Je rejoins les quelques écrivains ou penseurs qui ont contribué à l'avancement de l'humanité en ayant une vision sur la vie.

En cela je pourrais les citer pour affirmer que je serais à l'image de ce qu'ils sont (ont été ou seront, je m’évade des considérations d'espace et de temps) ) car je les paraphrase ou les plagie. Et beaucoup de lecteurs iront alors chercher ailleurs les sources et traces plus véridiques et se passer d'un « miroir » inutile.

Mais un des principes, qui n'est pour moi ni une loi ni une règle mais simplement une explication, un manuel de fonctionnement, précise que si tout demeure semblable, il ne se reproduit pas nécessairement à l'identique, dans une égalité parfaite.

De fait et de juste à propos, je considère autrui, mon semblable ou plus exactement mes semblables, comme je serais moi-même l'unité de ce qu'ils sont.

Ôtez-vous de l'idée que je sois une personne orgueilleuse ou narcissique, et pire encore que je rejoigne une idéologie ou une religion ; c'est tout simplement mon humble croyance et je m'exclue de pouvoir vivre sans vous tous. C'est mon opinion.

S'il vous plaît de la considérer déiste ou universelle, en rapprochement des religions qui nous sont parvenues pour être et se révéler authentiques, je vous dirais « à Dieu plaise », qu'il en soit ainsi et je serais une personne heureuse que vous m'estimiez et me reconnaissiez telle une amie ou un membre de votre famille.

De la sorte, je suis entrée en reconnaissance et celle-ci nous procure une conscience, au moins celle de partager notre présence.

En conséquence de quoi, grâce à vous, je reçois le privilège d'élever la/ma connaissance à cette notion étrange et intrinsèque de l'esprit qu'est ou que serait la/ma conscience.

Et plus conséquemment encore, le premier ennemie de la conscience n'est pas l’ignorance, mais l'illusion de la conscience (extension de la citation de Stephen #Hawking).

P.S. : certains de mes auteurs, écrivains, initiateurs, lecteurs pourront désormais et peut-être comprendre pourquoi la langue de William Shakespeare sonne si douce à mes oreilles.

... Oui, puisque vous me l'avez lue, je me plais à la réciter.