IL Y A DES PINGOUINS

Homosexualité déclarée animale

Les êtres humains ne seraient pas les « seuls animaux » qui présenteraient un comportement « dysexuel ». @ globalanimal.org

Nous laissons au Yale Scientific Magazine l'entière responsabilité de son apport scientifique et journalistique (Cf. page suivante - traduction alternative), sa vision pour le moins anthropomorphique, notamment dans sa considération à comparer l'être humain, possesseur de pensée et de raison, à l'animal, qui, selon l'acceptation jusqu'à maintenant courante en serait dépourvu, et des comportements sociaux, en particulier celui du divorce qui à notre connaissance, n'aurait pas d'équivalent dans le règne animal ( laissant supposer l'existence logique d'un mariage ou d'une union contractualisée ou formalisée ) et qui serait somme toute que la « rupture de l'exposition de comportements sexuels déclarés ».

Nous laissons à votre entendement la lecture de ce réductionnisme du comportement de « l'animal humain » !

Nous le rappelons, « comparaison n'est pas raison ». De plus, notre connaissance ou notre science se mesure, non dans l'affirmation de fait constaté au présent, mais dans l'hypothèse d'une observation au travers des âges, nécessairement sujette à une interprétation au conditionnel.

En outre, considérer des animaux femelles et mâles comme possédant des propriétés identiques, quelles soient comportementales, sexuelles ou autres est une erreur trop commune pour être scientifique.

Pour ce qui est de notre approche, nous doutons de la réalité, car elle est prisme d'une virtualité captée en un lieu, en un temps, par les moyens disponibles de nos cinq sens que nous possédons de fait et dans leur état, augmentés de ceux que nous avons développé techniquement pour les parfaire.

S'il est une exposition claire et nette de « supériorité » et à nulle autre pareille qui différencie le règne humain de celui de l'animal, c'est la corbeille situé à côté de ce bureau, le lieu d'aisance techniquement dévolu au rejet de ce qui a été digéré et n'est pas utile plus longtemps à l'organisme, animal peut-être ou humain, et qui vient à propos, qui permet pour la santé et le bienfait du jour d'exprimer une bonne et humaine conclusion ! Nous exprimons un heureux souhait : au Magazine son recyclage ...

Cf. Yale Scientific Magazine : http://www.yalescientific.org/2012/03/do-animals-exhibit-homosexuality/

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Traduction alternative :

Les animaux font-ils état d'homosexualité ? Arash Fereydooni, 14 Mars 14 2012

Des recherches récentes ont montré que le comportement homosexuel chez les animaux peut être beaucoup plus fréquent qu'on ne le pensait. Bien que la théorie de Darwin sur la sélection naturelle prédit un désavantage évolutif pour les animaux qui ne parviennent pas à transmettre leurs traits à travers la reproduction avec le sexe opposé, la validité de cette partie de sa théorie a été remise en question par les découvertes du comportement homosexuel dans plus de 10% des espèces à travers le monde. Actuellement, le comportement homosexuel a été documentée dans plus de 450 espèces animales différentes dans le monde. Par exemple, les observations indiquent que Humboldt, King, Gentoo, et Adélie de même sexe s'engagent dans des rituels d'accouplement tels que l'enlacement de leurs cous et une vocalise des uns vers les autres. En outre, les girafes mâles ont également été observés dans un comportement homosexuel en frottant leurs cous contre les corps de ceux des autres, en ignorant les femelles. Un autre exemple est le cas des lézards du genre Teiidae, qui peuvent copuler ensemble avec des congénères masculins et féminins.

Les biologistes Nathan W. Bailey et Marlene Zuk de l'Université de Californie, Riverside ont étudié les conséquences de l'évolution et les implications du comportement homosexuel, et leurs résultats démontrent les avantages de ce qui semble être un paradoxe évolutif. Par exemple, les études de l'albatros de Laysan montrent que l'appariement femelle-femelle peut améliorer la condition physique en profitant de l'excès de femelles et la pénurie de mâles dans la population, fournissant des soins de qualité supérieure pour leur progéniture. En outre, l'appariement de même sexe chez de nombreuses espèces réduit effectivement la probabilité de divorce et limite la pression sur le sexe opposé en permettant aux membres d'exposer une plus grande souplesse à former des partenariats, qui à son tour renforce les liens sociaux et réduit la compétition. Ainsi, non seulement les animaux font état d'homosexualité, mais l'existence de ce comportement est très répandu et peut aussi conférer certains avantages évolutifs.