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TdV Jeudi 8 juin 2017

En vérité, depuis qu'il n'y a plus lieu de vous questionner ou de questionner autrui sur la manière de faire, l'humanité continue à s'empêcher de faire tout développement durable.

Est-ce seulement dans l'environnement de l'être humain que tout est perturbé ?

Justement, parce que cette question subsiste encore et parmi tous, y compris moi-même, parce que nous excluons d'y apporter une réponse définitive et ferme par nos agissements et nos dires, l'affirmation d'un scribe reste en attente ou en suspens comme des points de suspension de tout ce qui est dit puis écrit dans la Parole du Christ.

Alors, vous recherchez d'autres causes, conséquences ou raisons, sciences pour expliquer ce que vous êtes alors que c'est en vous qu'il faudrait rechercher ce qui atteint et nuit à votre développement.

L'humanité, aujourd'hui, je le dis pour exemple, a bien des difficultés à se considérer d'origine africaine, et elle pourrait trouver une autre source, qu'elle voudrait cacher ou ignorer ce qu'il se passe en Afrique …

Mis à jour le 9 juin 2017

BREXIT OU NON, IL Y A LE TERRORISME

Nous ignorons à qui profiterait un terrorisme sinon à ce qui propagerait la mort, cependant ...

BREXIT OU NON, IL Y A LE TERRORISME

L'autre cher pays de ma jeunesse vient d'essuyer dans le chagrin les pires ignominies d'individus apportant destruction à la civilisation.

Nous pouvons craindre que d'autres déracinés s'en prennent encore et toujours à des personnes innocentes lors de leurs activités de loisirs, publiques où elles se seraient rassemblées.

Ainsi, les seuls rassemblements qui nous permettent de nous rejoindre massivement, en élevant mieux que des protestations ou des vengeances, sont ce lieu que nous allons défendre car c'est le premier lieu d'où proviennent ces attaques anonymes, couardes, déloyales, félonnes, mortelles, perfides, poltronnes, scélérates … Nous ignorons quels peuvent être les vocables que nous pourrions émettre, les uns et les autres, dans toutes nos langues.

Nous avons tous compris ou entendu nos cris et nos détresses pour que nous soyons résolus, chacun et pour tous, de porter entrave à ces « sources » détraquées et polluées, dans la résolution de nos cœurs et de nos esprits.

Les attentats sont hors de nous atteindre plus longtemps. Nous sommes hors d'être dans une attente ; notre unité, la seule et unique provient de notre détermination à agir collectivement et personnellement dans une lutte qui n'aura de cesse que de préserver notre survie et nos vies, nos civilisations humaines incarnées dans nous tous.

Si ces quelques individus, au regard des milliards de personnes se résolvent à supporter le non-être ou à être réduits au néant, c'est leur conclusion à un problème dont ils excluent toute solution.

Bien qu'il demeure à nos entendements que nous soyons dépossédés d'une issue ou d'une limite que nous ignorons encore, nous sommes persuadés que les bases de nos civilisations, quelles qu'elles soient, puissent être garantes et rendre possibles l'évolution de nos vies.

C'est pourquoi et c'est une première caractéristique de toutes nos civilisations, s'ouvre désormais la civilisation de la vie. Elle est tracée sur ce chemin, en dépit des obstacles qui pourraient annoncer des sorties.

Mis à jour le 6 juin 2017

TdV Vendredi 2 juin 2017

La perte du sens et des sens, pour le chemin du sens

Que peut penser celle ou celui qui mène son troupeau de brebis ?
Déjà parmi vous s'élèvent des voix qui murmurent fort qu'il serait improbable qu'il puisse y avoir des femmes qui conduisent les bêtes.

Sous prétexte de tradition, nous nous sommes rangés dans les habitudes en rejetant ce qu'il peut nous arriver de nouveau, largement et du moins pour qu'il demeure extérieur sinon étranger à nous-mêmes.
Or je vous le concède, tout demeure inchangé, sinon par des apparences trompeuses qui nous font voir le monde différemment qu'il était précédemment, du moins parce que nous réagissions et nous répondons encore et toujours incorrectement.

L'espace économique, naturel, social et technologique y sont pour beaucoup, dites-vous.

C'est parce que nous considérons ainsi l'environnement qu'il nous paraît la justification facile de nos actes maladroits, mauvais ou pires encore.
Ce qu'il y aurait de réellement novateur, novatrice si elle pouvait l'être, ce serait notre faculté à nous considérer ouverts, sans idées préconçues, en nous soumettant à la seule loi de nous aimer tous et à réaliser ce qui est utile à tous.

