Qu'est-ce qui est légitime ?

Il semblerait que parmi les hommes, certains considèrent autrement la légitimité parce qu'ils ont été élevés plus haut par d'autres hommes.
De fait ils s'excluent de voir par cette conformité ou par cette vérité, et en quelque chose, ce qui pourrait s'appliquer à eux.
Il en va ainsi, pour que cela soit clair, des chefs d’État ou des pères de l’Église, ou même du pape François qui fait partie des premiers comme des seconds.
Et nous pouvons comprendre alors, que du haut vers le bas, cette caractéristique se propage en faisant en sorte que même la morale la plus élémentaire soit mise en défaut …

Vous verrez désobligeance à ce que je m'exprime par ces propos comme une critique vive de la hiérarchie, ou pire telle une insubordination.

Aussi, c'est pour reconnaître que l’Église, malgré ses efforts est éloignée de dire et de pratiquer, des pieds à la tête, d'esprit et de cœur, ce que désire Jésus-Christ.

Or très justement et parce que nous avons été baptisés, non pas par l’Église, mais dans la mort du Christ et pour ressusciter par Lui, il est hors de propos qu'il puisse exister un cas d'union illégitime, car nous avons admis notre amour inconditionnel pour Lui, comme pour elle.

De fait, si nous renvoyons l’Église, c'est alors que nous sommes en situation d'adultère ainsi que le mentionne le Christ.
Que le lecteur saisisse toute la portée humaine et spirituelle de notre contradiction.

Est-il nécessaire alors, de considérer les propos de Jean-Paul II ou de notre pape François ?
Oui, peut-être et seulement en réaffirmant qu'il y a « l'exigence » de l'amour ou plutôt besoin d'amour, qu'il nous conduit tous, qu'il est la légitimité de notre vie.