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Rappel : le commentaire ci-dessous engage la seule responsabilité de Hope Her ... et celle de ceux qui désirent lire et comprendre.

Mots-clés : justice, foi

Aujourd'hui ce ne sont pas les juifs, ni même les chrétiens, ni même ceux d'une autre religion ou ceux qui n'en ont pas, qui traversent les mers et qui veulent devenir libres, non pas grâce à nous ou à cause de nous, mais parce que tout comme nous ils désirent être libérés.

Ils se réfugient là où ils peuvent trouver de l'eau et des plaines verdoyantes.

Ils sont comme un troupeau qui n'a plus de berger. Ils ne le retrouvent pas. Ils viennent ici rassembler leurs dernières forces, devant les hommes et les lois, afin de pouvoir vivre encore.
À leurs demandes, prières ou supplications, il n'y a personne qui ne fasse en sorte pour qu'ils s'arrêtent d'en ajouter.
Il n'y a que leur dieu, Dieu de tous, pour les écouter. Car la laïcité de tous ne peut encore comprendre.

Les grands eux-mêmes qui dirigent les peuples, tâchent de faire tout pour qu'ils cessent d'arriver plus encore …
Et ils mettent en place un accueil qu'ils n'auraient pas mis précédemment pour ceux qui sont ici dans la misère.

Parmi tous les humains, il en est qui proposent l'inhumanité.
Ils n'ont même jamais pardonné à la nature et ne font aucune différence entre une pierre, une fleur ou un être vivant.
Ils ne veulent entendre que la destruction car ils n'ont jamais essayé de bâtir.
Bâtir, c'est déjà rejeter leur incompétence qui n'est que de savoir détruire.

Ils propagent la violence et tuent sans distinction, non seulement les enfants, les femmes, les vieillards mais aussi toute personne qui se trouve présente ici et par hasard.
Ils entendent tuer pour porter la punition sur tous, et nient toutes les valeurs qui existaient ou existent ; ils ne savent prétendre en suggérer d'autres. 




Le droit régalien, celui de la laïcité, n'a rien à leur opposer que de se taire ou s'indigner, de mettre des frontières, des polices et des soldats, de restaurer l'état d'urgence ou de se défendre en l'état de guerre. (texte modifié) 

Car ce droit est soit de République, soit autre, de démocratie indirecte ; le partage du pouvoir s'affirme en des politiques diverses et multiples. 




Alors, ce qui s'impose c'est une union. 

En en tous pays, en tous temps, elle ne peut être qu'union et guerre pour détruire les bombes qui peuvent encore être lancées. 




Ensuite, peut-être viendra ce que tous nous aurions dû conserver. 

À l'inhumanité en premier, de devoir se pardonner à elle-même, en vivant à nouveau en l'humanité. 

Puis à l'humanité de pardonner ce qu'elle est incapable pour l'instant d'annoncer …




De la Miséricorde, nous n'avons voulu la justice, alors elle ne nous juge pas, vient et attend jusqu'à ce que nous ayons foi en notre propre humanité et corps, ... puis en Celui de son Esprit. 




Références croisées des noms figurant dans les textes : 




Table des matières TeM




Autres sources ou corrélats : Amour, Joie