Puisque vous êtes conduit à n'observer réellement que l'état de mon véhicule et non le comportement que j'ai adopté en le conduisant, ni même ma présence sur la photographie, ce qui est entre crochets et ou , en rouge ne devrait pas être logiquement lu ou relevé par le moyen qui nous permet de constater le réel : notre radar.

[ Pour le cas de l'infraction présente, que vous m’attribueriez, ou plutôt selon les dires qui pourraient être les vôtres, que vous attribuez à mon véhicule, je viens prêter serment :

  • que je conduisais un véhicule dont je suis propriétaire,
  • que j'ai respecté la vitesse signalée de 50 dans la chicane où se trouve des plots de travaux,
  • que j'ai vu le radar de contrôle de vitesse,
  • que j'ai également vu le panneau à moitié plié de fin de limitation de vitesse,
  • que j'ai également constaté dans mes rétroviseurs que le trafic tant en aval qu'en amont était dégagé,
  • que j'avais connaissance de la vitesse maximale à adopter de 70 après le panneau de limitation de vitesse.

... Je reste choqué(e), non par l'aveuglement qu'a procuré le flash du radar, mais par l'effet qu'il continue de provoquer sur mon système d'analyse et de navigation.
Je vous prie de ne pas mettre en défaut l'entretien ni les qualités de mon véhicule.
La déstabilisation occasionnée, qui aurait pu être préjudiciable alors aux conducteurs d'autres véhicules dans le trafic, m'incite à vous faire part de ce qui suit, non pas pour qu'il me soit rendue justice, mais pour qu'elles soient justes dans l'avenir envers ces conducteurs qui pourraient être accidentés, choqués ou, en témoignage de leurs familles, décédés. ]

Pourquoi le choix de radars de prise avant d'un véhicule est-il contestable ?

Le radar de prise de vue par l'avant est destiné à identifier [ le conducteur/trice et ] son véhicule. Le seul contrôle radar pouvant normalement être autorisé et juste, eu égard de contingences autres que celles du Code de la route, est de vérifier l'état du véhicule, notamment sa vitesse, dans un contexte de circulation donné notre radar est au présent incapab....

Le radar de prise avant établit une mesure de vitesse ne tenant pas compte de ce qui se trouve derrière lui, a fortiori de ce qui est immédiatement à côté de la position que nous pouvons constaté de notre radar. À vue du conducteur/trice, à l'avant du véhicule, il peut y avoir, après ou à côté du radar, la signalisation d'un panneau de vitesse indiquant une fin de limitation de vitesse ou un panneau de vitesse égale, inférieure, supérieure à celle de la limitation qui a été précédemment signalée. Dans le premier cas, le panneau confirme un rappel de la limitation de vitesse. Dans les deux derniers cas, le panneau invalide les vitesse précédentes.

Ainsi, le contrôle devient par le fait sujet à interprétation et ne pourrait constituer éventuelle preuve que d'une diminution ou d'une reprise de vitesse, c'est-à-dire d'une variation de vitesse. Cette diminution ou reprise de vitesse, si elle est « anticipée » par le conducteur/trice du véhicule, peut être en conformité, tant par sécurité que par respect du Code de la route, au moment où le véhicule atteint le seuil où se trouve le radar et le panneau de signalisation.

Ainsi, la mise en place d'un radar de prise par l'avant, s'il n'est pas adjoint d'un radar de prise de vue par l'arrière, est de nature, non pas à contrôler la vitesse des véhicules à un point P, mais est un contrôle anticipé de la vitesse que le véhicule pourrait avoir au point P du radar.
Il majeure celle-ci si un panneau à ce point ou en amont (à côté ou derrière le radar) indique une vitesse supérieure à la précédente. Il minore celle-ci si un panneau situé à ce point ou en amont (à côté ou derrière le radar) indique une vitesse inférieure à la précédente.
Il ne mesure que la variable d'ajustement de vitesse que le véhicule atteint par commandes du conducteur/trice (dans ce cas et pour exemple, si la vitesse doit être 50 au contrôle, il faudrait afficher de 40 à 45 avant contrôle ou adopter votre méthode actuelle consistant à fournir une fourchette de tolérance, qui a l'inconvénient de ne pas être en Europe ou internationalement établie). … Une variation de vitesse est li...

Conclusion :

Pour qu'une photo prise par notre radar soit incontestable, outre la qualité et l'exploitation technique de celle-ci, il est nécessaire et suffisant :

ce qui permet de constituer le manquement à la règle du Code de la route et le motif de verbalisation qui en découle.

Or, il semblerait que nous adoptons un autre usage faisant en sorte qu'il soit contesté.

La première conséquence est que notre radar est détourné de sa véritable utilisation ; ce qui constitue notre paradoxe radicalement accepté, que je, conducteur/trice n'accep....

#FLAG

« La France doit regarder en avant et non toujours se faire sanctionner par l'arrière SIC »