Or en cela nous avons omis de nous y préparer, en être et en avoir.
Certes, des philosophes, des scientifiques ou des religieux, tels que Matthieu Picard, plaident pour l'altruisme.
Mais il y a loin de considérer l'altruisme en soi ou de l'observer telle une utilité, quelle qu'elle soit, matérielle et à but mercantile.

Prétextant nos insuffisances et sous le prétexte de maladies ou des maux qui nous paraissent mal connus ou obscures, nous multiplierons les capteurs comme s'il s’agissait de mieux nous capter nous-mêmes, sonder ce qui est défaillant ou ce qui va défaillir en nos corps machines, plutôt qu'en nos esprits.

De fait, si nous prenons conscience et connaissance, en toute appartenance et égalité, en nos corps et et nos esprits, nous nous révélons devoir apporter témoignage de ce qui est et de ce qui vit, d'une unité qui est au-devant de nous et qui nous anime, et pour laquelle nos réaffirmons constamment « je t'aime , je te suis », parce qu'elle nous aime et nous invite à la suivre.

C'est pourquoi nous chantons un hymne à eux, déclinaison imparfaite et sonore de ce « je t'aime » adressée à lui.

TdV Lundi 29 mai 2017

Pensez-vous que je fasse fi des préceptes, de la philosophie ou des religions des hommes ?

- Non et non pas parce qu'ils sont en-dessous des contingences, de l'idéal que je serais encline à considérer.

En effet, dans ce que nous croyons, Dieu s'est partiellement et le mieux dévoilé aux hommes par le Fils de l'homme ; alors, serait-elle une raison que de porter l'extrémisme au point de rejeter toute humanité ?

Je vous le dis sans détours, ceux qui portent l'anathème ou la discorde au milieu des hommes, sont aussi responsables devant toute autorité qui soit égale ou supérieure à cette condition d'humanité.

TdV Samedi 27 mai 2017

Que demander à Dieu ?
Osons demander le tout ; osons tout demander.

Jésus-Christ nous invite à demander au Père en son nom et nous affirme qu'il nous le donnera.

Alors, n'hésitons plus, demandons lui ce qu'il y a de plus difficile, de plus inattendu, de plus grand …

Demandons au nom de Jésus, d'aimer tous nos Frères. Il nous l'accordera.

Mis à jour le 29 mai 2017

TdV Vendredi 26 mai 2017

S'agit-il encore de parler, ai-je fait remarquer ?
- Non, il s'agit de faire.

Faisons donc plaisir à autrui, à nos Frères, à nos amis.
C'est différent d'une comédie, car une comédie vient aisément tromper. Quelqu'un se tromperait-il en faisant plaisir à son prochain ; en viendrait-il à regretter amèrement d'avoir aidé ou donné ce qu'il avait ?

Ce que j'avais, l'ai-je égaré comme s'il était perdu ou qu'il m'a été retiré ?
Certes non, il est plus utile qu'à moi-même car j'ai déjà trouvé le bonheur qu'en m'en dé-saisissant, il m'ôte la charge de le porter toujours.

Faudrait-il aller chercher toutes les sciences, les philosophies et les spiritualités alors que l'Esprit nous en prodigue l’essentiel et nous offre toute puissance en un mot qui peut tout engendrer, tout générer ?
S'il est nécessaire que d'autres que nous empruntent des voies indirectes, où il leur faut encore chercher ou rechercher, y a-t-il un mal à cela ?

Abstenons-nous et restons humbles, évitant de crier sur les toits que la vérité nous éclaire parce que nous discernons avec beaucoup d'acuité le rayon droit, fort et vivant qui parvient jusqu'à nous.
En effet, les distractions qui atteignent les autres lorsqu'ils utilisent seulement la diffraction de la lumière leur permet de varier leurs approches et leurs entendements …

Rappelons-le, si nous avions quelques devoirs à obtenir un résultat, le temps présent et futur, pour nous comme pour autrui, serait propice à nous rendre disponibles.

Si nous sommes convaincus de cela, alors, prodiguons tout l'espace de celui-ci pour qu'il soit mis au service des autres.

Mis à jour le 29 mai 2017

Éloge du culot de la langue française

S'il y a deux adjectifs entiers, incompatibles,
En cela, gratuite et obligatoire, sont terribles
Parmi tous elle vient frapper notre puberté.
Ce sont ceux qui obligent à acheter la liberté,

Ils l'appellent depuis jadis l’Éducation nationale,
Sans cesse difforme, elle se réforme haut et bas,
Comme si elle nous devait, chose la plus banale,
Nous apprendre ce que discutent nos vieux : le débat !

