DEVOIR, ESPOIR ET POUVOIR

DE L'ACQUIS LINGUISTIQUE (1)

Nous avons fait remarquer qu'il est nécessaire, tant au point de vue civil que militaire, d'améliorer la communication entre les hommes.

JE FAIS PARLER MON ARME

C'est possible de le réaliser en Europe par deux politiques pour concourir à développer de nouveaux moyens.

La première (1), coûteuse, gage de pérennité et traditionnelle, la plus difficile à instaurer et à conserver, est de dispenser la connaissance de trois, voir quatre autres langues différentes d'une langue maternelle, pour chacun et pour tous les européens.
Nous avons pu constater que cela est rarement la conséquence d'un apprentissage dans le cadre étroit d'un système d'éducation national scolaire, a fortiori universitaire, car ce dernier est trop tardif.

Si le cadre existe effectivement, celui de l'Europe, tel qu'il a été dit, et où existent ce que certains appellent doctement « principes directeurs » ce qui relève plus d'une idéologie de la contrainte et du souhait qu'à proprement parlé de la liberté d'aller et de penser, ce qui constitue justement la nature primitive de la communication.

De fait et en premier lieu, il s'agirait plutôt d'améliorer l'aspiration et la motivation à être et à voir différemment que de vouloir imposer une amélioration des compétences, fut-elle linguistique.

Lorsque nous envisageons une priorité, est-ce - une règle qu'il faille mettre en exergue et en plus - ou - une fluidité ou une mobilité qu'il s'agit de favoriser ?

Ainsi donc ces dernières ne sont pas les objectifs à atteindre mais les prérequis qui conditionnent ce qui est faisable et souhaitable.

La vision française marche (avec ? et ) sur la tête ; encore faut-il le reconnaître dans la souffrance de ses pieds !

L'exposé rapide de la politique nationale française en dit finalement long sur les écueils qu'elle laisse entrevoir.

Nous sommes désolés de ne devoir, de n'espérer ou de ne pouvoir partager ce lien d'ampoule plutôt que d'éclairage, dans une quelconque autre langue, avec Facebook, avec Twitter, par courriel ou tout autre épingle.

Ces images ou liens sont indisponibles car nous avons pour mission de corriger d'abord notre propre handicap ou invalidité.

La solution, s'il en est une autre et acceptée, est donc d'acquérir différemment (2).
S'il est effectivement impossible de réaliser la première solution de l'intérieur du pays de France, nous devons, espérons et pouvons en initier une autre en son extérieur.

C'est ce qui s'appelle toujours et encore : migrer.

La France nous y contraint, nous y souscrivons.