prends avec toi encore une ou deux personnes, afin que toute cause se décide sur la parole de deux ou trois témoins. S'il ne les écoute pas, dis-le à l'Église; et s'il n'écoute pas non plus l'Église, qu'il soit pour toi comme un païen et un publicain. ». (Mtt 18, 14-17)
S'il y a d'abord et en moi l'idée de prendre le Christ ou ses paroles à témoin, je brûle une étape car je me fâche sans avoir tenté de dire à la personne en tête-à-tête ce que j'avais sur le cœur et dans l'esprit.
De plus cela m'épargne d'examiner avec lui le contexte et l'étendue de notre désaccord.
Se peut-il que je me trompe moi-même, que je me sois trompé moi-même ?
Je vous le dis, parce que le plus grand parmi nous le révèle, nous sommes comme le Christ dans le monde mais pas de ce monde, le chemin de conversion est si large qu'il embrasse toutes les Nations sur la même route.
C'est une grâce, pour moi qui suis serviteur, d'être avec vous dans le Christ, afin que personne de notre famille, pas même mon père, n'y puisse trébucher.
Références croisées des noms figurant dans les textes :
Autres sources ou corrélats :