Ils y mettraient plus d'orthographe et de grammaire,
De tous les verbes au subjonctif, ce dernier aqueux,
Serait un conditionnel, que sais-je encore de son air,
Voudrait nous faire asseoir tels de pauvres gueux.

De nos jeans, de nos jupes, nos pantalons, culottes,
Râpés sur les précieux bancs des écoles, les chaises
Développent le bien durable, l'héritage, nous dorlote
Pour que nous soyons en un gaz carbonique, à l'aise.

C'est à n'y rien comprendre, ce que j'ai le plus retenu,
Des heures passées, moyens les plus beaux, professeurs,
Ce furent les entre-cuisses s'ouvrant, parenthèses retenues,
Masculins ou féminines sur le divan d'un sexe connaisseur.

J'ai mis toute mon ardeur et de leurs précieux courages,
À mettre à nues toutes leurs connaissances des livres,
Extraire la substantifique moelle et en tous les âges,
M'exciter à la belle reproduction, au plagiat qui délivre.

J'ai copié, recopié sans cesser, évoquant mes plaisirs
Partagés en thèses et anthèses, sublimes fornications
De nos esprits vaillants, introduisant toute la culture
En de plus savantes valeurs pour toutes destinations !

Connaissant l'époque de tous les divins extrémismes,
Je suis devenue propagande en parties cabalistes,
Revendiquant l'appartenance aux genres, académisme
Grand, souverain et pluriel qui exclue toutes les listes.

Me voici devant vous forte de mon bel éclectisme
Pour faire mieux et dire, chanter et danser ici et là,
Aller, tonner le monde, cette terre par le syncrétisme
L'isthme de France, mon lit, ma gouaille, le matelas.

Claironnez, claironnez, claironnez, là où n’erre que l'écho

Sonnez, sonnez, sonnez, trompettes de Jéricho. …
« Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée. »,
Claironnez, claironnez, claironnez, là où n’erre que l'écho.

Qu'est-ce à dire, il y aurait des mots
Qu'il n’aimerait pas ? Qu'est-ce à dire,
Il y aurait par les champs des oiseaux,
Qu'il n’aimerait pas ? Et par délire

En une fois, il bifferait toutes les voix ?
Voilà une chose étrange pour l'évêque
D'un lieu de vouloir, de l'accent, il croît,
Ôter tout ce qui porte l'assonance grecque.

Prétendrait-il enlever tout geste des autres
Et ne magnifier de Lui que l'écrit latin ;
Se prétendrait-il le seul et vivant apôtre,
Tel le survivant du grand mont palatin ?

Qui penserait d'un bel et beau tir canonique
Oublier les convenables et actes charitables
D'un revers de main, beaux habits, tunique,
Balayer la communauté en la Sainte table ?

Y aurait-il en ce pays vieux, une mort si laide,
Qu'elle reprocherait aux vivants, à l'un, à l'autre
De proférer l'anathème avant qu'il ne décède,
Sommer d'un apartheid, comme diviseur du nôtre ?

Faut-il laisser ainsi parmi les oies, ces eaux
Courir parmi nos frères, en mal elles interfèrent
Tel un épiphénomène, s'abaisser, aller à vau-l'eau,
Se dictant l'esprit fraternel, d'un bras qui enferre ?

Miséricorde, par Jésus-Christ qui l'accorde,
Il nous faut parler humblement en prière,
Chanter plus bas, pour tout ce qui concorde,
Nous rassembler en frères autour du Notre Père.

Échooos 22 mai 2017

LES JOURNALISTES MÉDISENT-ILS DE L'INFORMATION ?

Certaines personnes affirment que les journalistes médisent des politiques ou d'autres personnes.

Ces personnes journalistiques, de tous les médias, elle ou ils, iraient, paraît-il, jusqu'à émettre des propos si détournés des faits et des sources recueillies en amont, qu'ils ou elles seraient traduit(e)s en des critiques, des médisances ou des opinions contraires aux faits rencontrés ou personnes interrogées.

Avouons notre stupéfaction devant ce qui serait le paradoxe possible de l'actualité.

S'il y avait paradoxe, les journalistes, pas plus que moi-même, ne saurions les démêler !
Or s'ils s'en mêlent autant que je voudrais pouvoir le faire, c'est qu'il existe bien un nœud gordien.
Par bonheur, la ou les solutions à ce type de nœud peuvent se résoudre par des méthodes pacifiques et non brutales.
Aux maux de la fracture est substitué les mots de l'écriture, dans l'attente de l’information du futur.

