Avoir la confiance du peuple, le représenter consiste à en comprendre ses qualités et ses défauts mais plus encore à en être, à en incarner sa dignité et sa prétention.

L'ambition, l'orgueil sont dépassés par l'incompétence. La pauvreté d'action de solidarité et l'absence de perspective conduisent à l'indigence de l'immobilisme et de l'enfermement.

Dans le contexte où l'inexistence de politique familiale, de création d'activité, de crédit en la monnaie, de mesure de sécurité, de solution humaine concernant l'immigration, de lutte contre la délinquance, etc. , il y a usure des représentants comme des acteurs. Nous nous trouvons devant la carence de nos institutions, dans la faillite de notre système, dans le refus de la solidarité et de notre diversité.

Alors comment restaurer la confiance ; plus simplement comment trouver une voie à notre liberté ?.

A l'inverse de ce que certains pourraient penser, toute gestion est inefficace. Qui songerait à gérer les hommes, gouvernement ou industrie, irait à la décroissance s'il songe un moment à se séparer de leurs confiances, de leurs accords.

Retrouver cet accord, restaurer la confiance sont les seules voies de liberté. Nous savons tous comment procéder. Nous allons encore y surseoir. Administrer la confiance ?