La Réforme du dialogue social dans l'entreprise, s'il y en a une, doit considérer d'une part l'ensemble de l'entreprise qui constitue une entité ou un tout et d'autre part chaque personne qui y exerce une activité, au profit de l'entreprise et à son profit.

De fait, établir ou favoriser l'émergence d'un sous-ensemble ou de groupements au sein de l'entreprise est de nature à créer un contre pouvoir. Ce contre pouvoir appelé confédération ou syndicat (liens internes ou externes etc.), selon la nature qu'il peut prendre, peut s'opposer non seulement à la stratégie de l'entreprise, mais également à la liberté ou à la volonté des personnes de l'entreprise.

Conséquemment et eu égard à la considération et à la lecture des événements historiques qui ont eu lieu en France, les deux principes fondamentaux qui doivent être retenus pour un fonctionnement adéquat sont l'activité (déclinée en activité de dialogue – communication – et activité de réalisation) et la liberté d'expression.

La remise en cause en parties ou en tout de la loi 17 août 2015 relative au dialogue social et à l'emploi ( 62 articles https://www.legifrance.gouv.fr/eli/loi/2015/8/17/ETSX1508596L/jo/texte ) s'avère à l'évidence nécessaire et elle est, (LOI n° 2015-994 - NOR: ETSX1508596L - JORF n°0189 du 18 août 2015), à la vue des circonstances, abrogée.

Pour valoir ce que de droit

Europe, LEF