Car tel est le problème, … celui de l'ignorance.

J'ai relevé une critique selon laquelle une politique d' « En marche » relèverait d'une pratique d'un équilibriste.
Cela serait vrai mais pourrait être en partie inexact.

Équilibriste @ frenchemployerbranding.files.wordpress.com

Équilibriste @ frenchemployerbranding.files.wordpress.com

La marche est effectivement un mouvement qui se modifie constamment et adapte l'équilibre de la personne qui l'effectue.
Elle ne pourrait constituer un "équilibrisme" que si elle ne transgressait que les lois pour côtoyer tous les dangers.

De fait conclure hâtivement à un équilibrisme consiste à nier toutes les actions de marche, d'équilibre, antérieures à cet éventuel ou prétendu équilibrisme, et toutes les actions postérieures, si nous supposions que l'équilibrisme en question, aurait réussi à défier les lois antérieurs pour en proposer de nouvelles, reproductibles par tous et applicables.

S'il s'agissait effectivement d'un réel équilibrisme, qui échouerait en son équilibre, il n'y aurait qu'à constater la mort de l'équilibriste ...
Mais supposer la mort avant qu'elle soit constitue une condition inadmissible.

Alors, pourquoi certains journalistes ou personnes continuent-elles de promouvoir ce qui inadmissible, même s'il est irréfutable ?

Cela provient de l'ignorance.

L'ignorance est-elle seulement de contester le réel ?
Non point, ce n'est pas une interrogation, c'est de refouler également l'imaginaire, ce qui est déjà présent(e) dans nos rêves.
Sans imaginaire, il n'y a plus d'espérance, plus d'espoir sur terre.

Ainsi donc, il nous faut, non seulement combattre l'ignorance, mais l'ignorance de l'imaginaire.

Ceux qui apparaîtraient tel(le)s des médisants, ne le sont que parce qu'ils médisent de la connaissance, qu'ils sont ignorants ou qu'elles, qu'ils nient la connaissance de l'imaginaire …

Avouons, qu'elles ou qu'ils avouent, que c'est assez peu crédible, de nier ainsi la connaissance de l'imaginaire !

Mis à jour le 19 mai 2017 à 15:15

EMMANUEL MACRON, LE « RELIGIEUX » DE SA LAÏCITÉ

Le religieux

La maxime « Qui ne dit mot consent » et ses inverses est d'actualité, dans la position que peut avoir tout Français vis à vis de l'évolution de la France et de son nouveau représentant Emmanuel Macron, « démocratiquement élu par un scrutin de la Vème république ».

J'ai émis la précédente réserve que presque tous les français ont accepté l'application d'une règle qui a été ou s'est détériorée avec le temps, celle inscrite dans la Constitution, et initialement définie par le scrutin universel direct.
Le président du Conseil constitutionnel a très justement omis ce dernier adjectif « direct » lors de la passation de pouvoir (dont acte).
Quand je dis tous les Français moins une voie, c'est que les précédents gouvernements (ceux qui ont autorisé l'usage de primaire) et tous les candidats à l'élection présidentielle se sont abstenus d'émettre une objection, qui a pourtant été, bien que modestement relevée par les médias.

Il est reconnu en effet que l'opinion et l'usage d'une majorité à ne plus respecter une règle ou une loi serait suffisant à en promouvoir une jurisprudence ou à en dénoncer les carences.
Bien évidemment, je réfute ce principe qui pourrait conduire à des dérives aussi inattendues que graves.
Je reviendrai sur ce propos de l'expression « le droit demeure, le temps fuit ».

Mais je m'y inscris dès ce jour car si elle perdurait, j'entendrais éviter d'en subir un quelconque handicap.

De fait, le propos tourne actuellement et effectivement autour d'un processus d'initialisation ou de réinitialisation.

Le président Emmanuel Macron s'inscrit, s'il n'en est l'auteur, dans ce mouvement, appelé au début « En marche ! » en se déclinant ensuite … dans tous les aspects de ce que pourrait être sa démarche ou sa marche.

Si les Français lui font confiance, ils doivent accorder au moins quelques crédits à ses paroles, attendant qu'elles se concrétisent en actes.

