Ni le Défenseur des droits ni qui que ce soit ne semble se préoccuper de l'absurdité ou des paradoxes dans lesquelles sont désormais retranchées les lois.
Elles seraient contradictoires et continueraient d'être opérantes.
Aussi, la qualité première de toute loi, celle d'être légale, perdrait de sa consistance.

En témoigne notre incapacité à alerter de ce qui paraît illégal puisqu'il est publié et reconnu, sans que nous ne le sachions pourquoi, comme une exception aux lois, de fait parfaitement admissible et donc légal.

Prenons un exemple qui ne va pas frapper les esprits tellement il se révèle incongru.

C'est celui du recrutement d'astronautes.
La clinique spatiale de Toulouse recruterait, par l'intermédiaire de la société Medes, des candidat(e)s volontaires pour rester alité deux mois.
Mais sous certaines conditions (Cf. article de topsante.com) :

ALERTE AU DÉFENSEUR DES DROITS

Voilà une annonce qui nous paraît tout à fait admissible et légale ; l'est-ce réellement ?

Ou la société Medes et la clinique spatiale ignorent les lois, ou elles les respectent aux sues et aux vues de tous.

S'agit-il d'une embauche, s'agirait-il d'une discrimination à l'embauche ?

Je laisse au Défenseur des droits, nommément à Monsieur Jacques Toubon et à son équipe, le soin de poursuivre.

Cet article vaut donc alerte.

Je sollicite toute protection qui puisse m'être accordée selon ... les lois.

Ajout : PREMIÈRE LOI :
« Lorsqu'il n'existe pas de légalité clairement définie, il est du ressort du monde, du pays, de la société, du groupe ou de la personne de se référer à l'humanité, seule bienveillance permettant d'observer la dignité et le respect des considérations extérieures à ses propres intérêts ».