« On ne peut brader l'esprit de la démocratie pour une histoire de gros sous ».

Les pays d'Europe, tout comme les autres pays du monde, n'ont de vision d'avenir concernant ce dernier.

Il faut bien s'en remettre à la réalité, ici et là, depuis des années, ce qui mérite attention sont économie et finance.

Encart : /// en France , par exemple, nous trouvons 17 ministères, le premier ministère inclus. Dans ceux-ci, quelques soient les rapprochements que nous puissions faire, il n'est nulle question d'innovation, de promotion du futur ni même de nouvelles perspectives pour la démocratie. Tout au plus le développement durable et l’industrie du numérique sembleraient prospectifs mais cela n'est pas explicite.

Alors, nous pouvons raisonnablement douter de l'affirmation des slogans « le changement c'est maintenant » ­ « Pour que ça change fort », et des autres partis qui ont chanté « Quand c'est vert, on avance », « Ensemble tout devient possible », etc. tous ces blablis blablas. ///

Il n'est pas inutile de critiquer, non pour médire des uns et des autres, nous sommes à côté de tous, mais analyser, non le pourquoi, mais la conséquence, et de trouver une évolution favorable.

Si nous n'avançons pas, ce n'est pas parce que nous ne marchons pas mais parce que nous ignorons où nous devons aller. De la sorte, nous tournons en rond sur nous-mêmes.

Certains me rétorqueront « à quoi bon, la Terre l'a toujours fait ainsi et cela convient à notre richesse et à notre suffisance ». Mais ils veulent exclure le fait que cela ne peut convenir à tous ceux qui se dérangent pour entamer un chemin de plus grande liberté, de passer de l'état de survie à un meilleur statut de vie.

De la sorte, la démocratie, si elle est un rêve pour ceux qui l'ont proclamé hier, et qui ne peuvent la défendre car elle est considérée d'un romantisme passéiste, se transforme simplement en une longue marche du printemps pour avoir accès à un été paisible. Ce dernier pourrait alors leur permettre de se remettre à l'ouvrage pour des saisons espérées plus favorables.

Nous côtoyons chez ces gens que nous « accueillons parfois avec difficulté » tous les nouveaux espoirs éprouvés lors de cette « transhumance ».
Aux richesses que nous avons, ils apportent l'esprit que nous avons perdu, ou le mauvais esprit qui est ici affiché !