Les ascendants d'Emmanuel Macron ou les origines du nom Macron apportent que peu d'information généalogique.
Alors, il semble nécessaire de rechercher antérieurement et de considérer le prénom : « Imanou El ».
S'il est clair et entendu de tous, l'est-il (?), l'est-il seulement d'Emmanuel Macron lui-même ?

De quelle religion est-il, Monsieur Emmanuel Macron l'évoque en une expression constituée en deux négatives : « aucune religion n’est un problème » (A - en savoir plus sur Le Monde)

… Je laisse au lecteur du monde le soin d'entendre cette affirmation à l'aide de toutes méthodes logiques ou mathématiques qui permettraient de procéder à une éventuelle évaluation.

Ce qui va me permettre peut-être d'aborder la suite par des méthodes de calcul de réels et plus simples.

La laïcité

Gardons-nous selon une expression chère au président, d'en être « son ventriloque ».
Sa pensée serait à son entendement, entièrement circonscrite au périmètre de l'intelligence de sa connaissance.

Je l'avais parfaitement remarqué lorsqu'il a admis comme principe qu'il se satisfaisait de 80-20 comme le postulat de sa réussite sinon entrepreneuriale, du moins présidentielle.

Je viens cependant apporter un démenti, celui qui, aux dires des recherches scientifiques actuelles, selon lequel il y aurait deux cerveaux, le deuxième étant précisément situé dans le ventre !

Monsieur Macron a significativement exprimé que « rien n'est écrit » (B).
Il parlait, semble-t-il, du présent et du futur.
Quand au passé qui commande l'un et l'autre, Monsieur Macron, s'il ne semblerait pas en faire table rase, semble vouloir cependant réaliser en l'actualité une initialisation ou une réinitialisation.

Je dois préciser le terme d'actualité, qui se définit par un présent qui bouge, qui évolue, … qui « marche », … qui se transforme.
Ainsi et pour bien le comprendre, il s'agirait plutôt d'initialisations ou de réinitialisons successives, une itération d'initialisations ou de réinitialisations.

Il serait attendu qu'elles finiraient par débuter, continuer ou prendre fin par l'exécution d'un programme ou de programmes succédant à ces premières phases.
C'était, l'est-ce encore (?), le reproche de journalistes qui, très conscients eux-mêmes qu'une page n'est en fait jamais achevée, font provision d'information afin d'ajouter une autre page aux lendemains de notre compréhension.

Ce que nous pouvons constater, c'est qu'à partir de maintenant, c'est écrit ou bien cela commence à être écrit.

De fait, et vous voudrez bien accepter cet axiome, « si c'est écrit », c'est qu'il existait des mots et des phrases qui permettaient « d'écrire ». En conséquence l'affirmation selon laquelle « rien n'est écrit » (B) doit être appréciée avec les mêmes méthodes que la précédente formulation (A).

Je laisse donc le soin au lecteur d'appliquer une démonstration en l'aidant cependant par ma propre synthèse ou partielle et temporaire conclusion.
Il est nécessaire de fournir une conclusion ou un résultat, quel qu’il soit, faux ou juste.
Ce qui compte, c'est vraiment et en vérité votre démonstration, les calculs ou résultats, selon la ou les machines utilisées, étant des approximations.

Ma temporaire conclusion

La préférence du moment est d'utiliser des termes religieux pour le laïc et inversement.
C'est, sinon une erreur, au moins une mode.
De fait je m'y conforme ainsi que tous les Français, en connaissant tous les dangers ou toutes les hérésies auxquels ils permettraient de souscrire.
J'en écris ici connaissance parce que j'en ai conscience et j'en avertis le lecteur afin de parer à toute éventualité.

À un « apostolat », à un exercice pratique sinon abusif, du moins intrusif, emprunt d'un mode de communication basé sur un prosélytisme électif, d'un discours adopté s'asseyant sur le phénomène de réinitialisation, appliqué par un nouveau venu, un élu qui n'est pas l’Élu, Monsieur Macron lui-même s'en défendrait-il (?), devrait se concrétiser en ce qui serait différent d'un « apostat », d'un renoncement à tout ce qui lui précède, c'est-à-dire faire en sorte d'assurer une continuité.

Mais cette continuité, Monsieur Macron en possède du passé récent et les certains défauts et les inconnues qualités.
Or le réel challenge réside très exactement en son aptitude à résoudre « son religieux de sa laïcité », à faire en sorte qu'elle soit autre qu'une double négation (ou quadruple négation, ce qui revient au même, est dépendante seulement des opérateurs qui sont apposés).



De plus, au « mou », il serait peu efficace d'appliquer le retour au « flou ».

