Nous pouvons être en accord ou rejeter des valeurs.

Mais l'étape, surtout dans sa phase d'absence de définition, d’indétermination, d’adolescence, est une étape de transgression.

Qu'il en soit d’Emmanuel Macron (39 ans) ou de Deborah de Robertis (33 ans), ils se manifestent tous les deux, sous des registres différents, tels des êtres de transgression, ce sont des transgresseurs.

Emmanuel Macron @ Europe 1

Emmanuel Macron dit "Le Pinocchio" @ Europe 1

Deborah de Robertis @ performanceartintheworld.tumblr.com - « L'Origine du monde » de Gustave Courbet, Musée d'Orsay

et Deborah de Robertis appelée "La Chatounette" @ performanceartintheworld.tumblr.com - « L'Origine du monde » de Gustave Courbet, Musée d'Orsay

Il est aisé de le reconnaître, si et très justement, nous pourrions, non pas admettre, mais participer nous-mêmes à notre période de transgression, où tout ne serait pas à réinventer, où il n'y aurait pas à justifier qu'une valeur en vaudrait bien une autre, mais en définitive que nous aurions aussi nous-mêmes toute latitude à faire un choix entre une évolution à moitié distincte et une décadence, une vieillesse dont il faudrait réformer les principes.

C'est ce que font Emmanuel et Deborah ; ce sont des transgresseurs.

En effet, s'ils se donnent la liberté de l'être, pourquoi ne nous permettrions pas nous-mêmes de les transgresser, de leur imposer nos propres transgressions ?

Il est bien d'évidence qu'il ne faille pas les laisser aller au-delà en nous imposant ce que nous ne désirions pas.
Ils monopolisent la forme, nous ne saurions leur laisser la liberté d'aller plus loin, de leur marche ou leur démarche statique.

Il nous faut leur montrer que nous savons mieux qu'eux, transgresser sur le fond !