En cela le prédécesseur souffrait d'exclusions que le successeur constate et pose dans son environnement, une vue qui est tout au plus de 8/10ème.
Monsieur Macron, je le rappelle, a exclu et flouté 20% de l'électorat français (c'est initiative de sa propre affirmation).

Oui, un des risques qui demeure en tout prosélytisme, c'est de faire d'un prosélyte, lorsqu'il l'est devenu, d'en faire un mauvais cas deux fois plus intense qu'il n'est.

Ma position est d'être favorable ni à un prosélytisme, ni à un prosélyte, encore moins à l'hypocrisie qui suggère qu'elle y soit alliée.

Tant que des règles claires subsistent informulées et tant que des principes d'éthique restent équivoques, sans établissement d'un consensus, il est impossible d'avancer sur un statut bancal.

Je regrette, mais je fais et ferai toujours une marche ailleurs que sur un volcan, fut-il en la Réunion.
Je marche en dehors d'un « pèlerinage » qui aurait pour vocation de glorifier un autre que l'unique.
Il y a, même en cette île, autres lieux que le Piton de la Fournaise.

Je le répète, il est hors d'être convenable et il est inconcevable de faire un seul feu de joie en éteignant tous les autres feux de camp.
Dans tous les cas, c'est en un autre monde qu'il peut l'être.

Mis à jour le 19 mai 2017 à 11:45

RACISME, PHÉNOMÈNE INDIVIDUEL OU DE SOCIÉTÉ

La problématique

Les périls passés et restant malgré tout actuels de nos sociétés, dans le monde, concernent plus précisément l'homme et son comportement vis à vis de ce qu'il ignore et ce dont il a peur, c'est-à-dire des autres et de lui-même.

Le trait se manifestant le plus fort et qui procure polémique réside justement dans ce qui nous différencie, quelque soient les efforts justifiés ou pernicieux à vouloir décréter une unité qui existe seulement dans ce qui nous rassemble tous et dans l'effort personnel de chacun(e) à être des êtres particuliers et de ressemblance.

De fait, le racisme est incapable d'être ou même de se définir en un cadre humain et social de référence ; il reste malgré toutes nos tentatives, le résultat d'un ou de comportements d'individualités.

… Cela dit, je vous accorde que je n'ai rien dit ; je le reconnais bien volontiers.

Cependant, si nous demeurons incapables de « juguler » tout racisme, très justement parce que cela fait en soi-même l'expression d'une exclusion, qui doit et peut, à l'inverse, être formulée en une inclusion, elle peut l'être par une personne ou une autre, et mieux encore, elle doit et elle peut l'être par une société qui se reconnaît humaine, qui entend se parfaire.

… Nous progressons lentement ; j'en suis tout à fait conscient.

Aussi, je prends l'exemple des lois qui sont applicables à tous et à toute personne qui en ignore le contenu.
L'une d'entre elles concerne le don de gamètes (spermatozoïdes ou d’ovocytes - Assistance médicale à la procréation – AMP) en vue d'une assistance médicale à la procréation. Il est régi par la loi de bioéthique de 1994, avec les modifications que nous attendons tous ...

Malgré toute l'habileté du législateur, le cadre précis de l'application de cette loi, notamment par omission, peut induire un racisme implicitement avoué et/ou toléré.
Une mention, aux dires de Le Parisien du 6 mai 2013, il y a quatre ans, devrait figurer dans la loi de bioéthique de 1994.
Il m'a été impossible de la trouver dans les textes de cette loi.

Je la cite cependant : « Le choix du sperme s'effectue en tenant compte des caractéristiques physiques comme la couleur de la peau ou des cheveux et des groupes sanguins du couple receveur. Ceci afin d'éviter un trop grand contraste d'apparence physique entre l'enfant et ses parents et ainsi rendre possible le maintien du secret sur le mode de conception. ».

Comme, je l'ai laissé sous-entendre précédemment, nous avons devoir de rendre éthique, humain et légitime ce qui est défini ensemble et ce qui nous rassemble.
Si une contestation survenait, elle serait l'expression de ce qui divise ou exclue, le trait, s'il est possible d'un groupe réduit ou d'individualités.

Ainsi, c'est effectivement cette division qu'il nous faut considérer à nouveau, afin de la résoudre.

Alors, pour ce cas précis, je propose autre chose qu'une opinion personnelle, qu'une individualité, je suggère que chacun(e) réfléchisse et que nous consolidions nos vues afin de trouver une solution, certes perfectible, au moins sur laquelle nous pourrions convenir et qui nous permettrait d'avancer pour un temps.

Solution personnelle proposée : (à évoquer en commission)

TdV Dimanche 9 avril 2017

S'il n'y a que des antéchrists, il ne saurait être de post Christ.

C'est pourquoi le message et le témoignage oral disparaîtront pour des paroles qui seront dites exclusivement en actes par ceux qui professent leur foi dans la laïque controverse.

Mis à jour le 11 mai 2017

TdV Samedi 8 avril 2017

Vous ne comprenez donc pas le signe du Christ !

Chaque fois que vous portez atteinte à un homme, vous portez atteinte au corps de l'humanité.

En pensant que le sort de l'humanité soit supérieur à un membre de son corps, qu' « il vaut mieux qu’un seul homme meure pour le peuple, et que l’ensemble de la nation ne périsse pas », vous mutilez une partie du corps de l'humanité.

Ainsi, ce signe du Christ, explicite ou exprimé en parabole, est venu conforter l'expression laïque de notre humanité.

Le jour est venu où seuls les contradicteurs de l'humanité s'opposent à la divinité de son Créateur …

Ils en nient son histoire, son livre et son salut.

Mis à jour le 11 mai 2017

TdV Vendredi 7 avril 2017

Vous venez célébrer le sacrifice et les souffrances, alors que le Salut les a dépassés.

Vous en venez à ne croire que dans les actes des hommes alors que l'acte de Dieu a posé sa croix en ce monde.
Vous ne reconnaissez que la croix, objet de bois, alors que vous omettez le signe de la délivrance, le sujet de chair.
Ce sujet de chair, vous ne voulez ni en faire le Fils de l'homme, ni un enfant de Dieu, ni même ou encore un Frère.

Vous ne voulez pas que quelqu'un dise :
« Vous êtes des dieux »,
ni que cela soit dit des autres, par vous ou par eux.

Pourtant, vous voulez vous proclamer supérieurs sans pour autant reconnaître que « Dieu est avec nous ».

Vous allez au devant d'un homme, de celui qui vient transgresser non seulement la Loi, mais aussi qui trompe certains hommes, en voulant modifier seul les lois, en s'annonçant capables de diriger de nombreux hommes, mais aussi ceux qui ne désireraient pas l'être, ceux qui refusent d'être conduit par lui.

Vous dites : « Ceux-là ont tort ».



Cessez donc vos dires et vos paroles, agissez …
Au moins quelqu'un pourra estimer que vous avez fait quelque chose du bois de la croix pour aider quelqu'un à sortir de sa croix.

Mis à jour le 11 mai 2017

TdV Lundi 3 avril 2017

Sur la pauvreté des lois et règles des hommes

Par des siècles d'évolution, nous avons voulu parfaire nos comportements individuels et sociaux ; cependant, nous devons en convenir, il en ressort peu.

La Loi, nous n'en n'avons cure, parce que, comme elle a été écrite par le doigt de Dieu, nous avons voulu couper la main qui la porte.
Par dureté de cœur, en effet, nous avons inscrit des règles aussi friables et dures que les pierres, autant incandescentes et mortelles que le papier et la cendre, aussi évaporées et virtuelles qu'un enregistrement numérique ...

Du Christ, qui trace sur la terre, mettant des sillons où vont se poser les semences puis les fruits de vie, nous avons abandonné tout pardon, toute miséricorde pour retenir seulement les accusations et les jugements qui nous retournent les uns contre les autres, indéfiniment.

Vient le temps où nous poursuivons l'écriture et les ratures de nos lois alors que nous ne nous engageons en aucune manière à même désirer les pratiquer !
Elles sont là pour enrichir une magistrature indépendante, se servant elle-même, garante de ses omissions, de son seul mur, de ses silences pour faire respecter l'étroitesse de sa condition.
Elle se voudrait juste, de justice et de vérité ; elle n'est qu'opinion, considération hautaine d'événements, de faits et de preuves scientifiques qu'elle estime ; elle est encouragement à sa prostitution, décadence et nuisance à toute civilité ou à tout caractère policé.

Elle en arrive, aux dires de ses plus virulents admirateurs ou détracteurs, à libérer la criminalité pour circonscrire l'innocence …
Elle se jouerait de l'égalité par tous les maux.

Ainsi, ce n'est pas vers elle, qui abjure, appelle ou condamne, que je me tourne.

Il nous reste l'égard des hommes, ce qui les guide sans qu'ils le sachent, l'Esprit qui fait reconnaître à tous, laïcs et religieux, que notre humanité conserve quelque foi, en l'amour et en l'espérance.

Mis à jour le 11 mai 2017

TdV Mercredi 3 mai 2017

Comme nous affirmons, nous qui nous disons chrétiens et croyants, que le Père est un, que le Christ et le Père sont un, nous serait-il difficile de d'affirmer et de dire que sa création, nous-mêmes, sommes un ?



Oui, je le dis, celui qui reconnaît l'Amour du Père voit également l'amour de l'homme, l'amour des hommes, l'amour de leurs amours, parce qu'ils ne font qu'un.

Cela m'a été confié pour que je considère l'autre, le prochain, tel un enfant de Dieu et un Frère, en Jésus-Christ, c'est-à-dire, tourné vers le Père.

Je le proclame, il n'y a plus d'ennemi que celui qui nie Dieu, parce qu'en niant les hommes, il veut s'abstenir de considérer la création et qu'en se soustrayant de celle-ci, il est incapable d'en voir le Créateur.

Publié le 4 mai 2017

FIN D'UN QUINQUENNAT

Citation :

« Nous avons rigolé jusqu'à faire trembler les bourses. »

attribuée à un bobot de la Cité.

FAITS ET PHÉNOMÈNES DE SOCIÉTÉ

Le « stealthing » politique serait similaire à celui qui est sexuel.

Il consisterait à imposer une opinion libre, ôtée de tout respect du secret, à toute autre personne qui pourrait l’entendre, sans ce consentement.

(alors que la règle précédemment établie est censée garantir cette condition de sécurité).

Le respect furtif d'un consentement @ journaldemontreal.com
Le respect furtif d'un consentement

Addendum :
Je m'exclue de porter un jugement de valeur sur des données constatées.
Je précise une actualité qui est une tendance.
Qu'elle soit considérée par d'autres comme « inquiétante » l'est que dans la mesure où il y aurait absence d'information ou il y aurait impossibilité de s'en prémunir.

@ journaldemontreal.com

TdV Lundi 1er mai 2017

« Heureux ceux qui croient sans avoir vu ».

Eh bien, moi, aujourd'hui, je vous dis en notre temps et pauvrement de cela :
- heureux ceux qui croient sans avoir vu de signe, mais en faisant le signe.

En effet s'il vous faut encore la présence du Christ alors qu'il est ressuscité, qu'il nous a envoyé son Esprit, si vous désirez à nouveau une guérison ou un signe, la nécessité de la guérison ou du signe est déjà en vous, car l'Esprit est en vous.

Comprenons le bien, il nous reste seulement à être, à nous guérir par l'Esprit et le signe, à témoigner de Dieu, du signe et par le signe.

Publié le 4 mai 2017

Y -A-T-IL RAISON (S) D'ALLER PLUS EN AVANT ?

Le sujet est d'analyser les caractéristiques techniques, en matière maritime.
Cette analyse se différencie de l'élimination d'une marine pour une autre, et considère qu'il est, à la vue même de cet examen, impératif de les faire cohabiter toutes, dans leurs différences.

Après des étiquettes ou des slogans assez variés, il semblerait que « la marche » tente pour le moins de se transformer « en embarquement ».

Quel est cet embarquement et qui concerne-t-il ?

C'est assez clair, voyons plutôt :

L'embarquement d'après "En Marche ...
« La marche vers l'embarquement, un ciblage décentré » @ la-france-en-marche.fr

Il semblerait assez improbable que cette migration permette à tous de converger ... de plus et manifestement, parce qu'elle ne concernerait que les hommes, voyez plutôt :

Les personnes qui embarquent @ la-france-en-marche.fr
« Les passagers à l'embarquement » @ la-france-en-marche.fr

Les voiles

S'il y a un embarquement, cela nécessite un bateau, …, un esquif …

Nous possédons quelques caractéristiques, notamment sur les types de voiles adoptés (à défaut du descriptif détaillé du gréement qui devrait s'y appliquer, implicitement) :

Les types de voile d'après "En Marche ..."
Typologie des voiles @ la-france-en-marche.fr

Ceux qui connaissent un peu la navigation de plaisance en voiliers peuvent, à juste propos, émettre quelques objections techniques quant à l'efficacité propre à un tel gréement.

Pour ceux qui ignorent l’intéressante et très instructive pratique de la voile, je les invite à contacter la section nautique la plus proche.
N'hésitez pas, les femmes et les hommes de la mer sont accueillants et aiment la compétition, c'est-à-dire les améliorations ...

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